Julian Voloj

Non, Superman ne vient pas de Krypton mais de Cleveland !

Comment je peux te manquer ? Je suis là, avec toi. 

Je vais vous le dire clairement : tout le monde se fiche de savoir qui écrit ou dessine ces histoires. Tout ce qui intéresse les gosses, c'est Superman. On peut vous remplacer dans l'instant.

Ma mère ne parlait pas beaucoup du vieux monde. Je sais juste qu'elle venait de Russie, le pays connu, hélas, pour avoir inventé le mot "pogrom".

Euh… il ne devrait pas y avoir mon nom quelque part ?

Après le premier coup, lorsque chacun des joueurs a joué le premier coup une fois, il y a 400 positions possibles. Au deuxième coup, il y en a déjà 72 084.

Pour l'amour de Dieu, cela pourrait être ton fils !

Comme le papier était cher, je réutilisais du kraft d'emballage et des chutes de papier peint pour mes croquis.
Comme je n'avais pas de planche à dessin, j'empruntais la planche à pain de ma mère pour travailler.

Chez Bobby, les échecs tournèrent bientôt à l’obsession. (p. 26)

Nous comprenons que nous sommes tous frères vivant dans un même quartier et partageant les mêmes problèmes. Nous comprenons aussi que ce n'est pas en nous battant les uns contre les autres que nous résoudrons nos problèmes communs. Si nous voulons faire de notre communauté un endroit plus agréable pour nos famille ter pour nous-mêmes, nous devons y travailler ensemble. Nous qui avons signé ce traitê, nous engageons à garantir la paix et l'unité pour tous. Et nous ferons tous partie de ce qu'on appellera désormais la Famille.

Les chiens qui aboient ne mordent pas.

L’équipe américaine essuya une cuisante défaite : 20-12. La performance fut encore plus désastreuse lors du tournoi retour à Moscou l’année suivante : 25-7. Mais le patriotisme de Bobby s’arrêtait là où commençait les échecs. il admirait les déplacements, les combinaisons, la virtuosité avec laquelle lés Soviétiques déployaient leur jeu. Il rêvait d’égaler les grands maîtres de l’URSS. Ou plutôt : il rêvait de les surpasser. (p. 37)

La forme, ô grand sculpteur, c’est tout et ce n’est rien. Ce n’est rien sans l’esprit, c’est tout avec l’idée !

Oh, Maman, si tu pouvais voir ça, ces immenses bateaux à vapeur appelés « Ferry-Boats ». Ils voguent d’un bout à l’autre de la baie, remplis de gens et couverts de drapeaux, en émettant des sifflements aux tonalités graves. Aussi loin que le regard porte, les eaux sont chargées de bateaux.