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Dernières critiques
Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 1

- Jolie histoire.

- Dessins mignons.

- Format du manga agréable, plus grand que les habituels.

Il plaira aux amoureux des chats, de la musique, et également à tous ceux qui souhaitent les découvrir.

Sur un fond d'amitiés qui se créent, la douceur imprègne tout.

Un coup de cœur pour le parlé du chat ☺

À lire à volonté pour passer un agréable moment.
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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 4

L'originalité de cet épisode tient dans la façon dont la mangaka explore non seulement le deuil et la résilience mais aussi la maturité des hommes et leurs incompréhensions pour cause d'interprétations erronées. Un thème en miroir avec la complicité du chat et de son humain qui finisse par se comprendre (quoi que pas toujours), malgré la différence de langage.
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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 1

Fuyuki Kanda, solitaire et triste, franchit un jour les portes d'une animalerie. Là, son regard se pose sur Fukumaru, un chat peu attrayant, rondelet et déjà avancé en âge. Rejeté par tous, Fukumaru semble enveloppé d'une tristesse profonde. Cependant, contre toute attente, c'est vers lui que se tourne l'attention de Fuyuki qui décide de l'adopter. Ainsi débute une histoire de quotidien teintée de douceur, entre un homme et un chat en quête d'affection.

Fukumaru, avec son allure peu flatteuse mais son cœur immense, se languit d'amour et de compagnie, alors que Fuyuki, lui aussi empreint de solitude et de chagrin, cherche un nouveau sens à sa vie. Ensemble, ces deux âmes esseulées vont tisser des liens profonds, apprenant à s'apprivoiser et à se chérir mutuellement.

Ce manga tranche de vie, empreint de tendresse et d'humour, illustre avec subtilité la rencontre touchante entre l'homme et son fidèle compagnon à quatre pattes. Au fil des pages, leur relation évolue, et Fukumaru devient bien plus qu'un simple animal de compagnie, il devient un membre à part entière de la famille de Fuyuki.

"Le Chat qui rendait l'homme heureux et inversement" est une œuvre "seinen", destinée à un public adulte, mais qui résonne également avec les jeunes lecteurs. À travers cette histoire, se dessine un récit à double lecture. Au-delà de l'anecdote apparente sur l'apprentissage de la responsabilité envers un animal de compagnie, se dévoile le portrait émouvant de deux âmes en quête de réconfort et d'amour.

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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 5

Encore un épisode plein de tendresse entre Fukumaru et M. Kanda, même si c'est l'heure de l'aventure et aussi beaucoup d'inquiétude pour Fukumaru qui fait l'expérience de l'extérieur et son maître/papa qui a la peur de sa vie.

AU-delà de la relation entre le chat et son humain, c'est une jolie leçon sur l'entraide et le soutien qu'apporte l'amitié.
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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 4

Je continue la lecture de la série « Le chat qui rendait l’homme heureux et inversement » avec les tomes 3 et 4. Kanda et Fukumaru ont appris à s’aimer et à vivre ensemble. Le chat est très attaché à son maître et le lui montre chaque jour avec ardeur. L’autrice Umi Sakurai, après avoir développé dans les précédents opus les blessures psychologiques du dodu félin, relate celles de l’homme, Kanda.



L’épouse de Kanda lui manque énormément et peu à peu Fukumaru comble l’espace vacant au point que ses bêtises, toujours aussi mignonnes, ouvrent à Kanda les portes de la résilience, lui qui ne supporte plus les salles de concert et les concerts tout court. Lui qui ne peut plus vivre de sa passion, grâce à son chat, rencontre – ah la magie de la marionnettiste ! – d’autres personnes, des hommes qui l’admirent comme un jeune collègue, bouillant d’un enthousiasme exubérant, puis un pianiste réputé. Ce dernier est croisé dans la fameuse animalerie où Kanda a acheté Fukumaru. Le pianiste a récupéré le chat, une femelle, de sa mère qui s’en est très vite lassée. Décidé à confier l’animal à un refuge, il se rend compte que cela lui est impossible : des souvenirs d’enfance remontent à la surface lui montrant l’évidente inconséquence maternelle, prendre les animaux pour de simples jouets que l’on peut mettre au rebut. C’est dit, la petite chatte restera à ses côtés et pour ce faire, il lui faut le matériel adéquat. C’est à l’animalerie que la rencontre entre Kanda, le pianiste tant admiré, et Hibino, fan de Kanda et désireux de le surpasser, a lieu.



