Dora Moutot

On pète parfois jusqu'à 14 fois, par jour !

" L'harmonie pétifique interdit les prudes, déride les graves, fait rire les misanthropes, égaye les esprits." L'art de péter, Pierre Hurtaut...





Cette femme est culottée ! Elle nous parle de ses pets, mais savamment, sans vouloir péter plus haut que son cul!





Ça pétarade de partout, c'est stu-pet-fiant!

Serge Gainsbourg a écrit "Evguénie Sokolov" car il n'arrêtait pas de péter, selon l'auteure. ( "L'histoire d'un peintre français dont les pets créent des vibrations...")





Mieux, Mozart se confiait ( les jours des grands vents) dans " Lettres des jours ordinaires 1756-1791:" Je fais des pets et j'adore..."

Heu, le silence après du Mozart, c'est du...





Ça gaze toujours?

Car Dora Moutot aborde aussi les problèmes de notre 2e cerveau, une vraie usine à gaz, parfois une réelle pétaudière...

La médecine pense que la maladie de Parkinson est dû à un microbiote intestinal altéré... Quand ça pue, c'est du sulfure d'hydrogène !...





Comment avoir une côlonversation amicale, après tous ces bruits? Dora avoue se réfugier souvent aux toilettes et là, c'est la guerre ... (des trônes?)





Dora se confie, avec humour et élégance:

- "C'est psychosomatique. Bah ça-ça, (pardon, c'est horrible!) t'as essayé le sans gluten? Respire un...grand coup !

- Prout, prout, prout à tous ceux qui se bouchent le nez car (une femme aussi délicate, ne peut pas péter...)





Bon, avec ce billet idiot, je me sens un peu...péteux! Un dernier pour la route et...euh, bon vent, je ne me répète pas!

"D'incessants pets puants, en plein vol, ont forcé un avion à atterrir. Un avion dérouté à cause d'un pétomane. "(Planète)

"Le passager lâche des pets infects, le pilote s'incline. (20 minutes)

Affichage censuré par la mairie de Paris et les autres médias à genoux devant les lobbies qui se disent féministe. Je suis une femme féministe et j'emmerde ces gens très fort . Rien que pour ce liberticide proclamé, je lirai ce livre. On le trouvera excessif ou pas, caricatural ou pas, blessant ou pas. Tout comme le J'accuse de Polanski, c 'est une question de liberté d' expression. La est le résultat de ces hystéries: placer sous la protection d'une liberté un livre dont on veut combattre le fond.

Un ramassis d'immondice transphobes au possible, bien loin de l'intersectionnalité dont nous avons besoin. Il s'agirait d'arrêter de laisser le devant de la scène à DM et MS qui sont tout sauf des alliés de la cause , et qui de plus kiffent plus que tout se placer en victime parce qu'on ne respecte pas leur avis, dans un domaine où on ne leur a, finalement, rien demandé.

Une honte absolue de voir que ces dernières continuent à avoir autant de visibilité, autant d'audience. Peut-être s'agirait il de prendre le temps travailler un peu sur soi-même au lieu de le gaspiller à écrire ce torchon

Moi qui était un peu paumée sur le sujet, j'ai appris plein plein de choses après cette lecture vraiment passionnante et en même temps terrifiante. Je n'avais pas mesuré l'ampleur des conséquences pour ma vie quotidienne en tant que jeune femme qui voudrait peut etre un jour avoir des enfants...

Beaucoup de thèmes sont abordés, toujours avec sérieux, beaucoup de notes, d'explications. J'ai trouvé ça très didactique, ça se lit très bien et vite malgré la densité d'informations. C'est un sujet dont paradoxalement on entend beaucoup parler, mais toujours en surface, avec peu d'arguments contradictoires. Après cette lecture j'ai une vision beaucoup plus nuancée du sujet et plus critique aussi. ça fait du bien d'avoir des auteurs qui nous incitent à nous poser des questions plutôt que de nous imposer une vérité absolue et un vocabulaire tout cuit. C'est un livre que je vais conseiller autour de moi car je mesure désormais toutes les conséquences pour le droit des femmes et des enfants qu'engendre ce mouvement.

Les dérives dangereuses d'une idéologie...



