"Les compliments peuvent faire des miracles."
"Autrefois, il fallait être hors du commun pour être célèbre, maintenant, vous devez être célèbre pour être hors du commun."
"C'est si simple de dire des méchancetés [...]. Mais c'est tellement réjouissant de penser et de dire une gentillesse. Ca montre qu'on est heureux et ça permet de comprendre ce qui fait que la vie vaut d'être vécue."
"L'authentique, c'est la personne avec laquelle vous aviez un lien sincère et chargé de sens. Quelqu'un qui manifeste ses défauts, ses craintes - ce n'est comme ça qu'on peut connaître quelqu'un, lorsqu'il dévoiles ses failles."
Julia qui , avec son interprétation très personnelle du chic branché et un rien bohème, était encore plus éblouissante que les pierres . Son style n'avait rien de léché , il était éclectique et néanmoins élégant .Ses vêtements sortaient peut-être des Puces ou de l'armoire de sa grand-mère , mais ils faisaient un effet boeuf ; Elle avait une allure , un look bien à elle . quelque chose que Lell , avec ses multiples conseillers et ses moyens illimités , ne réussiraient jamais à avoir . L'argent ne pouvait pas acheter ce genre de style , inventif et intelligent .
"[...] les secrets étaient comme des devises, dotés de plus de valeur quand seuls quelques rares élus les possédaient. Mais cela étant, que valait un secret, quand les autres ignoraient qu'on le possédait...?"
Augustus , vingt_trois ans , terminait sa cinquième année d'études à Boulder, l'Université du Colorado ; il y avait choisi comme spécialité les Etudes Féminines , ce qui signifiait étudier les femmes (de près - de très près ), et comme option , la botanique (traduction : fumer de l'herbe ).
Le problème de ces clubs aujourd'hui, voyez-vous, ce sont les gendres. Ces types qui épousent les filles de membres de longue date et qui, ensuite, se débrouillent pour s'immiscer dans tous les conseils d'administration et les verrouiller - après quoi, ils font la pluie et le beau temps et n'admettent plus que leurs amis. Ce sont les premiers à dénigrer l'héritage en essayant sans cesse d'introduire du sang neuf
Les jeunes générations d'aujourd'hui étaient tellement irrespectueuses ! A son époque, il aurait été impensable de proférer des grossièretés en présence des parents. Néanmoins, Morgan ayant grandi sans beaucoup voir ses parents - qui l'avaient expédié à six ans en pension, en Angleterre -, il était fier et reconnaissant de la relation franche et ouverte qu'il entretenait avec ses garçons. Pour rien au monde il n'aurait voulu devenir à son tour le monstre de discipline qu'avait été son père. Il se souvenait encore du sentiment de terreur qui l'habitait, lors des repas familiaux. De son père, il ne lui restait pourtant que des images floues - celles d'un homme perpétuellement plongé dans la lecture d'un journal, qui avait passé sa vie à voyager pour ses affaires, et à amasser les nombreux millions qui généraient aujourd'hui suffisamment d'intérêts pour assurer à ses descendants une vie confortable.
Il est universellement connu que tout cavalier mondain se doit de satisfaire à un certain nombre d'exigences. Il se doit de dispenser avec effusion des flatteries à la femme qu'il escorte ; de posséder dans son escarcelle une mine inépuisable de ragots croustillants, et de faire un ingénieux usage de sa langue acerbe en démolissant à coups de remarques blessantes les rivales de la dame qu'il accompagne.