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4,29

sur 2830 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
« Quand on dit “Rien ne vaut le sourire d'un enfant”, c'est du pipeau. Ce n'est pas vrai du tout, assène Sunny, mère de quatre enfants.» fait partie des centaines et des centaines de témoignages et références racontant les brimades subies par les femmes au cours des âges dans le but d'en faire des épouses soumises alors que pour Mona Chollet, la seule manière de pouvoir se réaliser c'est d'être une 'sorcière' qui n'a besoin de personne pour tenir debout, une femme célibataire et sans enfant....

Elle s'insurge également contre le machisme du milieu obstétricien français et prône l'éco-féminisme à la place des valeurs de nos sociétés patriarcales.
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Peu habituée aux essais, surtout à les commenter, je tente l'exercice avec difficulté, tout comme il est compliqué de dire si j'ai apprécié ou pas cette lecture. le sujet principal de celle-ci est, non pas les sorcières, mais l'inégalité entre hommes et femmes.

Si j'avais deux colonnes à ma disposition, je listerais les points positifs et négatifs, alors, je vais faire comme si…

Première colonne - les points positifs :

- Quatre parties bien étanches, ce qui empêche de se disperser : l'indépendance de la femme, la maternité, la vieillesse, la médecine. Pour chaque thématique est analysé ce qui, depuis des siècles, empêche la femme d'accéder à la liberté et d'être insoumise au patriarcat.

- le livre est hyper documenté, il y a beaucoup de références si on souhaite approfondir, faire des vérifications, ou se renseigner sur l'une des thématiques.

- La lecture est instructive : j'ai appris énormément de choses grâce aux exemples cités et anecdotes racontées par l'autrice, grâce aux rapprochements entre l'histoire des sorcières depuis la Renaissance, pourchassées pour leur indépendance, leurs connaissances des plantes et de la nature, leur expérience et donc le risque de faire de l'ombre au tout puissant patriarcat, et la vie actuelle des femmes souvent cantonnées à leur rôle de mère et d'épouse, traitées comme des objets par les scientifiques, par les médias, par la société. La différence de traitement, dans des situations semblables, entre l'homme et la femme, est mise en exergue et les exemples et anecdotes sont édifiants.

- Grâce à cette lecture, j'ai pris conscience de certaines situations lointaines, de certains faits ou évènements historiques que perpétuent aujourd'hui des traditions iniques qui maintiennent l'inégalité entre les deux sexes.

- L'écriture est simple, directe et franche. le livre se lit facilement, est accessible aux personnes ayant un déficit de connaissance sur les sujets, comme moi ! C'est donc une bonne entrée en matière pour les profanes.

Pour toutes ces raisons positives, la lecture est addictive, Mona Chollet m'a embarquée et je n'ai pas lâché ce livre une fois entamé.

Deuxième colonne - les points négatifs :

- Paradoxalement, j'ai trouvé un manque de structure à l'intérieur de chaque thématique, c'était pour moi un peu confus.

- Si au début de son essai, Mona Chollet parle des sorcières, de leur chasse et de la terreur qu'elles ont subies, de leurs tortures et exécutions pendant la Renaissance, de la crainte qu'elles inspiraient aux hommes, non par leurs diableries et sorcelleries, mais par leurs connaissances, expertises, autonomie, et donc finalement, à cause du risque qu'elles accèdent au pouvoir et, ou deviennent l'égale de l'Homme, j'ai regretté qu'après avoir explicité son point de vue sur la relégation de la femme au rang de jolie chose jusqu'à sa date de péremption - la ménopause - permettant à l'espèce humaine de se reproduire (pour faire bref), elle ne fasse plus que quelques allusions comparatives aux ancêtres sorcières pendant les trois-quarts du livre. le titre de l'essai n'est donc pas évocateur de son contenu.

- Il y a beaucoup de parti pris, je l'ai ressenti comme une instruction à charge : tout ce qui place la femme en position d'infériorité à l'homme n'est que pure volonté intentionnelle de la part de ce dernier, ou plutôt de la société patriarcale : c'est réducteur et manichéen; j'aurais aimé que l'autrice contrebalance ses assertions, qui ne sont souvent que l'expression de son opinion, par les progrès et l'évolution de la société, surtout en Occident. Elle accuse beaucoup d'avoir diabolisé les femmes indépendantes, mais elle-même diabolise l'homme. Bien sûr, elle explique que ce n'est pas l'homme individu qui est visé, mais le patriarcat; il n'empêche que certains raccourcis m'ont dérangée. Il y a parfois un effet « loupe » sur lequel elle surfe pour en tirer une généralité.
- A mon avis, le contenu du livre n'apprendra pas grand chose aux personnes déjà au fait de ces thématiques.

Je m'arrête là car je suis déjà trop longue, et pourtant je me suis limitée à l'essentiel de mes ressentis. Je ne regrette absolument pas cette lecture, et il est même possible que je relise cet essai de manière moins rapide, afin d'assimiler certains concepts et de revoir peut-être mes jugements.

