Dupuis est un éditeur de bande dessinée belge, créé en 1898 à Charleroi par l`imprimeur Jean Dupuis. En 1938 est lancé le magazine Spirou, magazine hebdomadaire de bande dessinée. Créateur des univers Lucky Luke, Spirou, Boule et Bill, Les Schtroumpfs, Cédric ou Largo Winch, Dupuis est aujourd`hui une référence dans le monde de la bande-dessinée.
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J'ai bien aimé le début de cette aventure fantastique qui nous entraîne au Proche-Orient non loin de Jérusalem à l'époque des Croisades où les francs prenaient de véritables forteresses sur les musulmans dans des combats épiques.
Il y a un récit qui demeure assez classique mais avec une mise en scène assez entraînante voire efficace. Je crois que j'ai bien aimé le fait que Néro soit un véritable anti-héros complètement rebelle dans l'âme. La première scène est d'ailleurs assez marquante. Il manque sans doute un peu de nuances afin d'épaissir l’œuvre d'une dimension plus mature.
L'originalité viendra du fait du duo qu'il va composer avec un jeune homme appartenant pourtant à l'ennemi chrétien. Je connais le mécanisme qui fait se réunir des caractères totalement opposés mais ici, c'est poussé à son paroxysme ce qui entraîne une véritable surprise à laquelle on ne s'attend pas vraiment.
Au niveau du dessin, je dois avouer que c'est plutôt époustouflant. C'est tout à fait le genre de graphisme qui me convient. Certes, les couleurs sont un peu informatisées mais elles procurent un émerveillement qui sert bien à ce récit où la magie a toute sa place.
On est dans de la BD d'action que vont aimer les plus jeunes. J'avoue que c'est du bon travail dans ce registre. Le divertissement semble assuré.
Il y a un récit qui demeure assez classique mais avec une mise en scène assez entraînante voire efficace. Je crois que j'ai bien aimé le fait que Néro soit un véritable anti-héros complètement rebelle dans l'âme. La première scène est d'ailleurs assez marquante. Il manque sans doute un peu de nuances afin d'épaissir l’œuvre d'une dimension plus mature.
L'originalité viendra du fait du duo qu'il va composer avec un jeune homme appartenant pourtant à l'ennemi chrétien. Je connais le mécanisme qui fait se réunir des caractères totalement opposés mais ici, c'est poussé à son paroxysme ce qui entraîne une véritable surprise à laquelle on ne s'attend pas vraiment.
Au niveau du dessin, je dois avouer que c'est plutôt époustouflant. C'est tout à fait le genre de graphisme qui me convient. Certes, les couleurs sont un peu informatisées mais elles procurent un émerveillement qui sert bien à ce récit où la magie a toute sa place.
On est dans de la BD d'action que vont aimer les plus jeunes. J'avoue que c'est du bon travail dans ce registre. Le divertissement semble assuré.
• Seuls, Tome 14
• Fabien Vehlmann (Scénario) & Bruno Gazzotti (Dessin)
• Rue de Sèvres
Seuls est une série jeunesse que j'ai beaucoup aimé dans ses débuts mais qui depuis quelques tomes était devenue bien moins impactante et bien moins intéressante.
Après une longue pause et un changement de maison d'édition, la série fait son retour avec ce tome 14.
Et si je dois avouer qu'il y a du mieux par rapports aux derniers tomes, on ne renoue tout de même pas avec l'apogée de la série.
Il faudra sans doute quelques tomes pour pouvoir redévelopper de bonnes idées, en espérant que les auteurs en soit encore capables.
Je laisserais de toute façon une chance aux prochains tomes en les lisant, en espérant cette fois ne pas avoir trop longtemps à attendre.
• Fabien Vehlmann (Scénario) & Bruno Gazzotti (Dessin)
• Rue de Sèvres
Seuls est une série jeunesse que j'ai beaucoup aimé dans ses débuts mais qui depuis quelques tomes était devenue bien moins impactante et bien moins intéressante.
Après une longue pause et un changement de maison d'édition, la série fait son retour avec ce tome 14.
