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Critique de Anais_Yuuki
« Mortel séduction », sixième volet de la saga Anita Blake est le tome en qui j'avais placé le plus d'espoir. Malheureusement, c'est aussi celui qui m'a le plus déçu, et pourtant je ne pensais pas tomber plus bas que les deux derniers tomes. Il avait tout pour réussir : une intrigue originale, un triangle amoureux plus que présent, et pourtant l'intrigue n'a pas été à la hauteur de ce qu'annonçait la quatrième de couverture.
Comme énoncé dans mon introduction, ce tome avait tout pour être intéressant. En effet, l'auteur a eu la brillante idée que de vouloir inverser les rôles : cette fois-ci ce n'est pas Anita qui traque les méchants mais bien le contraire. Une belle promesse d'intrigue qui disparaît presque immédiatement pour se concentrer sur le triangle amoureux Anita/Richard/Jean Claude et la formation de leur triumvat. Et je pense que c'est cela qui m'a le plus agacé. Malheureusement, je trouve que Laurell K. Hamilton veut toujours en faire trop au niveau de l'action et des intrigues, ce qui finit toujours de la même manière : toutes les intrigues sont sous-exploitées, elles se concluent toujours rapidement et certaines n'apportent finalement rien à l'histoire. Et dans ce tome, c'est très bien illustré par l'intrigue qui était censée être mis en avant « la traque d'Anita ». Pourtant, tout avait parfaitement bien commencé : dès les cinq premiers chapitres on est transporté directement dans le feu de l'action. Mais ensuite, c'est le vide complet jusqu'à la moitié du livre. Et ce vide est constitué d'interminable discussions/disputes entre Anita et Richard. On a le droit à des dialogues qui se répètent, chapitre après chapitre, à tel point que j'ai fini par me lasser : je vous mets au défi de compter le nombre de fois où Richard demande à Anita « Tu serais prêt à le/les/tuer ? Tu es sérieuse ? », les reproches répétitifs d'Anita concernant l'incapacité de Richard à tuer quelqu'un. Et je ne parle même pas de tous les nouveaux protagonistes qui rencontrent Anita et qui lui pose la même question : « tu pourrais me tuer sans ciller, pas vrai ? ». Franchement on a compris que c'était une tueuse !
Et puis, en plein milieu du livre, l'auteur semble se rappeler qu'Anita est censée fuir des tueurs à gages et intercale par-ci par-là des scènes. Franchement, cette intrigue aurait pu être supprimée sans soucis. Ah non, elle permet à Anita d'aller se cacher dans la demeure de Jean-Claude. Un peu faible à mon goût. le pire c'est que le final est excellent. Je l'ai littéralement dévoré ! C'est une magnifique idée qu'elle a eue de mettre en place ce triumvat avec ses conséquences positives mais aussi négatives. Franchement, l'auteur se aurait dû seulement se concentrer sur cette intrigue, sans partir dans d'autres secondaires, et l'histoire aurait pu être 100 fois meilleurs. Comme on dit souvent, à vouloir en faire trop on finit par se perdre !
Donc, le triangle amoureux va avoir une place très importante dans ce tome. Et franchement, ce trio ne me fait pas du tout rêver ! La relation Anita/Richard est tellement horripilante qu'elle ne me donne clairement pas envie de les voir ensemble. C'est toujours la même chose : « je veux me marier avec lui car je l'aime » et « ah non je n'ai plus envie, parce que c'est un monstre ». Et celle avec Jean-Claude ... Pourquoi nous avoir mis dans le tome précédent une scène JC/Anita qui promettait une grande avancée, si c'est pour l'oublier dans la première partie du livre comme si elle n'avait jamais existé ? Franchement, le basculement final est incompréhensif au vu de ce qu'elle laisse paraître dans la première partie du livre. Alors oui elle a fini par choisir, mais j'ai l'impression que ce choix n'en est pas vraiment un. Bref, je ne le répéterai pas assez mais le triangle amoureux est vraiment mal exploité.
Alors qu'Anita était remontée dans mon estime lors du dernier tome, elle est complètement redescendue dans celui-ci. J'ai eu envie de la gifler tellement j'ai trouvé qu'elle agissait comme une idiote. Elle n'a aucune logique ! Elle passe son temps à pleurer parce que Richard est incapable de tuer, mais râle quand il blesse Jason. de même, elle est prête à l'épouser et le rejette quand elle le voit sous sa véritable forme. Meuf, tu sors avec un loup donc forcément, il va manger des gens ou boire du sang. C'est comme sortir avec un alcoolique, lui dire qu'on l'accepte tel qui l'es, et puis être choqué parce qu'on le voit porter un verre d'alcool à la bouche !
Pour conclure, vous l'aurez compris, j'ai été déçue de ce tome qui promettait de belles choses. Je trouve ça dommage parce que, malgré mes critiques, je passe des bons moments et l'auteur arrive à me donner envie d'enchaîner avec les tomes suivants. Pour le moment, je ne suis pas encore sûr de ma décision concernant l'arrêt de la série. Je reste assez mitigée au vu des commentaires des prochains tomes. Je pense faire une pause pour y réfléchir et digérer le nouveau tournant que prend la saga. Car mon but ce n'est pas de continuer à descendre une série qui n'est pas faite pour moi.
