Le premier tome avait été un énorme coup de coeur, j’avais très très hâte que la suite sorte et que je découvre le second tome. Maintenant que c’est chose faite, ça confirme clairement le coup de coeur. Ce manga est une vraie petite pépite, j’aimerais tellement une adaptation en anime, ça serait excellent de voir cette histoire adaptée, je croise très fort les doigts là pour le coup! Je sens que c’est vraiment le genre d’histoire qui va monter crescendo. Le début est excellent mais je suis certaine que plus on va avancer et plus ça va être palpitant!



Dans ce second tome, grâce à ses efforts, et après plusieurs tentatives de meurtre déjouées dans l’ombre, Karin est enfin devenue servante à la cour intérieure ! Elle partage à présent sa chambre avec des collègues qui, elle l’espère de tout cœur, accepteront d’être ses amies… De leur côté, les demoiselles tremblent à l’idée de froisser la fille du terrible O Ko… jusqu’à ce que Reiko décide de dépasser ses préjugés. Hélas, quelques jours plus tard, cette nouvelle camarade est suspectée d’espionnage ! Est-elle réellement coupable ou victime d’une machination ? L’experte en assassinat est déterminée à mener l’enquête…



Comme je le dit un peu plus haut, ça a été un gros coup de coeur pour moi. J’aime la vibe Carnets de l’apothicaire tout en nous offrant une histoire vraiment différente. J’apprécie beaucoup les histoires qui se déroulent comme ça dans le palais impérial, je trouve ça tellement passionnant à découvrir. L’organisation là dedans est tout simplement incroyable je trouve. J’aime surtout le personnage de Karin! Elle est vraiment excellente, elle me fait beaucoup rire, parfois elle me fait beaucoup de peine. En tout cas je prends énormément de plaisir à la suivre dans ses aventures. La pauvre n’a aucun répit avec sa famille, elle qui s’est fait embauchée au palais pour se faire des amies, elle se fait vite rattrapé par son héritage familial. On va découvrir son grand frère d’ailleurs, on a un petit aperçu de leurs enfances et ça m’a fait tellement rire, la pauvre Karin n’a pas du avoir une enfance facile avec 12 grands frères! Oui oui 12! L’état dans lequel se met Karin à la fin de ce tome m’a fait un petit pincement au coeur, elle est trop chou je trouve! En tout cas cette fin donne envie de se jeter immédiatement sur la suite, malheureusement il va falloir attendre.. Ça sent les problèmes pour la suite.. Oh comme j’ai hâte!



Un second tome aussi bon que le premier, voir même un cran au dessus pour moi. Je suis super impatiente de lire le prochain tome, j’espère que l’attente ne sera pas trop longue. Tellement hâte de retrouver Karin, voir toutes les péripéties qui l’attendent, je crois que la pauvre n’a pas fini d’en voir! C’est drôle, on a de l’action, des rebondissements etc, c’est vraiment une très chouette histoire en tout cas!
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☼ Mon avis ☼



Avant de commencer ma chronique, je voulais remercier les éditions Kioon pour l'envoi du premier tome " Le Palais des Assassins ".

"Après avoir été profondément séduite par "Les Carnets de l'Apothicaire", je suis ravie de constater que Kioon nous offre un nouveau titre dans un cadre similaire.

Nous allons une fois de plus explorer la cour intérieure de la Chine, en suivant Karin, une servante confrontée à de nombreuses tentatives de meurtre.

Je vous rassure, ce premier tome parvient à se démarquer grâce à sa protagoniste.

Karin, qui peine à se faire des amies à cause de la réputation de son père, un haut fonctionnaire craint de tous.

Tout au long du tome, on la voit être mise à l'écart, et son attitude ne facilite pas les choses.

Il est difficile de se faire des amis lorsque l'on a été éduqué dans la sévérité.

Karin est clairement détestée, chacun croyant qu'elle est là pour leur nuire.

Pourtant, elle ne désire que deux choses : une vie tranquille et des amis.

Mais le chemin pour y parvenir s'annonce périlleux lorsque tout le monde semble être contre vous.

Grâce (ou à cause) de son père, Karin possède de nombreuses connaissances sur les techniques d'assassinat.

Ainsi, elle devient un élément crucial pour déjouer les plans des assassins qui ciblent l'empereur dans la cour intérieure.

Personnellement, j'ai été captivée par Karin et ses efforts pour être acceptée.

C'est une jeune femme forte, dotée de connaissances impressionnantes, qui se retrouve souvent dans des situations complexes.

