Margaret a atteint son but : tous ses frères et sœurs sont mariés ou majeures, elle a tenu la promesse qu'elle s'était faite à la mort de ses parents. Mais qu'en est-il d'elle ? N'est-il pas trop tard pour se marier même sans passion ?

De l'autre côté, Duncan est acculé et doit se marier pour ne pas être déshériter suite au scandale qu'il a causé il y a quelques années de cela? Sauf que son grand-père lui lance ce défi avec un délai improbable de quelques semaines.

Nos deux protagonistes semblent être la solution parfaite pour l'autre.



Alors il fallait quelque chose d'assez gros pour justifier le scandale autour de Duncan. Mais c'était pour moi un peu trop sordide. Sinon, les personnages sont sympathiques, assez touchants mais c'était assez plat quand j'y repense. Une bonne lecture mais pas incroyable.

Cassandra, jeune veuve au coeur d'un scandale, est décidé à trouver un gentleman pour l'entretenir et elle jette son dévolu sur Stephen, le comte de Merton qui ressemble à un ange. Mais Stephen, élevée par ses soeurs, a une force morale et une personnalité plus affirmée qu'elle n'avait anticipé. Le chat devient souris…

4e tome des aventures Huxtable; c'est un peu étrange de découvrir les amours du petit jeune de la bande. L'histoire est sympathique, c'est bien écrit.

Mais ce que je retiens c'est vraiment l'histoire de Cassandra, qui m'a semblé aborder les violences conjugales de manière plus crédible que dans le tome précédent. Et la scène au parc où on peut voir la jeune femme reprendre goût à la vie et confiance en elle m'a beaucoup émue.

2e tome de la famille Huxtable où maintenant Katherine la plus jeune soeur est au proie avec un séducteur invétéré bien déterminé à la conquérir pour gagner un pari.

Katherine et Jasper sont agréables mais il y a quelque chose où je n'ai pas complètement accroché. Peut-être les débuts de leur histoire qui va un peu trop loin ?

Cependant le tome est riche en rebondissements, l'intrigue autour de la sœur de Jasper est originale et le pari de la fin était assez mignon.

Une bonne romance quand même.

Suite et fin des aventures de la famille Huxtable.

Constantin Huxtable, qui n'a pas pu hériter du titre de comte dû à sa naissance deux jours trop tôt, est le cousin énigmatique des autres Huxtable. Hannah, elle, est une beauté mondaine et récente veuve. Leur décision de devenir amants va les amener plus loin que ce qu'ils envisageaient au départ...

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, c'était long et pas hyper intéressant. Mais j'ai aimé les secrets des deux personnages. Le tome devient intéressant quand on commence à dévoiler les masques de chacun et leurs vies cachées à la campagne. Le dénouement était émouvant et la boucle est enfin bouclée.

Du coup, ce tome remonte dans ma note car j'ai aimé les aventures de tous ces membres et c'était une vraie bonne conclusion. J'aime également toujours qu'on puisse avoir des nouvelles de chacun des Huxtable dans tous les tomes.

Comme dans le tome précédent, le livre commence avec une jeune veuve bien décidée à mettre le grappin sur l'un des hommes de la famille Huxtable, mais cette fois il ne s'agit pas pour la jeune femme de se mettre à l'abri du besoin grâce à un riche protecteur. En effet, après dix années de mariage avec un homme qui avait l'âge d'être son grand-père, Hanna est bien décidée à profiter des plaisirs d'une liaison avec l'homme le plus séduisant qu'elle puisse trouver, Constantin Huxtable.



Il est ici beaucoup question des apparences dont il faut se méfier. La duchesse n'est pas si frivole et Constantin est loin d'être diabolique, encore faut-il qu'ils osent quitter cette carapace protectrice…



J'ai trouvé amusante la demande en mariage, ou plutôt les difficultés qu'a le héros à se lancer… D'autres aspects de l'intrigue m'ont laissée plus dubitative.



Cette fois encore, la lecture est loin d'être déplaisante, mais elle ne m'a pas vraiment enthousiasmée.



Ainsi "La Famille Huxtable" ne m'a pas autant plu que d'autres séries de Mary Balogh. Ce sont des romances tout à fait correctes, qui font le job, mais il manque le petit quelque chose en plus qui donnerait de l'intensité à la lecture…

Nous retrouvons ici le dernier de la fratrie des Huxtable, Stephen, un jeune comte bien sous tout rapport, le parti idéal si ce n'est qu'à 25 ans il est encore un peu jeune pour songer au mariage. Cassandra, une jeune veuve sans ressource qui refuse de se remarier après avoir perdu son mari dans des circonstances troubles, jette son dévolu sur lui pour en faire son protecteur. Elle se lance alors dans une opération de séduction sans subtilité à laquelle Stephen est incapable de résister, mais il en demande bientôt davantage à la jeune femme…



L'intrigue commence fort, mais j'ai trouvé qu'elle perdait ensuite en intensité alors que l'histoire avançait et que Stephen essayait de convaincre Cassandra de l'épouser.

J'ai d'ailleurs eu du mal à comprendre l'attitude de Cassandra.



La plume de Mary Balogh est agréable, mais j'ai parfois eu l'impression qu'il y avait des redites. Et puis, comme le héros, j'ai trouvé un peu sordide les relents de prostitution qui accompagnent l'entreprise de séduction de la jeune femme aux abois.



En revanche, il est question de femmes battues dans ce roman et le propos de certaines personnages constituent un beau plaidoyer contre les violences faites aux femmes.



Même si "Le temps du désir" ne m'a pas enthousiasmée, cette romance demeure une lecture plaisante. Reste le dernier tome qui se concentre sur Constantin, le cousin au caractère plus sombre...

J'ai passé un bon petit moment avec le troisième tome de La Famille Huxtable : les deux personnages principaux sont si bien désassortis que c'est un plaisir de les voir se chamailler tout en visant le même but.



Le scandale qui auréole le héros est bien réel (en tout cas bien davantage que les vagues rumeurs qui menaçaient les héroïnes des précédents tomes) et j'ai bien aimé la façon dont son entourage, et même des inconnus, se permettent d'intervenir pour pousser la jeune femme à refuser le mariage qui lui semble alors de plus en plus tentant...



Les derniers chapitre m'ont moins plu. L'intrigue prend un tour un peu trop mélodramatique, avec un énième secret qui sort au grand jour, encore plus terrible que les précédents. Le problème se règle en quelques minutes, ce qui m'a donné l'impression que la montagne accouchait d'une souris.



Malgré cette fin un brin décevante, j'ai bien aimé Le Temps de l’Amour et la plume légère de Mary Balogh...

C'est loin d'être une lecture désagréable, mais je suis restée un peu en marge de l'histoire sans pouvoir trop expliquer pourquoi.



Pourtant tous les ingrédients sont réunis pour une romance historique piquante : deux personnages qui se plaisent au premier regard même s'ils refusent de l'admettre, un pari à remporter (pas seulement celui de la quatrième de couverture), la plume légèrement teintée d'humour de Mary Balogh...



Comme dans le premier tome, le mariage a lieu dès le milieu du roman (pour éviter un scandale cette fois) et tout l'enjeu du récit est de transformer cette "union forcée" en mariage d'amour. L'attirance entre les deux jeunes gens étant évidente, il n'y a pas vraiment de suspense.



J'espère que le troisième tome, qui relate l'histoire de l'aînée des sœurs Huxtable, sera un peu plus palpitant...