Tout le monde ment à un moment donné de sa vie. Mais le plus important, c'est où, à quel sujet et à quelle fréquence.
Cela peut paraître étrange mais durant mes cinq mois en poste sous Donald Trump, je lui ai toujours souhaité de réussir en tant que Président. Ce n'est pas un parti-pris politique. Si Hillary Clinton avait été élue, j'aurais aussi souhaité qu'elle réussisse à la Maison-Blanche. Je crois que c'est ça, aimer son pays. Nous avons besoin que nos présidents s'en sortent.
On ne sait pas toujours si les gens ont menti ou dissimulé des documents, alors quand on peut le prouver, il est bon de les poursuivre afin de faire passer le message. Pour que le système fonctionne, les citoyens doivent craindre les conséquences de leurs mensonges.
Dans le monde tous les jours, douter n'est pas une faiblesse, c'est plutôt une sagesse, car il n'y a rien de plus dangereux que ceux qui pensent que leur cause est juste et qu'ils ont forcément raison.
Je suis fier d'essayer toujours de faire ce qu'il faut. Je suis fier d'essayer d'être honnête et transparent. Je crois vraiment que ma façon de faire est bien meilleure que celle des partisans menteurs qui peuplent la vie publique de nos jours.
J'ai souvent constaté au cours de ma vie que, plus on ment, plus il est facile de mentir.
Les hommes d'honneur n'ont le droit de mentir que sur les choses essentielles.
Une vie de mensonges. Le consentement implicite. Le chef et son contrôle absolu. Les serments de loyauté. La mentalité du « nous contre eux » en guise de vision du monde. Les dissimulations, importantes ou dérisoires, au service d'une idée pervertie de la fidélité. Ces codes et ces règles étaient caractéristiques de la Mafia, mais, à ma grande surprise, je les ai vus appliquer ailleurs, bien loin du monde du crime organisé, tout au long de ma carrière.
Le sens de l'humour, en particulier, est un excellent indicateur- il en dit long sur l'ego d'une personne.
Il est toujours difficile de comparaître devant les membres du Congrès et c'est, en règle générale, une expérience assez démoralisante. Presque tous les intervenants ont l'air de chercher uniquement à défendre leur camp et de ne s'intéresser qu'aux fragments d'informations qui satisfont leurs opinions. Ils se chamaillent entre eux par votre intermédiaire : « Monsieur le directeur, si quelqu'un dit “blanc”, cela ne fait-il pas de lui un parfait imbécile ? » et la réponse transite également par vous : « Monsieur le directeur, si quelqu'un dit que la personne qui a dit “blanc” est un imbécile, n'est-ce pas lui, finalement, le véritable imbécile ? »
La Constitution et l'Etat de droit ne sont pas au service de la politique partisane. Dame Justice porte un bandeau sur les yeux Elle n'est pas censée le soulever pour voir comment le gouvernement souhaite la voir juger une affaire.