AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.74/5 (sur 65 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Calgary
Biographie :

Jessica Martinez est auteur des romans pour jeunes adultes.

Elle a suivi un cursus de lettres et de musique à Brigham Young University.

Depuis, elle a successivement été institutrice, violoniste, professeur de lettres et de violon.

Aujourd’hui, elle vit à Orlando en Floride avec son mari et ses deux enfants.

son site:
http://www.jessicamartinez.com/

Jessica Martinez à grandi à Calgary. Issue d'une famille de musiciens, son père lui a offert un violon à trois ans. Elle ne l'a pas lâché pendant 15 ans alternant leçons, concerts et répétitions et a fait une carrière de violoniste d'orchestre.
La passion des livres l'a prise enfant. Elle était connue comme la fille qui avait toujours un livre dans son étui à violon.
À 18 ans, elle part pour les États-Unis pour y étudier l'anglais et la musique à la Brigham young university. Son brevet d'enseignement obtenu, elle occupe divers postes temporaires tout en s'adonnant à l 'écriture : enseignante d'anglais dans les lycées, puis de violon et institutrice.
C'est une fois mère de famille qu'elle s'est installée et s'est lancée dans l 'écriture de son premier roman.
Elle vit aujourd'hui à Orlando et a deux enfants.
+ Voir plus
Source : www.jessicamartinez.com
Ajouter des informations
Bibliographie de Jessica Martinez   (1)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (7) Ajouter une citation
J'aimais les cicatrices parce que j'aimais les anecdotes qui les accompagnaient. Courage, bêtise, souffrance... ces empreintes étaient toutes le prix de quelque chose.
Commenter  J’apprécie          170
Un million deux.
Cet instrument valait un million deux cent mille dollars. Ce nombre était difficile à comprendre. A ressentir. J'imprimai un mouvement de balancier au violon, très léger, et fermai les yeux. Meurtrière. Le mot avait surgi dans mon esprit et je le chassai aussitôt. Ridicule : un violon n'était ni un bébé ni un animal. Il n'était pas vivant.
Je m'en convaincrais plus facilement cependant, si je ne l'avais pas senti respirer, pas entendu chanter.
Commenter  J’apprécie          100
Posant les yeux sur moi, Jeremy ajouta, avec un sourire en coin :
- Tu dors chez une amie ? C'est comme ça que tu règles la question de la marge de manœuvre ?
- Tu es mal placé pour me juger. Tes parents te laissent partir tout seul pendant plusieurs semaines. Je dois demander l'autorisation d'aller aux toilettes. Crois-moi, à ma place, tu mentirais aussi.
- Ce n'est pas aussi génial que tu ne l'imagines, répondit-il. Être seul, je veux dire. Ma mère est obligée de rester à la maison avec mon frère. Il est handicapé, et c'est difficile de le confier à quelqu'un plus d'un ou deux jours. Quant à mon père... il a beaucoup de pression au travail. Je n'ai pas le choix : si je veux faire du violon, c'est tout seul.
- Désolée.
- Tu n'as pas à être désolée. Je n'ai pas l'impression que ce soit facile pour toi non plus.
Une bourrasque nous enveloppa et je réprimai un frisson.
- Je te proposerais ma veste si j'en avais une.
Commenter  J’apprécie          50
-Jeremy...
Je laissai la fin de ma phrase en suspens sans même essayer de dire ce qui devait être dit.
-Quoi?
-Je ne sais pas.
-Bien sûr que si. Quoi?
-Je n'arriverai plus à te détester.
-Mais je croyais qu'on était déjà d'accord sur ce point: on a pas besoin de se détester.
Commenter  J’apprécie          40
-Pourquoi? Qu'est ce qui peut bien t’inquiéter?
-J'ai peur que le violon se place toujours entre nous.
Je me levai pour lui faire face et lui pris les mains.
-Je l'en empêcherai.
Il conserva le silence.
-Je l'en empêcherai, répétai-je, en le forçant à se mettre debout.
Pour toute réponse, il se pencha pour me susurrer à l'oreille:
-Dans ce cas, viens avec moi.
Commenter  J’apprécie          30
Je relus le message et sentis quelque chose s'allumer en moi. Un sentiment nouveau. J'avais le choix.
Commenter  J’apprécie          40
Les notes s'echappaient de mon violon par volées, à une vitesse que je n'aurais pu concevoir. C'était de cette sensation que Jeremy parlait, cette impression d'avoir presque terminé.
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jessica Martinez (102)Voir plus

Quiz Voir plus

Façon de parler(1) ... 😋

Que signifie l'expression argotique "ça sent le sapin' ?

Noël approche
La mort approche
La rentrée approche
Un nouveau quiz approche

14 questions
128 lecteurs ont répondu
Thèmes : culture générale , vocabulaire , argot , expressionsCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}