De plus, grâce à ses maladresses, l'humour y est présent et j'ai beaucoup ri en sa compagnie.

Ce premier tome m'a véritablement séduite, et je suis convaincue que ce manga a le même potentiel que "Les Carnets de l'Apothicaire".

J'ai apprécié chaque aspect de cette histoire, que ce soit la protagoniste avec ses tentatives maladroites pour se faire des amis, ou sa force et ses compétences remarquables.

En ce qui concerne le dessin, tout est maîtrisé avec brio, et les émotions sont parfaitement retranscrites.

Pour un premier tome, je ne m'attendais pas à être autant conquise.

Je tiens à remercier chaleureusement Kioon pour nous offrir des titres d'une telle qualité et aussi agréables à suivre.
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Extrait :

Second tome de la série, qui, niveau ambiance, me semble bien loin du tome précédent. Si le premier tome était très humoristique, tout en commençant à dénoncer les magouilles de l’ombre à la cour. Celui semble mettre un peu de côté l’humour pour continuer d’évoquer la part sombre de ce lieu. Lieu qui est d’ailleurs tellement grand, qu’il en devient assez difficile d’en faire le tour, même au travers de différentes séries.



On reprend sur un drame qui a commencé à la fin du tome précédente, puisqu’une domestique, Reiko, a été surprise en essayant d’envoyer une lettre à son amoureux. Visiblement, les échanges avec l’extérieur sont très contrôlés, notamment chez le personnel. C’est normal, l’espionnage existe déjà et quelqu’un surpris à être un espion risque sans doute très gros. C’est en ayant connaissance de tous cela, que certains domestiques, n’hésitent pas à utiliser le peu d’influence qu’ils ont pour mettre à mal les autres. Reiko est donc victime d’une jalousie, de la part d’une autre servante, qui a sans doute peur de perdre sa place ou une opportunité à cause d’elle. La cour peut sembler regrouper tout ce qu’il y a de plus noble au premier abord, mais la réalité est bien plus sombre, et celle-ci est surtout remplie de personnes avides de pouvoir et prêtent à tout pour en obtenir d’avantage. Pas de chance pour le bourreau cette fois-ci, puisqu’elle sera bien remise à sa place par la princesse elle-même. Bien sûr, cela ne retirera en rien le mal qu’à déjà subie Reiko. Mais cette intrigue permet de mettre en avant la princesse Koki, ainsi que ses motivations et sa personnalité. La perte de son frère ainé a visiblement été un vrai choc, qui entraîne désormais beaucoup de colère en elle, colère qu’elle reporte sur le nouvel empereur, plus jeune qu’elle (et qui n’a rien demandé non plus).



D’ailleurs, en parlant du nouvel empereur, il semblerait qu’il soit un personnage récurrent à l’intrigue puisqu’il refait deux apparitions. Notre protagoniste semble également se rapprocher de lui, sans le faire exprès. Dans un sens, ils ont une histoire assez similaire, puisqu’ils subissent tout deux les résultats provoqués par leurs proches. Karin subie une mauvaise réputation (qui semble changer un peu) à cause de son père et de ses frères, mais elle a aussi des problèmes physiques, comme le manque de sommeil à cause des cauchemars qu’ils provoquent chez elle. Pour l’empereur, il est enfermé dans une cage dorée, surtout après ce qu’il s’est passé avec l’autre prince. On ne lui a pas vraiment demandé son avis, et le voilà devenu empereur, avec des soi-disant responsabilités, alors que tout cela n’est en réalité que de l’apparat. Il a l’impression d’être faible et inutile, j’imagine qu’il n’a pas vraiment de poids politique. Il aimerait juste s’entendre avec sa sœur, mais sa rencontre fortuite au cours du tome lui indique que c’est impossible. Il semble également avoir la santé fragile, mais quand l’esprit ne l’est pas, c’est un peu normal.



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Le manga gagne en puissance avec le tome 2. On s'attache à l'héroïne et à ses tentatives maladroites pour se faire des amies et pour échapper à l'emprise de sa terrible famille. Le personnage du jeune empereur est également intéressant, on le voit perdu au milieu des intrigues et essayant de s'en sortir.

Le palais des assassins surfe sur la vague des Carnets de l'apothicaire pour son thème des intrigues dans une ancienne cours chinoise.