Ce livre ne laisse pas de marbre avant même d'être ouvert. Vous trouverez dans les commentaires soit des discours élogieux soit des condamnations sévères.



Pour tenter d'expliquer ces sons de cloches si extrêmes je vais vous dire pourquoi j'en suis venue à m'intéresser au sujet de l'idéologie trans, et qu'est-ce que c'est ?, avant de vous donner mon avis sur la lecture.



Quelques deux ans en arrière, lesbienne célibataire, je me suis lourdement fait par un mec affublé d'une robe longue. Une « femme trans » comme on dit. Pensant d'abord à un jeu de rôle bon enfant, j'ai joué le jeu jusqu'au moment où ça a commencé à déraper.

J'ai du lui redire clairement que j'étais lesbienne. Ce à quoi il a répondu « moi aussi »...



Je vous passe le dialogue de sourd mais pour faire court c'est la première fois que j'ai été insulté de « sale TERF » et de « transphobe »...

En 2022, le fait que je sois une femme qui aime les femmes ne serait plus une orientation sexuelle respectée mais une « préférence génitale » que je dois « déconstruire » pour accepter mes « sœurs transgenres » (c-à-d : leur sucer la b...).

Ça c'est une des dérives de l’idéologie transgenre.



Mais alors cette idéologie c'est quoi ? D'abord comme toute idéologie c'est un système prédéfini d'idées, se posant comme un calque sur la réalité pour l'analyser d'un point de vue particulier.



Elle est faite de biais cognitifs comme des croyance ou des dogmes. Les religions, par exemple, sont des idéologies ; mais également les mouvement politique etc...



Celle qui nous intéresse repose sur un dogme particulier : celui de l'identité de genre. C'est un concept abstrait similaire à celui de l'âme qu'on pourrait résumer à : chacun de nous en a une et seule la personne peut définir son identité de genre. Elle peut-être homme, femme (notez le détournement de sens de homme ou femme), demi-femme, non-binaire, gender fluid, agenre et j'en passe...



Et jusque là c'est une juste idéologie. Si quelqu'un se pense non-binaire c'est son droit après tout : on est libre de ses croyances.



La dérive arrive à partir du moment où des gens considèrent que leur idéologie est vérité, et que tout le monde se doit de l'appliquer. C'est comme une religion qui voudrait faire passer pour loi l'interdiction de blasphémer.



Et c'est comme ça que je suis devenue TERF : j'ai continué d'être la lesbienne que j'avais toujours été, seulement des idéologues ont décidé que le mot « femme » devait maintenant signifier « toute personne qui se dit femme », changeant au passage mon orientation sexuelle en une « préférence génitale » à combattre.



J'ai commencé à étudier fermement ce phénomène. Par désir de vivre, d'être entendue, par révolte contre les violences de ce mouvement à l'encontre des femmes. Et plus j'en apprenais, plus je trouvais nécessaire de comprendre ce phénomène.



Ce qui m'amène (enfin!) à la critique de ce livre :



C'est à livre parfait pour les néophytes qu'il veulent en savoir plus sur le sujet et qui comprennent pas de prime abord comment les dérives de cette idéologie pourrait avoir des conséquences sur leur vie.

C'est un livre qui se lit très facilement. Le style est volontairement simple, la structure est claire, les sous-partie courtes, équilibrées, et on y trouve de nombreuses touches d'humour, allégeant ce sujet sérieux et traité sérieusement.



J'en connaissais déjà pas mal sur le sujet mais j'en ai beaucoup appris ! Je ne peux que confirmer l'exactitude des infos. D'ailleurs le livre cite bien ses sources pour qu'on puisse vérifier par nous-même.



En résumé, très succinct, on a :

En première partie un état des lieux. Je recommande particulièrement aux parents, ou professionnels de l'enfance de lire les parties sur les jeunes filles, les enfants et la transition médicale.

On y retrouve des faits, des témoignages, des études, quelques statistiques...

La deuxième partie parle des différents mécanismes de propagation de l'idéologie, et la troisième partie est une réflexion sur l'Histoire du transgenrisme et quelle société cela pourrait amener.



