Bon, je serais concise :
Joyland est comme un bijou perdu depuis des années que l'on retrouve soudain au fond d'un tiroir. On n'y croit pas, ça nous ramène des années en arrière, ça fait surgir des tas de souvenirs oubliés et ça nous laisse avec un sourire à la bouche et une babiole à la main.
Ici, pas de terreur, d'épouvante ou de sueurs froides, comme
Stephen King en a l'habitude, juste une jolie histoire pleine de nostalgie avec quelques petites pointes de mystères pour agrémenter le tout, mais ça reste sobre, doux, empreint d'émotions et d'un peu de tristesse. Bah oui, on n'est pas non plus au pays joyeux des enfants heureux !
On suit Devin, 21 ans, durant l'été qu'il a passé a travailler dans un parc d'attractions, un été qui lui permettra de grandir, de mûrir, de comprendre ce qui est important dans la vie et ce qui ne mérite pas qu'on s'y attarde.
Un roman d'initiation donc mais dans lequel les souvenirs, les intuitions et les sentiments ont la place d'honneur.
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