Et si je dois avouer qu'il y a du mieux par rapports aux derniers tomes, on ne renoue tout de même pas avec l'apogée de la série.
Il faudra sans doute quelques tomes pour pouvoir redévelopper de bonnes idées, en espérant que les auteurs en soit encore capables.
Je laisserais de toute façon une chance aux prochains tomes en les lisant, en espérant cette fois ne pas avoir trop longtemps à attendre.
PETIT PAYS 🇷🇼
.
J’avais lu le roman il y a quatre ou cinq ans environ, et quand @dupuis_bd m’a proposé de recevoir l’adaptation en BD j’ai dis OUI : j’avais envie de me replonger dans cette histoire, mais avec plus de maturité et plus d’expérience car des années ont passé depuis mon premier regard sur cette œuvre. 🫶🏼🥹
.
Je vais peiner à trouver les mots pour vous parler de cette bande dessinée, comment vous dire que les images valent 1000 mots, et que parfois ils ne sont pas nécessaires pour exprimer la violence du conflit entre les Tutsis et les Hutus. 💔
.
Tout commence par le petit garçon Gaby, issu d’un père Français et d’une mère Rwandaise, qui va demander à son papa pourquoi ils se font la guerre : à cause de leur ethnie? A cause de leur Dieu? Non, le père répond : c’est à cause de leur nez. Ils n’ont pas le même nez. 🙃
.
Le début du massacre des Tutsis commence, engendrant 800 000 morts. C’est terrible, les images parlent d’elles mêmes. 😳
.
Gaby et Ana nous racontent leur quotidien, d’un point de vue d’enfant, cette partie de la vie où tout est innocence, souvenirs, paix.. mais pas ici, pas maintenant, leur quotidien est différent, obligés de dormir dans les couloirs et de se confiner pour ne pas subir les attaques à l’arme à feu. 😔
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@gaelfaye s’inspire largement de son vécu en racontant son enfance au Burundi, le traumatisme de guerre, les conflits entre ethnies, la violence des images qui resteront à jamais gravées dans sa tête. 🫣
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Comme vous aurez pu le constater, j’ai appris énormément en lisant cet ouvrage, et je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans cette histoire, pour ne jamais oublier.
Lien : https://www.instagram.com/me..
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J’avais lu le roman il y a quatre ou cinq ans environ, et quand @dupuis_bd m’a proposé de recevoir l’adaptation en BD j’ai dis OUI : j’avais envie de me replonger dans cette histoire, mais avec plus de maturité et plus d’expérience car des années ont passé depuis mon premier regard sur cette œuvre. 🫶🏼🥹
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Je vais peiner à trouver les mots pour vous parler de cette bande dessinée, comment vous dire que les images valent 1000 mots, et que parfois ils ne sont pas nécessaires pour exprimer la violence du conflit entre les Tutsis et les Hutus. 💔
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Tout commence par le petit garçon Gaby, issu d’un père Français et d’une mère Rwandaise, qui va demander à son papa pourquoi ils se font la guerre : à cause de leur ethnie? A cause de leur Dieu? Non, le père répond : c’est à cause de leur nez. Ils n’ont pas le même nez. 🙃
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Le début du massacre des Tutsis commence, engendrant 800 000 morts. C’est terrible, les images parlent d’elles mêmes. 😳
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Gaby et Ana nous racontent leur quotidien, d’un point de vue d’enfant, cette partie de la vie où tout est innocence, souvenirs, paix.. mais pas ici, pas maintenant, leur quotidien est différent, obligés de dormir dans les couloirs et de se confiner pour ne pas subir les attaques à l’arme à feu. 😔
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@gaelfaye s’inspire largement de son vécu en racontant son enfance au Burundi, le traumatisme de guerre, les conflits entre ethnies, la violence des images qui resteront à jamais gravées dans sa tête. 🫣
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Comme vous aurez pu le constater, j’ai appris énormément en lisant cet ouvrage, et je ne peux que vous conseiller de vous plonger dans cette histoire, pour ne jamais oublier.
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