Les sous-parties commencent par une courte tranche de vie de Robert, un personnage caricatural, autogynéphile, qui se découvre trans à 50 ans. Perso j'y vois une moquerie légère, irrévérencieuse, comme les caricatures de religieux. J'aime la touche d'humour que ça apporte. Mais si c'est pas votre tasse de thé vous pouvez sans problème zapper ces courtes parties, tout en profitant des connaissances qu'il y a dans ce livre.



Au final c'est un livre que je recommande chaudement. Il instruit, il pousse à la réflexion, ne nous dicte pas l'opinion à avoir.

Il permet un éclairage essentiel sur ce phénomène qui touche toutes les branches de notre société.

En espérant vous avoir convaincu.

Excellent livre, à mettre dans toutes les mains de l'éducation nationale, ainsi que des professeurs d'universités partout en France.



Pour luter contrer l'invisibilisation de la femme, il faut s'attaquer à cette dérive.

Transmania avait pour vocation de produire une étude sociologique détaillée et sourcée sur la transidentité, et plus précisément sur "l'idéologie transgenre". "Avait", oui, car leur ambition est ratée, du début à la fin. Si cet ouvrage ne nous apprends rien de pertinent ou de réel sur les personnes transgenres, il a à minima le mérite de nous donner à voir la façon dont certaines personnes se représentent les personnes transgenres, et cela est glaçant. Partant de l'histoire fictive d'une femme transgenre, Moutot et Stern nous décrivent un homme auto-gynéphile, pervers, qui fait des heures supplémentaires pour regarder du porno deviant, et s'insère des godemichets en petite lingerie. Oui, voilà comment les deux autrices se représentent les femmes transgenres : de la façon la plus dégoûtante et deshumanisante possible. On remarquera par ailleurs assez rapidement leur obsession pour le sexe des femmes trans, leur ouvrage flirtant parfois avec la fiction érotique : chères autrices, qu'est-ce qu'il vous passe par la tête quand vous consacrez autant de pages à la façon dont votre personnage "Robert" se masturbe dans son bureau, à la description de vidéos pornographiques ?!

Enfin, parlons maintenant des sources. Oui, cet ouvrage est extrêmement sourcé, mais quelles sont les qualités de ces dernières ? Entre les études mal interprétées, les sources peu sérieuses (Tumblr...), les études n'allant pas dans leur sens mises de côté (sur le sujet des bloqueurs de puberté par exemple), nous sommes servis.

Ce livre restera probablement dans les annales, oui, comme parfait exemple de tout ce que la transphobie peut produire comme contenus dégoûtants, malsains et malhonnêtes sur les personnes transgenres. Il est glaçant de voir à quel point celui-ci réussi apparemment à être populaire : vraiment, vous méritez de lire mieux sur le sujet que les fictions érotiques de deux femmes transphobes.

Ce livre m’a beaucoup plu, il est bien documenté, on sent la recherche de fond derrière. Je penses qu’il est important de communiquer sur le mouvement transgenre et ses dérives. N’ayons pas peur de nous exprimer sur ce sujet d’une manière critique et ouvrons les yeux…

Un livre à faire pleurer un gauchiste. Alors il ne peut être qu'excellent !



Je recommande de combattre leur cancel culture et leur wokisme qu'ils tentent de nous imposer.



Cette lecture est opportune et d'utilité, particulièrement pour les plus jeunes avec l'idéologie que peuvent répandre les professeurs dans les écoles et dans les universités.

Excellente et nécessaire enquête sur les dérives de l'idéologie transgenre de notre société malade.



Mesdames Moutot et Stern ont beaucoup de courage et vont devoir à nouveau faire face aux enragés progressistes qui les traiteront de fascistes, de monstres, de personnes malhonnêtes et autres accusations fondées sur la haine de tout ce qui ne s'aligne pas sur le wokisme.



Lire ce livre permet d'analyser et comprendre le terreau d'un tel phénomène et ses conséquences dramatiques qu'on refuse de voir et dévoiler.



Ne vous fiez pas aux critiques qui hurlent à l'extrême droite et à la transphobie : elles sont là pour bâillonner toute pensée contraire à la doxa et empêcher le développement du rationnel dans notre esprit. Ne prenez pas part à ce lynchage : faites-vous un avis.



