Ana Johns

Une vie avec de l’amour est une vie heureuse. Une vie pour l’amour est une idiotie. Une vie de si seulement est un supplice. Au cours de mes soixante-dix-huit années, j’ai connu les trois.

L’inquiétude confère de grandes ombres aux petits riens.

Nous ne pouvions pas contrôler combien de temps nous avions à vivre, mais nous pouvions contrôler ce que nous faisions de notre vie.

Dans la vie, le sage construit son propre paradis tandis que l'idiot se plaint de l'enfer, mais je pense que les deux endroits sont inévitables, et que les deux sont temporaires. Le paradis n'est pas un lieu où notre esprit futur se repose. Il consiste à trouver le bonheur dans notre état actuel. De la même façon, les grilles de l'enfer ne comportent pas de cadenas ; il ne s'agit que d'une souffrance pendant un temps donné.

Ma grand-mère dirait que là où la prospérité fait naître des amitiés, l'adversité met à l'épreuve.

Se contenter de savoir une telle chose ne suffit pas. Tout d'abord, il faut comprendre. Et cela exige du courage de la part de deux personnes. Celle qui parle. Et celle qui écoute.

Je ne peux pas changer le monde dans lequel nous vivons, mais en m'inspirant de l'exemple du coeur courageux d'Okaasan, je peux changer le cours de quelques existences.

L'inquiétude confère de grandes ombres aux petits riens.

"Pour savoir où tu vas, tu dois à la fois connaître tes racines et la direction de tes branches"

Pour savoir où tu vas, tu dois connaître à la fois tes racines et la direction de tes branches.