AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.17/5 (sur 287 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Neuilly-sur-Seine , le 15/04/1969
Biographie :

Bruno Le Maire est un homme politique français.

Il entre à l'École normale supérieure en 1989, où il débute des études de littérature française, avec un mémoire sur La Statuaire dans « À la recherche du temps perdu » de Proust, sous la direction de Jean-Yves Tadié.

En 1992, il est reçu major de l'agrégation de lettres modernes. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1993 (section Service public), il intègre l'École nationale d'administration (ENA) au sein de la promotion Valmy (1996-1998) d'où il sort classé 20e.

En 1998, à sa sortie de l'ENA, il entre au ministère des Affaires étrangères, à la Direction des Affaires stratégiques, de Sécurité et du Désarmement.

Ancien directeur de cabinet de Dominique de Villepin et député de l'Eure, il est nommé, le 23 juin 2009, ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche, ainsi que de la Ruralité et l'Aménagement du territoire le 14 novembre 2010.

Après plusieurs ouvrages parlant de son engagement, il publie en 2012 son premier roman "Musique absolue" (Une répétition avec Carlos Kleiber) aux éditions Gallimard.
+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Bruno Le Maire   (16)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (33) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de
Bruno le Maire: "Trump est un homme dangereux !" - On n'est pas couché 2016 #onpc #shorts #archives

Citations et extraits (74) Voir plus Ajouter une citation
Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus : ‘Tu viens, Oskar ? Je suis dilatée comme jamais.’ En disant ces mots elle avait un visage d'ange ; si elle était folle d'amour, moi j'étais en extase.
Commenter  J’apprécie          151
Je me laissais envahir par la chaleur du bain (...) et la main de Pauline qui me caressait doucement le sexe.
p. 107
Commenter  J’apprécie          143
Alors nous les éventrions de tout leur long, avec un couteau différent, plus long, plus effilé, un peu comme un sabre japonais : les ventres fendus en deux vomissaient des tripes mauves’ qui tombaient dans des bassines en fer-blanc.
Commenter  J’apprécie          90
Après mes règles, pendant deux ou trois jours, je suis excitée comme jamais, je mouille. Il lui arrivait de soulever son t-shirt gris pâle pour exhiber ses seins. Tu as vu comme ils sont gros aujourd’hui ? Tu as vu, Oskar ? Elle le retirait totalement, dévoilant dans le creux de ses aisselles des petits points rouges comme des piqûres de moustique. Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus : Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais".
Commenter  J’apprécie          84
… la musique est une incertitude. Et Carlos a passé sa vie plongé jusqu’au cou dans cette incertitude, au point de se noyer parfois dans le doute, un doute affreux qui le privait de tous ses moyens, pourtant exceptionnels.
Commenter  J’apprécie          80
Haydn a raison, toutes les puissances créatrices sont plus fortes que la mort. Arrêtez de regarder votre histoire à travers les mêmes lunettes. Vos verres sont dépolis
Commenter  J’apprécie          80
Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe (2022)
Je paye beaucoup de paquets de pâtes. (2023)
Commenter  J’apprécie          80
Un jour où nous répétions le "Freischütz", alors que nous patinions sur l'ouverture depuis deux heures, il agite son bras gauche, hoche lentement la tête et nous pose la question : "Est-ce que vous croyez aux fantômes ?" Deux fois, il nous demande, sur un ton de voix sincère, un sourire énigmatique flottant sur ses lèvres : "Est-ce que vous croyez aux fantômes ?" Après un silence, il ajoute : "Votre musique manque de fantômes." Il lève sa baguette. Reprise. Nouvelle interruption. "Les fantômes ! Où sont vos fantômes ?" Il se passe lentement la main dans les cheveux, il les ramène en arrière. Il commence à transpirer. A chaque répétition, il transpirait abondamment. "Vous perdez le tempo ! Gardez le tempo ! On reprend à 54. Non, 55." Reprise. Nous nous efforcions de faire naître les fantômes en respectant le tempo. Les deux ensemble : les fantômes et la mesure. Une tâche impossible. Interruption. "Les violons ! Vous n'êtes pas assez nets. Pas assez détachés. On doit entendre : ta-ta-ta-ta-ta !" Il se mord la lèvre inférieure, il articule ses instructions avec le plus de netteté possible. Avec son pouce et son index, il pince le vide devant lui : "Vous entendez ? Ta-ta-ta-ta-ta et ta-ta-ta-ta-tim ! Ce sont des fantômes, mais des fantômes très mathématiques." Vous connaissez un seul chef qui ait fouillé la musique au point de dénicher des fantômes mathématiques ? Non ? Vous me faites plaisir. Pour une fois, vous me faites plaisir. Je vous disais quoi ? J'ai un trou. Qu'est-ce que je vous disais ? Les fantômes. Il fallait croire aux fantômes pour jouer correctement le "Freischütz", selon Carlos.
Commenter  J’apprécie          50
Un livre prenant, étonnant, qui place le lecteur face à de nombreuses questions dont celle de cette citation extraite du roman :

« Vous voulez que je vous dise ce qu'il y a ? Vous êtes des orgueilleux ! Vous vous prenez pour des types formidables. Vous connaissez mal votre métier. Vous faites la moitié de votre travail. Vous trouvez que vous avez encore trop à faire. Si vous en faisiez dix fois plus, ce serait encore insuffisant.........
Je vous le dis tout net, votre possible ne vaut pas grand chose. Vous ne pouvez pas faire mieux ? Je le sais bien et je ne dis rien. »
(Extrait de « Musique absolue » p. 25-26)

Ce passage est une citation de « Le nègre du narcisse » de Joseph Conrad. Ces propos sont ceux que tient un capitaine à ses matelots alors que leur navire est pris dans une terrible tempête.

Dans « Musique absolue » le violoniste autrichien rapporte à son interlocuteur qu'une fois au moins l'attitude de Carlos Kleiber au cours d'une répétition aurait pu se traduire de cette manière.
Commenter  J’apprécie          50
Il n'y a pas seulement 68 millions de Français ; il y a 68 millions de France.
Commenter  J’apprécie          70

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Bruno Le Maire (364)Voir plus

Quiz Voir plus

Professions des personnages de roman ( avec indices)

Charles, le mari d'Emma Bovary dans Mme Bovary de Gustave Flaubert Indice : hippocrate

avovat
pharmacien
notaire
médecin

15 questions
391 lecteurs ont répondu
Thèmes : personnages , roman , littératureCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}