J'ai découvert John Grisham avec 'La firme', une des premiers 'legal thrillers' des années 80. 



J'ai beaucoup apprécié ses romans suivants, puis je me suis lassée. 



Depuis quelques années, je l'ai redécouvert au travers de ses romans 'historiques' qui replongent dans la vie quotidienne de petites villes du sud des Etats Unis, dans les années 50 et 60 au moment où la déségrégation cassait les habitudes. 



Mais, j'ai eu la surprise de retrouver Mitch et Abby McDeere, les protagonistes de LA firme dans ce nouvel opus, dont l'action se déroule en 2005. 



On retrouve Mitch avocat new yorkais, aux horaires improbables (9h _ 18h) , qui accompagne ses jumeaux à l'école chaque martin et, de fait, refuse toute réunion avant 9h (je doute de la vraisemblance, mais bon) 



Le responsable du bureau italien, grand avocat italien doit défendre les intérêts  un client turc, qui n'arrive pas à se faire payer les dernières factures d'un projet pharaonique qu'il a construit en Lybie.  L'italien gravement malade demande à Mitch de le remplacer pour un voyage en Lybie, et, tat qu'à faire de partir avec sa fille, jeune avocate du bureau de Londres. 



Et ce qui devait arriver arriva. 



Giovanna se fait enlever par un groupe terroriste, Mitch remue ciel et terre : les gouvernements américain, anglais et italien, le client turc, les associés réticents de sa firme ... pour réunir la rançon, tout en parcourant le globe en jet privé, en planquant ses enfants dans une île du Maine où ils sont nourris (quasi exclusivement) de homard. 



Un roman que j'ai terminé ... parce que je voulais connaitre le sort de Giovanna ... 



Mais, des longueurs à tous les étages, des invraisemblances dans tous les recoins du roman, des retours sur les mésaventures post dénonciation de ses premiers employeurs m'ont fait craindre leur réapparition dans cet opus très décevant ! 



Bref, c'est certainement le roman de trop de l'auteur qui ferait mieux de profiter d'une retraite dorée ! 



Je remercie NetGalley et les Editions Jean Claude LAttès qui m'ont offert cet ouvrage 



#Leréseau #NetGalleyFrance
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

vraiment ennuyeux. Rien à voir avec le Grisham que l'on aime. Aucun plot, aucun rebondissement, aucune action, aucune enquête.

Pour remplir des pages, Grisham nous indique ce que mange les enfants de Mitch. Le livre se résume à la quête de Mitch pour trouver des supports. Vraiment nul.

On ne présente plus John Grisham. Depuis plusieurs dizaines d’années, il est devenu le spécialiste des polars juridiques. Grâce à lui et à ses procès détaillés, les portes des cabinets d’avocats et des tribunaux nous sont grandes ouvertes. On assiste aux rouages de la justice que ce soit du côté de Goliath ou plus souvent du côté de David. Alors quand a été annoncé l’arrivée de la suite de « La firme », son bestseller, je n’ai pas caché mon enthousiasme.



Le lecteur reprend contact avec Abby et Mitch McDeere qui, quelques années après leurs aventures mouvementées, ont réussi à retrouver une vie sereine. Mais un acte terroriste va replonger le couple dans la tourmente. Un contre-la-montre est alors lancé pour trouver une sortie heureuse.



Je suis d’ordinaire assez fan des livres de l’auteur américain. Ce sont des thrillers sobres et efficaces, qui manient avec dextérité les subtilités du système judiciaire. Je prends un certain plaisir à combattre les illégalités à ses côtés et à voir la justice triompher de la loi du plus fort.



Malheureusement, dans « Le réseau », je n’ai rien retrouvé des éléments qui font sa force. Cette histoire d’enlèvement est plutôt banale et monotone. Les scènes sont plates, répétitives au point que j’ai eu l’impression de tourner en rond dans ma lecture. La recherche de fonds pour la rançon est le seul fil conducteur. Aucune péripétie, aucun retournement de situation, aucune surprise ne vient animer le scénario. J’ai donc laissé dérouler sous mes yeux les voyages et les dialogues des protagonistes, sans jamais être emporté par les péripéties.