L’autrice utilise à fond les ficelles de la marionnettiste qu’elle est pour lier les passés de Kanda et de Fukumaru car le lecteur est amené à voir les souvenirs communs de la chatte adoptée et ceux de Fuku. Les scènes sont toujours aussi mignonnes et douces sans être lassantes.



Le tome suivant renforce les liens entre les deux artistes au point que la vérité se fait jour : leurs chats respectifs sont issues de la même portée. Hibino recueille les conseils de Kanda, notamment pour appeler sa chatte qui se terre, effrayée à l’idée d’être abandonnée. Elle doit avoir un nom, pour le connaître, Hibino surmonte sa colère à l’encontre de sa mère pour le lui demander. Marine, la chatte s’appelle Marine. De fil en aiguille, Kanda se propose d’aider Hibino à gérer sa nouvelle vie de propriétaire de chat. Mission numéro 1 : gagner la confiance de Marine, ce qui se fait rapidement, Marine est aussi traumatisée par la peur de l’abandon que Fuku. Mission suivante : mise en place la caisse à litière, en mettre ni trop ni trop peu, c’est tout un art. Kanda invite Hibino chez lui pour présenter Fuku à Marine. Et là, les retrouvailles sont adorables.



Kanda s’ouvre aux autres et renoue, tout simplement, avec la vie au point qu’il accepte d’assister au concert donné par le groupe d’un de ses élèves. On voit Kanda s’inquiéter, cauchemarder, on se demande s’il ira jusqu’au bout malgré son angoisse profonde. Son ami d’enfance décide de faire un test et de l’emmener à un concert avant de se rendre à l’invitation de son élève. On comprend alors la raison de sa phobie lorsqu’il replonge dans ses tristes souvenirs. Là, encore, l’amitié permet d’accéder à la résilience tout comme la présence du chat apaise et panse les blessures.



Peu à peu les choses sont dites, les peurs comme les envies. Hibino parvient à surmonter sa jalousie et Kanda sa peur des salles de concert. Les émotions des héros humains sont accompagnées des émotions félines que l’autrice croque avec humour, drôlerie et beaucoup de tendresse.



Traduit du japonais par Sophie Piauger
Lien : https://chatperlitpopette.wo..
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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 3

Je continue la lecture de la série « Le chat qui rendait l’homme heureux et inversement » avec les tomes 3 et 4. Kanda et Fukumaru ont appris à s’aimer et à vivre ensemble. Le chat est très attaché à son maître et le lui montre chaque jour avec ardeur. L’autrice Umi Sakurai, après avoir développé dans les précédents opus les blessures psychologiques du dodu félin, relate celles de l’homme, Kanda.



L’épouse de Kanda lui manque énormément et peu à peu Fukumaru comble l’espace vacant au point que ses bêtises, toujours aussi mignonnes, ouvrent à Kanda les portes de la résilience, lui qui ne supporte plus les salles de concert et les concerts tout court. Lui qui ne peut plus vivre de sa passion, grâce à son chat, rencontre – ah la magie de la marionnettiste ! – d’autres personnes, des hommes qui l’admirent comme un jeune collègue, bouillant d’un enthousiasme exubérant, puis un pianiste réputé. Ce dernier est croisé dans la fameuse animalerie où Kanda a acheté Fukumaru. Le pianiste a récupéré le chat, une femelle, de sa mère qui s’en est très vite lassée. Décidé à confier l’animal à un refuge, il se rend compte que cela lui est impossible : des souvenirs d’enfance remontent à la surface lui montrant l’évidente inconséquence maternelle, prendre les animaux pour de simples jouets que l’on peut mettre au rebut. C’est dit, la petite chatte restera à ses côtés et pour ce faire, il lui faut le matériel adéquat. C’est à l’animalerie que la rencontre entre Kanda, le pianiste tant admiré, et Hibino, fan de Kanda et désireux de le surpasser, a lieu.



