AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.82/5 (sur 458 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Sardaigne , le 07/12/1955
Biographie :

Née en Sardaigne, Anne Pouget-Tolu a passé son enfance en Lorraine avant de poursuivre ses études en puériculture à Strasbourg et de se mettre à l’écriture.
Historienne, spécialiste du Moyen Age, Anne Pouget-Tolu a commencé a écrire des livres pour la jeunesse dans les années 80.
Son premier titre, "Le Fabuleux Voyage de Benjamin", a reçu le Prix du roman enfant en 1994.
Depuis, elle n’a pas arrêté de publier et d’animer des ateliers de recherche et d’écriture dans les écoles. Certains de ses titres laissent entrevoir sa passion pour l'histoire, en particulier médiévale. A noter parmi eux : "Le mystère des pierres" et "Les derniers jeux de Pompéi".
Elle vit actuellement à Paris, dans le 14e arrondissement.

Source : http://jeunesse.casterman.com
Ajouter des informations
Bibliographie de Anne Pouget   (28)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Anne Pouget parle de "Tribunal de guerre du IIIe Reich" Partie 1


Citations et extraits (299) Voir plus Ajouter une citation
- Ce n’est pas ta faute si tu es née ainsi. Sache qu’à mes yeux, il n’y a aucune différence, que tu es aussi belle que ton père, tes frères ou tes sœurs, et que je suis fière de tous mes enfants de la même manière. Souviens-toi de ceci : l’amour se moque des apparences et supporte les mauvaises paroles. Et les sots qui ne s’arrêtent qu’à cela ne méritent pas qu’on s’y attarde.
Commenter  J’apprécie          270
- Te rends-tu compte, fidèle écuyer, que Merlin me donne l'occasion de franchir, pour la première fois, les portes de ce domaine ?
Cornebulle se chatouilla le bout du nez à l'aide d'une plume de faisan (qu'il avait préalablement retirée à la bête, bien évidemment) avant de s'exclamer, tout heureux :
- Vous allez enfin être un prince qu'on sort !
- Mon pauvre Cornebulle ! Un prince consort [en italiques], c'est le mari d'une reine, qui devient prince par le mariage, c'est-à-dire par un sort conjoint "consort", et non un prince qu'on emmène en promenade et qu'on sort [en italiques] !
Commenter  J’apprécie          250
- Les gens ne voient que mon apparence... Si encore j'étais née princesse. Les reines n'ont pas besoin d'être belles, leur rang leur suffit.
Montaigne lui adressa un clin d'œil :
- Souviens-toi d'une chose, jeune-fille : sur le plus beau trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul !
Commenter  J’apprécie          00
- Vous attendiez notre venue ? Et comment avez-vous su qu'elle allait venir, notre venue, et nous avec ? Liriez-vous l'avenir ?
- L'avenir est à venir et ce qui est à venir n'est pas encore là, alors comment savoir de quoi il sera fait, même si l'avenir de chacun est déjà commencé à l'instant présent ?
Philibert pouffa et, à l'adresse de Cornebulle, il souffla :
- Tu ne m'avais pas dit que tu avais de la famille par ici !
Son écuyer rabattit rageusement les pans de sa cape sur son ventre et grognonna, de mauvaise grâce :
- Vos moqueries, je m'en cire, sire !
Commenter  J’apprécie          190
Madeline prit la main d'Arigo et ils esquissèrent quelques pas de danse au son de ce nouvel instrument qui semblait pleurer ses notes : le violon.
Commenter  J’apprécie          00
Le chevalier chantait si bellement que tous les animaux de la forêt s'émerveillaient de l'entendre : ils semblaient à ce point émus que, soulignant ce moment intense, l’assemblée tout entière se retint : le criquet de criqueter, la mésange de titiner, la huppe de pupuler, la fauvette de zinzinuler, le chat-huant de chuinter, l'alouette de turluter, la bécasse de coucouanner, ...
Commenter  J’apprécie          192
- Dois-je porter le poids du monde sur mes épaules? Faut-il toujours se justifier? Et toi, t'es-tu justifiée d'être chrétienne? Qu'avais-je de différent jusqu'à ce que tu l'apprennes? Je respirais le même air que toi, j'ai sauvé la vie d'un inconnu, tout juif que je suis. Je n'ai qu'un Dieu, et en son nom je fais le bien, j'aide mon prochain. Et vous, chrétiens, qui mélangez Père, Fils et Saint-Esprit, en leur nom vous maudissez juifs, lépreux et prostituées!
(...)
Résigné, il la laissa s'éloigner. Son regard s'évada pour se fixer sur la Maison des Templiers, vaste forteresse qui dressait ses remparts crénelés, ses tours, son donjon plus haut que celui du Louvre. Voilà à quoi ressemblait le monde pour lui: un rempart de chrétiens fermés à la tolérance et à l'amour... Et le sien, d'amour, il venait de le perdre à tout jamais, simplement parce qu'il était juif.
Commenter  J’apprécie          160
Oyez, oyez, galants lecteurs !
Sans doute seriez-vous tentés de croire que les histoires et historiettes révélées dans cette histoire sont sorties toutes cuites du cerveau dérangé de Cornebulle ?
Non point ! Ce sont parfaitement véridiques légendes, attestées par les plus savants historiens.
C'est que du temps de Philibert, il suffisait de retourner une pierre et, hop ! un démon velu vous sautait au visage. Et laissez-moi vous dire qu'on avait tôt fait d'apprendre son orthographe, sous peine de finir entre les griffes de l'affreux Tttivilus !
Mais assez parlé, voici ici listées les plus authentiques et fabuleuses histoires qui parsèment le roman que vous venez de savourer.
Commenter  J’apprécie          150
[XVe siècle] Grâce à l'innovation apportée par le bouton, et qui permettait d'assembler les vêtements sans qu'on ait plus besoin de les lacer, l'habillage était devenu un jeu d'enfant ; il permettait notamment de changer uniquement une partie d'une tenue, telles les manches, plus vite salies. De là l'expression : "C'est une autre paire de manches". (p. 111)
Commenter  J’apprécie          150
Quand repenseras-tu à ta conversion? Elle te rendrait libre! Libre de marcher dans les rues sans crainte d'être reconnu et molesté, libre de sortir un jour comme celui-ci, libre d'exercer un métier qui te plaît, libre de rester en vie...
- Pourquoi ne peut-on être libre, tout simplement?
- Tu sais, c'est surtout la faute du pape. Il dit que les Juifs ont tué le Christ.
- Oui, mais moi, je n'y suis pour rien! Mon père n'y était pour rien, mon oncle Isaac non plus. Alors, pourquoi nous punir pour un crime vieux de mille ans? Et puis, il y a une chose qu'il faudrait que tu m'expliques: vous dites que votre Christ est ressuscité. S'il est ressuscité, c'est donc qu'il n'est pas mort, et s'il n'est pas mort, on ne peut être accusés de son crime!
Incapable de répondre à cette évidence, Côme garda le silence.
Commenter  J’apprécie          140

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Anne Pouget (686)Voir plus

Quiz Voir plus

Quelle épique époque opaque ! le quiz

Quel est le personnage principal ?

Philiberte
Philibet
Philibert
Philibret

7 questions
41 lecteurs ont répondu
Thème : Quelle épique époque opaque ! de Anne PougetCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..