Cette chronique emplie de déception ne reste que mon humble avis. Je vous laisse le choix de vous faire votre propre opinion. Je n’en tiendrai bien sûr pas rigueur à l’écrivain qui m’avait jusque-là toujours enchanté !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..

Retrouvailles avec Mitch et son épouse Abby, découverts dans La Firme. Leur couplé va encore se trouver dans une situation complexe et stressante suite au travail de Mitch mais, cette fois, Abby jouera un rôle de 1er plan. Très bon livre. Bien écrit

Je pense avoir lu tous les livres de JG mais je n'aurais jamais dû ouvrir celui-là



banal, sans fin, des RV pour des rançons à droite et à gauche etc etc.

Du mauvais roman de gare et qui coute cher. Faut bien payer la rançon..

En résumé, l'otage c'est le lecteur.

Pour ceux qui connaissent le jet lag, prenez soin de faire les calculs d'avions pris par notre héros, d'ouest en est et d'est en ouest.; toute cette histoire est invraisemblable et ne tient pas.

Puissiez vous faire remonter les critiques aux personnes chargées de diffuser ce navet en France.

Incontestablement le plus mauvais livre que j’ai lu ces dernières 10 années.

Intrigue nulle, description permanente de détails insignifiants.

John grisham avait il des impôts en retard à payer ? Ceci pouvant expliquer ce livre sans intérêt

De plus vouloir profiter de l’effet la firme (je suis tombé dans le piège) est limite tromperie

Férue des livres de John Grisham, j’ai trouvé celui-ci plutôt décevant. En effet, si on retrouve Mitch Mc Deere, héros de « La Firme », il manque cruellement cette fois-ci le côté « haletant » de l’histoire ou, à défaut, l’aspect judiciaire, qui ont fait les beaux jours de l’auteur. Là, nous nous trouvons face à un kidnapping en Lybie d’une avocate, collègue de Mitch. Toute l’histoire tourne autour des tractations avec les gouvernements britannique, italien et américain, les assureurs du grand cabinet d’avocats qui emploie la victime, son comité directeur etc… pour recueillir les 100 millions de rançon demandés par les ravisseurs. Au passage, l’auteur donne une piètre image de ces grands cabinets internationaux d’avocats pour qui, seuls l’argent et les intérêts personnels prévalent. Enfin, le peu de suspense de cette lecture repose sur : va-t-on pouvoir réunir une telle somme ? l’otage va-t-elle être libérée ? Pas un grand cru, donc, sauvé uniquement par l’écriture toujours alerte et agréable de l’auteur.

Pour ma part, lorsque je me plonge dans les romans de Grisham, c'est pour explorer l'univers sombre mais incroyablement captivant du système judiciaire américain. Le plaisir aussi des envolées verbales lors des plaidoiries.

Dans ce livre, John Grisham explore un terrain nouveau en s'éloignant de son domaine de prédilection, pour nous plonger dans l'univers complexe et obscur du terrorisme. Cette incursion dans un sujet aussi brûlant que d'actualité, démontre la capacité de l'auteur à se renouveler tout en conservant sa maîtrise narrative.

Grisham dépeint avec minutie les rouages du terrorisme moderne, nous transportant au cœur d'un récit où les enjeux sont colossaux et les conséquences potentiellement dévastatrices. Son écriture précise et immersive nous entraîne dans un monde où la tension est palpable à chaque page tournée.

Cependant, pour les habitués, comme moi, de l'univers judiciaire de Grisham, "Le Réseau" représente un changement déconcertant. L'absence des plaidoiries passionnantes et des rebondissements judiciaires va décevoir ceux qui se sont attachés à l'aspect procédural de ses œuvres précédentes. Pourtant, malgré cela, la qualité de l'écriture et la richesse de l'intrigue compensent ce décalage thématique mais me laisse malgré tout un goût d'inachevé. Jusqu'au dernier moment, j'ai pensé que nous allions assister au grand procès annoncé dès les premières pages. Malheureusement, mon espoir a été brusquement douché par la fin du livre.
Lien : https://jelisquoi.blogspot.c..