Comme énoncé dans mon introduction, ce tome avait tout pour être intéressant. En effet, l'auteur a eu la brillante idée que de vouloir inverser les rôles : cette fois-ci ce n'est pas Anita qui traque les méchants mais bien le contraire. Une belle promesse d'intrigue qui disparaît presque immédiatement pour se concentrer sur le triangle amoureux Anita/Richard/Jean Claude et la formation de leur triumvat. Et je pense que c'est cela qui m'a le plus agacé. Malheureusement, je trouve que Laurell K. Hamilton veut toujours en faire trop au niveau de l'action et des intrigues, ce qui finit toujours de la même manière : toutes les intrigues sont sous-exploitées, elles se concluent toujours rapidement et certaines n'apportent finalement rien à l'histoire. Et dans ce tome, c'est très bien illustré par l'intrigue qui était censée être mis en avant « la traque d'Anita ». Pourtant, tout avait parfaitement bien commencé : dès les cinq premiers chapitres on est transporté directement dans le feu de l'action. Mais ensuite, c'est le vide complet jusqu'à la moitié du livre. Et ce vide est constitué d'interminable discussions/disputes entre Anita et Richard. On a le droit à des dialogues qui se répètent, chapitre après chapitre, à tel point que j'ai fini par me lasser : je vous mets au défi de compter le nombre de fois où Richard demande à Anita « Tu serais prêt à le/les/tuer ? Tu es sérieuse ? », les reproches répétitifs d'Anita concernant l'incapacité de Richard à tuer quelqu'un. Et je ne parle même pas de tous les nouveaux protagonistes qui rencontrent Anita et qui lui pose la même question : « tu pourrais me tuer sans ciller, pas vrai ? ». Franchement on a compris que c'était une tueuse !
Et puis, en plein milieu du livre, l'auteur semble se rappeler qu'Anita est censée fuir des tueurs à gages et intercale par-ci par-là des scènes. Franchement, cette intrigue aurait pu être supprimée sans soucis. Ah non, elle permet à Anita d'aller se cacher dans la demeure de Jean-Claude. Un peu faible à mon goût. le pire c'est que le final est excellent. Je l'ai littéralement dévoré ! C'est une magnifique idée qu'elle a eue de mettre en place ce triumvat avec ses conséquences positives mais aussi négatives. Franchement, l'auteur se aurait dû seulement se concentrer sur cette intrigue, sans partir dans d'autres secondaires, et l'histoire aurait pu être 100 fois meilleurs. Comme on dit souvent, à vouloir en faire trop on finit par se perdre !
Donc, le triangle amoureux va avoir une place très importante dans ce tome. Et franchement, ce trio ne me fait pas du tout rêver ! La relation Anita/Richard est tellement horripilante qu'elle ne me donne clairement pas envie de les voir ensemble. C'est toujours la même chose : « je veux me marier avec lui car je l'aime » et « ah non je n'ai plus envie, parce que c'est un monstre ». Et celle avec Jean-Claude ... Pourquoi nous avoir mis dans le tome précédent une scène JC/Anita qui promettait une grande avancée, si c'est pour l'oublier dans la première partie du livre comme si elle n'avait jamais existé ? Franchement, le basculement final est incompréhensif au vu de ce qu'elle laisse paraître dans la première partie du livre. Alors oui elle a fini par choisir, mais j'ai l'impression que ce choix n'en est pas vraiment un. Bref, je ne le répéterai pas assez mais le triangle amoureux est vraiment mal exploité.
Alors qu'Anita était remontée dans mon estime lors du dernier tome, elle est complètement redescendue dans celui-ci. J'ai eu envie de la gifler tellement j'ai trouvé qu'elle agissait comme une idiote. Elle n'a aucune logique ! Elle passe son temps à pleurer parce que Richard est incapable de tuer, mais râle quand il blesse Jason. de même, elle est prête à l'épouser et le rejette quand elle le voit sous sa véritable forme. Meuf, tu sors avec un loup donc forcément, il va manger des gens ou boire du sang. C'est comme sortir avec un alcoolique, lui dire qu'on l'accepte tel qui l'es, et puis être choqué parce qu'on le voit porter un verre d'alcool à la bouche !
Pour conclure, vous l'aurez compris, j'ai été déçue de ce tome qui promettait de belles choses. Je trouve ça dommage parce que, malgré mes critiques, je passe des bons moments et l'auteur arrive à me donner envie d'enchaîner avec les tomes suivants. Pour le moment, je ne suis pas encore sûr de ma décision concernant l'arrêt de la série. Je reste assez mitigée au vu des commentaires des prochains tomes. Je pense faire une pause pour y réfléchir et digérer le nouveau tournant que prend la saga. Car mon but ce n'est pas de continuer à descendre une série qui n'est pas faite pour moi.
