Nous voilà de nouveau piégés par notre rôle de pionniers. C'est à nous de théoriser sur les maux qui nous travaillent car personne n'était là avant nous pour les étudier. Nos naufrages et nos erreurs serviront sûrement aux prochaines générations d'assermentés, si on parvient à sauvegarder assez de santé mentale pour leur laisser un témoignage.