Cependant, l'héroïne est différente : O Karin est la fille d'un homme haut placé dans l'empire, réputé pour ses assassinats et pour les tortures qu'il inflige. C'est là que j'ai un peu de mal : l'éducation de Karin porte sur les 1001 façons d'assassiner et elle garde suffisamment foi en l'humanité pour vouloir se faire des amies. Par contre, le côté "tentative d'assassinat à tous les coins de rue" est jouissif et on se surprend à chercher d'où peut provenir le prochain coup !

Mystère, mystère ! Voilà un tome qui aime jouer avec celui-ci à l’intérieur comme vers nous.



Et pour autant, je trouve que le titre reste un peu timide pour le moment. Il se cache derrière son humour et son décalage, proposant quelque chose de différent mais en restant un peu trop en surface pour moi. Je ne suis ainsi pas passionnée par le parcours de Karin dans cette cour intérieur dans ce tome. Je l’ai suivie un peu de manière automatique pendant les trois quarts de ce tome, que ce soit lors de l’enquête des débuts ou lors de la visite de son frère et seul le twist final m’a un peu réveillée.



Cela reste cependant une lecture agréable, justement parce qu’elle est fraîche et amusante. Nous ne sommes pas dans des intrigues et enquêtes serrées et tendues. C’est plutôt frais et rigolo car Karin et sa famille offre un sacré contraste. La découverte de son frère aîné et de sa relation avec lui est quelque chose. Les histoires s’enchaînent donc assez facilement à défaut de rester dans les mémoires. On sourit d’ailleurs enfin de la voir se trouver une amie au détour d’une affaire, ou encore de renforcer bien malgré elle les liens avec sa famille qui compte sur elle au final.



Là où le bas blesse, c’est qu’on nous vend et promet des mystères autour de cette cour, de ses occupants et de son empereur et sa famille, mais ça avance très peu et très lentement. Les quelques découvertes de ce tome sont bien faibles. Je n’ai pas trouvé intéressante ou convaincante l’intervention de la soeur de l’Empereur. Je trouve ce dernier bien fade et transparent. Il faut attendre le dernier chapitre et l’envoi de Karin dans un coin reculé du palais pour avoir un semblant de quelque chose d’intéressant avec la femme qu’elle rencontre et qu’on devine. C’est fort peu. Espérons que ça change dans le prochain tome.



Bien que passant un agréable moment, je suis restée pas mal sur ma faim avec ce nouveau tome qui oui, tranche de son concurrent direct, mais un peu en sa défaveur car c’est une lecture un peu anecdotique dans ce qu’elle propose scénaristiquement. J’attendais plus du côté des mystères. J’attendais plus des interventions de Karin. Le premier tome était plus riche dans tout ce qu’il proposait.
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Ce 2ème confirme mon attrait pour cette nouvelle série de chez Kioon. Je m'attache vraiment à Karin et surtout à la relation qu'elle développe doucement avec la jeune empereur. Je trouve que l'intrigue est imprévisible et les petites enquêtes et complots sont vraiment passionnants. Il faut dire que j'adore l'ambiance des cours intérieurs impériales, c'est déjà ce qui m'avait séduit dans Les carnets de l'apothicaire. Mais même si le contexte est similaire, je trouve que l'histoire de Karin se démarque bien et ne ressemble pas du tout à celle de Mao Mao. Ces deux héroïnes et histoires sont un peu comme des des cousines lol 😅

Le graphisme et l’histoire avec une héroïne également dans le palais impérial coupé du monde, rappellent inévitablement Les carnets de l’apothicaire. Je n’ai pas lu les Carnets de l’apothicaire, donc je ne peux pas véritablement parler des différences entre les 2.



En tout cas, j’ai passé un bon moment avec ce manga, en compagnie d’une héroïne attachante, qui voudrait à tout prix se faire des amies, mais qui traîne derrière elle une réputation sulfureuse car elle est la fille du plus haut fonctionnaire craint de l’empire, commanditaire des plus vils assassinats. Tout le monde la fuit donc comme la peste, alors qu’elle a bon cœur et qu’elle est simplement gaffeuse, ce qui donne des répétitions sur le même ressort comique, en parallèle de résolutions d’intrigues assez basiques. P



L’évolution du manga est déjà annoncé dans ce premier tome : O Kirin veut s’intégrer dans la cour, monter les échelons (très bien expliqué de servante à concubines), et elle sauve déjà le jeune empereur de tentatives d’assassinat, car tout le monde veut avoir sa peau.



A voir si la série ne s'essouffle pas au fil des tomes !