Nationalité : France
Né(e) à : Bercy , le 18/11/1851
Mort(e) à : Paris , le 16/08/1924
Né(e) à : Bercy , le 18/11/1851
Mort(e) à : Paris , le 16/08/1924
Biographie :
Henry Céard est un romancier, poète, auteur dramatique et critique littéraire français.
D'abord employé au ministère de la Guerre, il est successivement attaché au cabinet du préfet de la Seine, puis sous-directeur de la bibliothèque de la Ville de Paris à l'hôtel Carnavalet.
Il collabore à diverses feuilles comme critique littéraire et dramatique et participe au recueil collectif des Soirées de Médan avec sa nouvelle La Saignée, relatant un épisode du siège de Paris.
Son roman le plus connu, paru en 1881, est Une belle journée, vision du pot-bouille naturaliste et du quotidien banal petit-bourgeois, poussé dans l'adultère par la morosité de son existence.
Henry Céard est un romancier, poète, auteur dramatique et critique littéraire français.
D'abord employé au ministère de la Guerre, il est successivement attaché au cabinet du préfet de la Seine, puis sous-directeur de la bibliothèque de la Ville de Paris à l'hôtel Carnavalet.
Il collabore à diverses feuilles comme critique littéraire et dramatique et participe au recueil collectif des Soirées de Médan avec sa nouvelle La Saignée, relatant un épisode du siège de Paris.
Son roman le plus connu, paru en 1881, est Une belle journée, vision du pot-bouille naturaliste et du quotidien banal petit-bourgeois, poussé dans l'adultère par la morosité de son existence.
Source : Wikipédia
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Citations et extraits (5)
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- Pourquoi êtes-vous venue, si c'était pour vous en aller.
Elle répéta comme le matin :
- Je n'aurais pas voulu vous faire attendre pour rien, et puis je tenais à vous dire de ne plus penser à moi.
Elle répéta comme le matin :
- Je n'aurais pas voulu vous faire attendre pour rien, et puis je tenais à vous dire de ne plus penser à moi.
Cependant M.Duhamain se taisait toujours, allant d’un article à l’autre, en homme que rien ne choque et qui rencontre dans sa lecture l’expression continue de sa propre pensée.
Ce que nous aimons dans la femme, c'est l'air qu'on lui trouve au moment précis où nous la rencontrons: un air qu'elle n'aura plus demain, après-demain, un instant après, quand elle sera devenue notre épouse, notre maîtresse, ou plus rapidement encore, dès que nous lui aurons parlé.
elle sentait son mari, à peu près comme certains vins sentent le bouchon.
Elle s’inventait des sécurités, croyant qu’elle n’aurait plus rien à redouter d’un danger auquel elle irait, d’elle même, librement.
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