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Critique de Enfaveurdeshistoires
Un livre à boire, sans modération, au coeur d'une soirée haletante, vivante et exaltante. le meilleur des trois et la fin d'une ère.
On se recentre et on oublie l'auteur
J'étais en colère contre Sarah J. Maas après les deux premiers tomes, au risque d'être un peu dur. j'avais vraiment du mal avec ce que j'appellerais la beaufitude d'une new yorkaise obsédée. Des loup garous qui prennent des brunch, des êtres centenaires en legging, des phrases de drague dignent d'un clip de rap et des scènes pornographiques à faire rougir un harlequin. Tout ça me sortait de l'univers incroyable et de l'histoire passionnante. du coup, sur ce tome, je suis contente : les personnages n'ont pas le temps pour ces conneries, ils doivent…survivre…sauver le monde! Et le texte qui a toujours été très fluide et très bien écrit et pour moi devenu addictif, 2 jours pour les 955 pages. Parce que l'univers le vaut bien et la plume quand on lui enlève la présence oppressante de la culture de l'auteur est un bonheur.
Une course haletante pour un monde tellement riche
Il n'y a pas de répits. Moi, qui parfois encense la lenteur de scènes d'exposition ou des descriptions, là, on n'a pas le temps de regarder la déco, on est sur un blockbuster haletant. Chaque chapitre a son cliffhanger, sa surprise, son retournement de situation, vous avez dit endorphine prenait vos shoots. C'est haletant, c'est envoutant, c'est une addiction. Et enfin, on apprécie la complexité et la cohérence de cet univers. Sur le fond, rien n'est sacrifié à l'action. Ce monde était déjà riche, il en devient exubérant. Sarah J Maas a clairement un complexe de Dieu et j'aime beaucoup ça. Chaque personnage voit son axe se refermer, pour un final propre. C'est la fin d'une série. Merci.
On se recentre et on oublie l'auteur
J'étais en colère contre Sarah J. Maas après les deux premiers tomes, au risque d'être un peu dur. j'avais vraiment du mal avec ce que j'appellerais la beaufitude d'une new yorkaise obsédée. Des loup garous qui prennent des brunch, des êtres centenaires en legging, des phrases de drague dignent d'un clip de rap et des scènes pornographiques à faire rougir un harlequin. Tout ça me sortait de l'univers incroyable et de l'histoire passionnante. du coup, sur ce tome, je suis contente : les personnages n'ont pas le temps pour ces conneries, ils doivent…survivre…sauver le monde! Et le texte qui a toujours été très fluide et très bien écrit et pour moi devenu addictif, 2 jours pour les 955 pages. Parce que l'univers le vaut bien et la plume quand on lui enlève la présence oppressante de la culture de l'auteur est un bonheur.
Une course haletante pour un monde tellement riche
Il n'y a pas de répits. Moi, qui parfois encense la lenteur de scènes d'exposition ou des descriptions, là, on n'a pas le temps de regarder la déco, on est sur un blockbuster haletant. Chaque chapitre a son cliffhanger, sa surprise, son retournement de situation, vous avez dit endorphine prenait vos shoots. C'est haletant, c'est envoutant, c'est une addiction. Et enfin, on apprécie la complexité et la cohérence de cet univers. Sur le fond, rien n'est sacrifié à l'action. Ce monde était déjà riche, il en devient exubérant. Sarah J Maas a clairement un complexe de Dieu et j'aime beaucoup ça. Chaque personnage voit son axe se refermer, pour un final propre. C'est la fin d'une série. Merci.