Aucune haine, aucun prosélytisme chez Mesdames Moutot et Stern. Cet écrit est là pour remettre la réalité au cœur des consciences malades et pour protèger femmes et enfants.

Un excellent ouvrage sur tous les plans, la forme et le fond. C’est extrêmement sourcé (30 pages de sources) et documenté, on salue l’énorme travail de recherche et de synthèse réalisé.



C’est aussi drôle et ça se lit vite.



Surtout, tous les points de vue sont considérés et tous les impacts sont traités (conséquences sociales, sanitaires, économiques, environnementale…).



Les auteurs ont plus questionné le mal être/ l’origine du sentiment de transidentité que les médecins qui prescrivent à de jeunes adolescents mal dans leur peau (le propre même de l’adolescence) des produits qui les rendront stériles et fragilisent leur squelette à vie !



Vous découvrirez ainsi que les personnes trans souffrent généralement en réalité d’autres pathologiques qui sont complètement omises sous couvert du diagnostique de transidentité (auto diagnostique).



Vous découvrirez ce qui se passe dans les pays où l’idéologie avait percé en avance et que la France refuse d’en tirer les leçons.



Vous vous interrogerez sur le rôle des perturbateurs endocriniens (25% des poissons de rivières françaises sont aujourd’hui intersexe : ont-ils fait leur coming out trans où sont ils des victimes de la qualité de l’eau ? j’ai mon idée)



Vous apprendrez que les produits administrés n’ont pas été testé pour l’usage qui en est fait ainsi que l’identité des gagnants : essentiellement des laboratoires pharmaceutique.



Vous découvrirez que le mouvement a tous les critères d’un mouvement sectaire (ce passage fait froid dans le dos).



Il ne fait aucun doute qu’un scandale sanitaire est en cours.



Ce livre est à offrir à tous et surtout aux parents.

PROTÉGEZ VOS ENFANTS

Ce livre est rempli d'ignorance. Il est très mal renseigné sur un sujet important. On sent que les autrices parlent d'un sujet qu'elles ne connaissent pas et ne se basent que sur leur opinion transphobes, liée à leur ignorance quant aux personnes transgenres. Tout ce qu'elles prétendent expliquer sort de leur imagination et de l'imaginaire transphobe de l'extrême droite.

L'une d'elle est d'ailleurs poursuivie par la justice pour sa transphobie.

Livre très intéressant et permettant de se documenter par soi-même grâce aux nombreuses sources citées. Il s'agit de donner les moyens de se faire un avis, et non d'en imposer un. Il faut lire ce livre et non s'en tenir a ce qui en est dit, il s'agit bien d'une véritable étude, et non d'un pamphlet.

Je dois dire que j’ai acheté ce livre, sans a priori, sans savoir vraiment ce qui m’attendait. Et j’ai été agréablement, surprise.

Étant du métier (psy) et travaillant en relativement souvent avec des personnes trans, je dois admettre que les chiffres ainsi que les enquêtes sont justes. Après libre à chacun de suivre son combat.

Mais c’est un livre sérieux et qui a certainement demandé beaucoup de travail.

Quand il est écrit sur la quatrième de couverture "trans par ci, trans par là, c'est la transmania", on ne peut pas s'attendre à un contenu correct.

Quand on sait que Marion Maréchal a lu ce livre premier degré, on ne peut pas s'attendre à quelque chose de bien.

Quand on sait qui sont les autrices on ne peut pas se dire que ce sera autre chose que de la haine sur quelques centaines de pages.



Pour combattre ses ennemi•es, il faut savoir précisément ce qu'iels pensent. J'ai donc accepté de sacrifier mes yeux pour lire Transmania. Et puis on ne sait jamais, j'aurais pu être surpris (non).

Je savais à quoi m'attendre et je n'ai pas été déçu : des "informations" incorrectes, de la transphobie, du ridicule.



Moutot et Sterne sont invitées sur les plateaux télés tandis qu'en parallèle une militante trans qui a sorti un livre il y a peu est harcelée et invisibilisée.



J'ai peur pour moi et mes adelphes. La transphobie est la discrimination la plus acceptable et ça m'effraye.

Ce livre (qui mériterait plutôt qu'on l'appelle "torchon" est un condensé de haine, de transphobie et d'idées réactionnaires. Rajoutez à cela que les sources sont bancales et les chiffres manipulés pour appuyer les pensées nauséabondes des deux autrices.

