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Des milliards de tapis de cheveux

Si je vous disais que le titre du livre est une supercherie, un postiche !



Si je vous disais que l'auteur a volontairement intégré de manière subliminale des marques de shampooings, de laques et de gels pour un conglomérat d'entreprises afin de toucher des dividendes décoiffant, à faire défriser tout les cheveux les plus rebelles !



Je voudrais bien vous divulguer les noms des fabricants mais je sais que la FLADLNGNMMIC* me tomberait dessus comme un cheveu dans la soupe.



Si je vous disais que de nombreux salons de coiffure aux noms aguicheurs tel que Apauline'hair, aperi'tif, peuch’hair (de la chaîne de salon marseillaise pas’tif), tif’teuf,.. ont assuré à l'auteur ainsi qu’à toute les membres de sa famille des coiffures et des soins capillaires gratos à vie.



Me croyez-vous ???



Non ? Pourtant la boucle est bouclée !!!





Vraiment pas ???





Ok ! J’arrête mes sottises, mais j’aime bien m’amuser avec vous et cela de manière quasi permanente depuis quelques critiques.





Une fois de plus, je dois remercier deux babalamies qui sans elles, je n’aurais probablement jamais croisé le livre d’Andreas Eschbach.



Merci beaucoup Loetitia (Pareyla) pour ta très belle critique attrayante, qui a éveillée en moi l’envie de découvrir cette ouvrage et l’auteur. Merci également à toi Jessica (Plumette) pour les mêmes raisons qui ont confirmés que je devais lire "Des milliards de tapis de cheveux".



Il m'est difficile de m’exprimer sur le roman sans risquer de vous spoiler l’intérêt de l’histoire. Pour faire simple je vous donne quelques informations, une sorte de condensé de la quatrième de couverture.

Chaque hommes de chaque familles se transmettent de génération en génération la tâche de confectionner un tapis de cheveux étant le travail de toute une vie et l’accomplissement d’une dévotion à leur empereur.



Mais pourquoi cette étrange tradition ? La raison est qu’en vérité….



Et non, je ne vous divulguerais rien de plus, n’en déplaise à certain(e)s (hein Onee :P). Et puis, de toute façon d’autres babeliotes ont déjà brossé et peigné le portrait de cette histoire à ma place.



Wopunaise, mais quel roman très, très particulier !

Le premier chapitre annonce d'emblée la couleur. Je me souviens encore, me grattant la tignasse, à la toute dernière ligne en train me dire… Ah !!! Ok, ça va se passer comme ça, euhhh, bon, d’accord.

La construction narrative est bien pensée, je suis étonné par l’idée de départ d’Andreas Eschbach. J’apprécie les romans comme celui-ci où pendant la lecture la succession de chapitre parait être un sac de nœuds dans sa cohérence et pourtant un fil conducteur, plus ou moins présent selon les chapitres, tresse parfaitement l’histoire. Rien que pour le dernier chapitre cette lecture en vaut la peine mais aussi un peigne pour enfin se démêler les cheveux.



Le message de fond brossé par l’auteur que j’ai perçu est intéressent. Je suppose qu’à travers son œuvre il souhaite dénoncer la bêtise humaine. Vivre une vie sous la joute d’un régime totalitarisme engendrant un obscurantisme éternelle, plutôt effrayant comme vision d’un monde idéal ? Des milliards de tapis de cheveux m’a fait penser à Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, le rapport au comportement humain et l'acceptation de vivre dans un monde dystopique…



Je ne vois pas quoi vous en dire de plus, comme je vous le disais auparavant, une explication plus détaillée risquerait de vous gâcher le plaisir de la découverte de l'histoire ainsi que votre propre interprétation du roman.



Nœud après nœud, jour après jour, …



Bonne lecture à vous.





PS : un petit jeu bonus, d’après vous, combien de mots en rapport avec les cheveux sont dans cette critique à plus ou moins quelques milliards de tapis de cheveux près ;-))





*Fédération des Lecteurs Anonymes Détestant Le Nick qui Glisse des Noms de Marque de Manière Illégal dans ses Critiques.
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Le Sang des 7 Rois, tome 3

Ça y est, je suis pleinement conquis par cette série de fantasy... La dernière fois que j'avais ressenti cette envie de lire doit remonter à ma lecture de la saga Harry Potter il y a une quinzaine d'années. Tiens, une autre heptalogie !



Comme indiqué par les autres critiques, il s'agit ici d'un tome de transition : l'action principale n'évolue que très peu tandis que de nombreux personnages secondaires font leur apparition. Je les ai tous apprécié et je n'ai pas trouvé que leur ajout rendait la compréhension de l'intrigue trop difficile. Il y a aussi de belles évolutions : Aléïde qui se transforme en aventurière débrouillarde préparant sa revanche, Braseline qui prend goût à l'autorité et j'en passe.



La tension monte dans tous les royaumes, on sent que quelque chose se prépare et que de grands bouleversements sont à prévoir : Orville se forme à la magie, Aldéïde à l'art de l'empoisonnement, Braseline à l'art de la guerre... Bref, ce tome met clairement en place les acteurs d'un affrontement qui ne saurait tarder.



Les points de vue sont multiples dans ce troisième tome et nous permettent d'apporter de consolider notre compréhension de l'univers et d'apporter des réponses à quelques interrogations soulevées dans les deux tomes précédents. Régis Goddyn multiplie également les registres, passant du comique à de belles descriptions de paysages montagneux ou encore à des dialogues pleins de tension.



Tout me charme dans cet univers qui ne cesse de se dévoiler sans pour autant se complexifier plus que nécessaire. Je ne suis peut être pas le lecteur le plus averti de fantasy mais je pense sincèrement être tombé sur une formidable porte d'entrée à ce genre littéraire. Vivement la suite !

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Les Annales du Disque-Monde, Tome 8 : Au gu..

L’intrigue y est, tout comme dans Trois Soeurcières, plus développée que dans les précédents romans et permet à l’auteur de distiller un certain nombre de messages sur la nature humaine, à travers les pensées de Vimaire ou les tirades du Patricien, rappelant comme l’avait souligné Gaiman que Pratchett est, avant tout, un homme en colère.

Bien qu’ayant parfois quelques baisses de rythme, Au guet est une lecture distrayante, drôle, posant les premières pierres d’un nouveau cycle et parvenant à transposer des codes du roman noir dans la fantasy.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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