L’autrice utilise à fond les ficelles de la marionnettiste qu’elle est pour lier les passés de Kanda et de Fukumaru car le lecteur est amené à voir les souvenirs communs de la chatte adoptée et ceux de Fuku. Les scènes sont toujours aussi mignonnes et douces sans être lassantes.



Le tome suivant renforce les liens entre les deux artistes au point que la vérité se fait jour : leurs chats respectifs sont issues de la même portée. Hibino recueille les conseils de Kanda, notamment pour appeler sa chatte qui se terre, effrayée à l’idée d’être abandonnée. Elle doit avoir un nom, pour le connaître, Hibino surmonte sa colère à l’encontre de sa mère pour le lui demander. Marine, la chatte s’appelle Marine. De fil en aiguille, Kanda se propose d’aider Hibino à gérer sa nouvelle vie de propriétaire de chat. Mission numéro 1 : gagner la confiance de Marine, ce qui se fait rapidement, Marine est aussi traumatisée par la peur de l’abandon que Fuku. Mission suivante : mise en place la caisse à litière, en mettre ni trop ni trop peu, c’est tout un art. Kanda invite Hibino chez lui pour présenter Fuku à Marine. Et là, les retrouvailles sont adorables.



Kanda s’ouvre aux autres et renoue, tout simplement, avec la vie au point qu’il accepte d’assister au concert donné par le groupe d’un de ses élèves. On voit Kanda s’inquiéter, cauchemarder, on se demande s’il ira jusqu’au bout malgré son angoisse profonde. Son ami d’enfance décide de faire un test et de l’emmener à un concert avant de se rendre à l’invitation de son élève. On comprend alors la raison de sa phobie lorsqu’il replonge dans ses tristes souvenirs. Là, encore, l’amitié permet d’accéder à la résilience tout comme la présence du chat apaise et panse les blessures.



Peu à peu les choses sont dites, les peurs comme les envies. Hibino parvient à surmonter sa jalousie et Kanda sa peur des salles de concert. Les émotions des héros humains sont accompagnées des émotions félines que l’autrice croque avec humour, drôlerie et beaucoup de tendresse.



Traduit du japonais par Sophie Piauger
Lien : https://chatperlitpopette.wo..
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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 3

Un nouvel épisode tout doux dans lequel on en apprend davantage sur Fukumaru (le chat) et M. Kanda (son maître).

Cette fois-ci la mangaka a mis l'accent sur le travail de deuil et de résilience avec les difficultés et anxiétés qui émergent lorsqu'on veut tenter de reprendre sa vie et l'importance des soutiens amicaux (humains et animaux).



Un bon moment de lecture.
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Le chat qui rendait l'homme heureux, tome 2

On continue de suivre M. Kanda et son chat Fukumaru qui redonne du dynamisme et de la tendresse à son quotidien après son veuvage. Bien sûr, son chat et sa bonne grosse bouille amène aussi avec lui son lot de grosses bêtises...



J'ai encore passé un moment doudou fort agréable en compagnie de ce duo qui apprend à se connaître et qui tente de dépasser ses peurs, et ses peines suite à des abandons de manière touchante et dans la bienveillance et la compréhension mutuelle (sauf quand il s'agit du moment de dormir!).



Le parallèle entre les deux personnages et leur vie est toujours aussi intéressant et les péripéties prêtent à sourire - dans un autre genre qu'avec Le Chat du Rabbin de Joann Sfar, on voit que la mangaka a un chat ! De quoi garder l'enthousiasme du tome d'introduction intact.
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