Sans être totalement à l'écart, elle n'a jamais éprouvé le besoin d'être très entourée socialement.
Je rêve de choses que je suis incapables de garder lorsque je les ai. Je mets des complications partout, je me pose trop de questions, changer mes habitudes de vie me fait peur. Partager mes faiblesses avec quelqu’un m’angoisse.
Mes pensées sont régulièrement occupées par les souvenirs de mon mari, mais je n’en parle que très peu, même avec ma fille. En parler ravive la douleur. La douleur rappelle le manque et le manque entretient la peine. C’est un cercle vicieux dont j’essaie quotidiennement de me défaire.
Ne laisse pas tes doutes prendre le dessus.
Vous verrez qu’il en faut peu pour rendre les gens heureux. Il suffit parfois simplement d’un peu de pâte feuilletée.
Voir la jeunesse lire m’a toujours attendrie. Tout espoir de cultiver l’être humain n’est pas perdu face à l’abondance des applications Internet et autres réseaux sociaux.
C'est incroyable les ressources que l'être humain possède pour trouver des solutions lorsque la vie est menacée.
Tout ce qui nous arrive m'énerve. J'en ai marre de patauger dans la mouise. Je sature de tout ce noir dans notre vie.
Prenez du plaisir à ce que vous faites . Vous verrez qu’il en faut peu pour rendre les gens heureux. Il suffit parfois simplement d'un peu de pâte feuilletée.
Ici, j'ai découvert une nouvelle manière d'écrire, de nourrir mes personnages. Il y a tellement d'histoires à écouter dans un salon de thé, tellement de bribes de vie à découvrir et de sources d'inspiration à saisir. Seule à Paris, j'étouffais entre les murs de mon appartement et les souvenirs de mon mari, mes personnages mouraient à petit feu. Ici, ils reprennent le goût du sucré de la vie lorsqu'elle est douce...