En bref : fuyez cette immondice grossière qui n'a pour seul but que d'inciter à la haine et au harcèlement.

Ce livre est brillant. C'est une bombe à retardement. Que les idéologues transgenristes le lisent et émettent des critiques sur le contenu, et non pas sur l'idée qu'ils s'en font, ou sur le simple fait que ça ne va pas dans leur sens.

Livre travaillé, sourcé, bien écrit, agréable à lire.

Sans nier l'existence des "vraies" personnes transgenre, cad les personnes présentant une véritable dysphorie de genre "primaire", Moutot et Stern alertent sur le surdiagnostic, erroné et inapproprié, de certaines personnes qui se déclarent trans, et subissent donc un traitement lourd en conséquences. Pour protéger les VRAIES femmes (que les idéologues transgenristes veulent "cancel") et les enfants de cette folie, lisez et offrez ce livre ! À faire lire également au Ministre de la Santé, c'est un scandale sanitaire total.

Un aspect négatif tout de même : Je trouve que le personnage de Robert, très drôle certes, nuit au message. Même s'il n'est écrit nulle part que tous les trans sont des Robert, il peut donner l'impression que c'est ce que pensent les auteures.

Elles s'attardent peu sur la véritable dysphorie de genre, dans laquelle la transition a une véritable indication (à défaut d'un traitement de la cause du trouble), mais c'est cohérent avec le titre, puisqu'il s'agit de dénoncer les dérives. Ça donnera de l'eau au moulin des neo fem antifa sans capacités de nuances et de discernement, alors que DM et MS en font preuve, rappelant régulièrement qu'il faut aider les personnes trans qui souffrent, loin de vouloir nier leur existence.

La censure de ce livre prouve bien qu'elles sont dans le vrai, ces vérités dérangent ! Rien de transphobe dans ce livre, ceux qui y voient de la transphobie sont des idéologues qui ne supportent pas la contradiction. Vive liberté d'expression, et vive les femmes (=FEMELLE HUMAINE ADULTE)!

Ce fameux bouquin surnommé "transmania" est ouvertement transphobe, et sérieusement, qu'on parle de liberté d'expression ou non, je m'en fiche complètement. Je trouve que le thème est poussé à l'extrême et par moments même abusif. Oui, la liberté d'expression existe, mais elle a ses limites. Donc voilà, juste une chose à dire: à éviter absolument.

Tout ça pour ça ? Eh be...



Pire que Mein Kampf, encore plus fort que le Necronomicon, Mesdames et Messieurs, voici Transmania.

Cela valait-il la peine d'en faire une maladie ? Mmmmh.... Voyons voir.



-Tout au long du livre revient le personnage récurrent de Robert, une caricature, quelqu'un qui n'existe pas, qui est l'archétype de la "folle", au-delà de Zaza dans "La cage aux folles". A chaque chapitre, les auteurs partent d'une satire mettant en scène ce personnage pour introduire un nouveau sujet. Il faut avoir un peu le sens de l'humour et comprendre ce qu'est une caricature. Le livre alterne entre la caricature et l'article sérieux, comme dans Charlie Hebdo. Bref, si l'on n'a pas trop le sens de l'humour et de l'auto-dérision, on peut prendre les choses de travers.



Le passage avec le pervers dans le buisson à la sortie de l'école ... En effet les auteurs n'étaient pas obligées. Pour moi c'est le seul passage qui pourrait poser problème. C'est sans doute ces 2 points qui doivent enrager les militants de la "cause".



Ensuite, le livre n'est pas très bien écrit d'un point de vue littéraire; mais ce n'est pas de la littérature. On passera donc sur les tournures maladroites, les imprécisions - quand on se plonge dans ce type de livre, ce n'est pas ce que l'on cherche.

La méthodologie de l'ouvrage repose un peu trop sur une somme de généralités basées sur une longue liste d'exemples, qui sont certes réels, mais tirés pour beaucoup de liens internet. A partir de chaque exemple ou fait, les auteurs tirent une conclusion. J'aurais aimé plus d'entretiens réels; on en a seulement 3 ou 4, quelques recherches dans des livres, puis uniquement des sites internet (et même moult liens Twitter. Pardon ... "X") Le livre me donne un peu l'impression d'une collection de recherches Google.