Au final, après m'être relue, il se trouve que je recommande cette lecture pour celles et ceux qui s'intéressent au féminisme, mais avec un esprit très critique ! Et…que je ne recommande pas cette lecture à celles et ceux qui s'intéressent aux sorcières, ou de s'arrêter après l'introduction…
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Lecture dont j'attendais beaucoup, ayant été il y a quelques années plus que convaincue par un autre essai de Mona Chollet, Beauté fatale, Sorcières a finalement été une déception. J'ai, en effet, depuis cette première découverte, beaucoup lu, réfléchi… au sujet de la place des femmes dans des sociétés majoritairement patriarcales et pour cette raison, j'ai trouvé que ce nouvel essai ne faisait qu'enfoncer des portes ouvertes. Les grandes idées qui y sont présentées me sont déjà bien connues, et même si de nombreux exemples proposés me sont inédits, ils ne m'ont rien apporté de neuf quant à ma réflexion sur le sujet.

Certes, l'organisation en quatre parties choisie par l'auteure est bienvenue, mettant bien en exergue les différents points sur lesquels la femme est mise à mal depuis des siècles – indépendance féminine, maternité, vieillesse, rapport à la science, plus particulièrement à la médecine – mais j'ai en fait eu l'impression de lire une simple accumulation d'exemples. Or ces exemples mènent bien souvent à des partis pris personnels plus qu'à une vraie réflexion qui permettrait de faire avancer les choses. J'ai même parfois eu l'impression que l'on atteignait à une forme paradoxale de manichéisme mettant à mal l'intérêt même de cet ouvrage : à vouloir à tout prix glorifier l'altérité et l'indépendance féminines illustrées par l'image de la sorcière qui retrouve des lettres de noblesse, l'on en ostracise celles qui ont fait le choix conscient, c'est-à-dire non dicté par la société masculine qui les entoure, de ne pas être de « pures » sorcières. Ou comment l'on reproduit, d'une certaine façon, ce qui est reproché à cette société…

Moi qui avais envie de lire Chez soi sous peu, je crois finalement que je vais m'abstenir.
Lien : https://lartetletreblog.word..
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Les sorcières sont des personnages que l'on jugeait malfaisants, inquiétants et à ces titres elles ont été poursuivies et condamnées au bûcher. Souvent leur seul crime était d'être différentes, de vivre seule (non accompagnée d'un homme) de détenir un savoir et un pouvoir qui échappaient aux hommes.

Plus de bûcher de nos jours, mais dès qu'une femme se démarque, qu'elle vit différemment de ce qui est la "norme", elle est stigmatisée et traitée comme une sorcière.

C'est ainsi que des mouvements féministes ont revendiqué ce terme de sorcière pour affirmer leur désir d'indépendance, d'identité et même, sacrilège, leur choix de ne pas être mère.

Texte édifiant qui met l'accent sur des situations que nous vivons au jour le jour et que nous avons intégrées dans notre mode de vie mais qui témoignent d'une misogynie toujours présente et de la phallocratie toujours de mise.
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J'ai lu ce livre avant de commencer "Quel monde voulons-nous" de Starhawk, avec l'espoir d'y trouver un éclairage sur les femmes revendiquant actuellement le statut de sorcières. C'est un sujet qui m'intrigue et m'intéresse, et j'ai été un peu déçue de ne pas trouver plus d'une ou deux pages sur la spiritualité des sorcières modernes, notamment sur le "culte néopaien à la déesse" et la pratique de la magie.

Après un premier chapitre sur le contexte historique des chasses aux sorcières, Mona Chollet développe les caractéristiques des sorcières de l'époque qui sont encore déconsidérés de nos jours par le biais de trois figures : la femme indépendante, la femme sans enfant, et la femme âgée. le livre se termine par quelques pages sur l'éco-féminisme, peut-être trop brièvement abordé.

Même si je n'ai pas trouvé précisément ce que je cherchais dans ce livre, la lecture n'a pas été désagréable, le style de Mona Chollet étant très simple et clair. "Sorcières", comme ses autres essais "Chez soi" ou "Beauté Fatale" se lit comme un roman. En plus de s'appuyer sur des références scientifiques, l'autrice fait régulièrement appel à son expérience personnelle, à l'actualité, le cinéma, la littérature ou la presse, ce qui peut parfois déstabiliser mais apporte de la légèreté au propos.
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Je m'attendais à lire un essai sur la figure de la sorcière du Moyen Âge jusqu'à nos jours… En quelque sorte, un développement des chapitres X, XI, XII de la Peur en Occident de Jean Delumeau ou un prolongement jusqu'à l'époque contemporaine de certains écrits de Robert Muchembled. Or la figure de la sorcière n'est évoquée que pour servir le propos de Mona Chollet : faire ressortir la domination, pour ne pas dire l'asservissement, des femmes depuis le XIIIe siècle. Sont visés certains aspects qui touchent plus particulièrement les célibataires ou les veuves, les femmes sans enfants et les femmes âgées. En cela, on rejoint la figure de la sorcière et les craintes ataviques des hommes. La partie sur les femmes âgées résonne particulièrement ces jours-ci où fait rage la polémique sur les propos de Yann Moix