Les points positifs:



la lecture a été malgré tout très intéressante, les auteurs font (curieusement) preuve d'empathie envers les personnes dites "transgenres". L'exemple du personnage réel d'Alexandra est touchant. (Mais on a trop peu d'exemples comme cela. Alors que parler de l'humain, des émotions des personnes aurait été intéressant. Mais cela n'est peut-être pas ce qui intéressait les auteurs).



L'humour corrosif (ah ... ce fameux Robert) Le dernier chapitre "Couic Robert" MDR !!! On sent que les auteurs règlent des comptent , surtout les 50 premières pages, avec les associations LGBT qui ont dû leur donner la misère. Moutot et Stern y vont à la sulfateuse !



A noter: tout un passage parle de la mairie de Paris et de ses soutiens dans les associations et événements LGBT. On comprend mieux pourquoi elle a fait pression pour faire retirer les affiches Decaux !! Cela s'apparente un peu à de l'abus de pouvoir. Dupont-Moretti s'est retrouvé devant un juge pour moins que ça...



Je crois que dans ce livre, il y a à boire et à manger, mais en gros, plus on avance, plus le discours devient sérieux. Les derniers chapitres sur le transhumanisme tiennent de la science-fiction, mais posent des questions intéressantes.



Est-ce que j'ai passé un bon moment ? Oui. C'était intéressant mais il faut bien avoir conscience que les informations, fournies par ce livre, doivent être prises avec des pincettes.



Les personnes transgenres ou transsexuelles sont des individus en souffrance, et j'aurais vraiment aimé que les auteurs appuient un peu plus sur ce point. On parle d'humains, de gens avec une sensibilité, il aurait fallu leur donner bien plus la parole. Qu'il y ait une idéologie militante abusive, c'est certain, et c'est ce dont traite le livre (les "dérives") , mais les gens trans existent et ne peuvent être résumés à cela.



D'un autre côté, Moutot et Stern relèvent la supercherie victimaire que l'on observe dans le monde contemporain, une victimisation outrancière qui ne désigne pas les bons coupables et qui pratique l'inversion accusatoire. En cela, je rapprocherais le livre de celui de Brett Easton Ellis, sorti en 2019, "White".



Notons qu'un des points principaux de l'ouvrage est la réponse purement médicale donnée à un questionnement personnel d'un(e) adolescent(e) sur son identité. Fournir une réponse médicamenteuse et chirurgicale à quelqu'un de mineur peut légitimement poser question.



Finalement, tout le ramdam fait autour de ce livre lui a fait une publicité d'enfer; apparemment il se vend très bien, et il est possible qu'il marque d'une pierre blanche (ou noire, c'est selon) les publications sur le "transgenrisme".



Transmania est un pamphlet, une satire, un brulot, un document, une somme de travail assurément, un peu tout cela à la fois. Si le sujet vous intéresse, lisez-le mais ne perdez pas de vue que derrière il y a des personnes sensibles, avec un vécu, pas seulement une idéologie "transgenre".

Glaçantes, toutes ces critiques appelant à la censure d'un livre très bien documenté. Ils ont fini par comprendre que nous savions qu'ils ne l'avaient pas lu, et se mettent à le parcourir afin de le critiquer en disant que c'est « transphobe, blablabla. »



Dans l'histoire, la censure de livres ne s'est jamais bien terminée...



Je n'avais jamais fait de commentaire sur Babelio en tant d'années, mais là, personne ne semble se rendre compte que les LGBTH, qui jouissent de tous les droits en Occident, cherchent à imposer leur tyrannie, à transformer des enfants. Que dire du sport, que dire des hommes qui se retrouvent en prison pour viol et se déclarent « femmes », leur permettant ainsi de continuer leurs agressions sans limites ? Que dire, sinon que cela finira mal ? Je m'arrête là, heureusement que mes enfants ont fini avec le collège.



PS : Enfant, je voulais une fusée, je ne l'ai pas eue, ça va...

PS 2 : Le nombre de suicides et de dépressions, suite à ces dérives, sera effarant dans quelques années.