Même si j'ai trouvé le livre intéressant et que j'adhère à nombre d'idées présentées ici, je n'ai pas pu m'empêcher d'être déçue puisque je n'ai pas trouvé ce que j'y cherchais… Par ailleurs, je me suis parfois perdue dans la quantité de citations (et de citations de citations) comme d'anecdotes diverses, autant d'arguments d'autorité pas forcément convaincants parce qu'on n'arrive pas toujours à suivre le raisonnement de l'auteure. Ou plutôt, que je n'arrive pas toujours, etc.
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Dans l'inconscient collectif, on se représente les sorcières comme des vieilles dames moches et méchantes avec un nez crochu et un rire diabolique. Les sorcières du 21ème siècle ressemblent à vous et moi, mais ont des caractéristiques communes avec leurs homologues passées.

Mona Chollet en identifie trois catégories : les femmes indépendantes (comprendre qui ne vivent pas sous la tutelle d'un mari), les femmes qui ne désirent pas d'enfants et les femmes âgées. En somme, ce sont des femmes qui ont perdu le droit d'être femme car elles ne répondent pas aux critères modernes de la féminité.
Et si au contraire, en s'affranchissant des injonctions faites aux femmes (on retrouve déjà ce thème dans le premier essai de Mona Chollet, Beauté Fatale), ces femmes étaient en phase avec elles-mêmes et acquéraient une sorte de pouvoir (« la puissance invaincue des femmes », sous-titre du livre) ?

J'ai adoré l'introduction extrêmement bien documentée qui rétablit des vérités sur les chasses aux sorcières à la Renaissance. Ainsi, ont pu être jetées au bûcher des femmes célibataires, qui ont avorté ou encore celles qui étaient ménopausées. Ces sorcières étaient surtout des femmes qui faisaient peur aux hommes et jugées par un tribunal masculin.
Mona Chollet a fait preuve d'un extraordinaire travail de recherches pour l'écriture de « Sorcières » qui met en lumière ces femmes qui ont un chemin de vie difficile, parce qu'elles ont fait un choix différent des « bien-pensants » et qu'elles l'assument. J'ai été un peu moins emballée par la fin du bouquin car j'ai trouvé que l'on tournait un peu en rond.

En ce qui me concerne, j'ai 37 ans, je suis célibataire sans enfants (et sans chat), j'ai une sciatique, le cheveu hirsute et parfois blanc… Fichtre, je suis moi aussi une sorcière ! Bon ben, je vous laisse… j'ai un bûcher qui m'attend !

Lien : http://mademoisellechristell..
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Contrairement au autres essais de Mona Chollet, Sorcières (2018), qui lui a valu un succès extraordinaire, m'a un peu déçu. Sa thèse est pourtant passionnante : la chasse aux sorcières, pur produit de la modernité – de la Renaissance et de l'essor de l'esprit scientifique et non d'un Moyen Âge archaïque et bigot – dans sa nature de féminicide de masse et de (première ? plus vaste ? plus durable ?) exclusion systématique des femmes de la sphère publique et professionnelle, a constitué les prémisses de certaines discriminations qui persistent aujourd'hui et qui ne se seraient pas manifestées comme nous les connaissons si cette page d'Histoire ne s'était pas produite. Parmi ces sujets de discrimination, l'autrice retient les quatre suivants, qui représentent le contenu de chacun des chapitres dont se compose l'ouvrage : l'indépendance féminine (notamment économique, mais aussi au sens psychologique le plus large), le choix du non-enfantement, le jeunisme (ou la répulsion pour les « vieilles »), la misogynie des sciences, surtout de la médecine. L'introduction, pour sa part, avec la problématique de l'ouvrage, pose également l'image de la sorcière dans notre actualité qui en a fait à la fois une mode et un emblème revendicatif politique, féministe ou autre.
Une histoire féministe de la chasse aux sorcières reste encore à écrire, affirme Mona Chollet dans ses pages conclusives, d'autant plus que l'essai de Guy Bechtel, si souvent cité en compagnie d'une petite demi-douzaine d'autres essais historiographiques, tout au plus, porte la marque d'un scientisme qui semble presque justifier ce massacre de longue durée, d'immense férocité et fondé sur un irrationnalisme troublant.
Si la persistance de ces causes de discrimination dans le présent ne fait aucun doute, il me semble qu'une démonstration impeccable de leur origine dans les persécutions misogynes des prétendues sorcières, à but autant dissuasif que punitif des récalcitrantes, lesquelles se déroulèrent grosso modo du XVe au XVIIe siècle, se serait imposée pour deux raisons. D'abord pour les distinguer des plus anciennes, par exemple du jeunisme, qui peuvent remonter à l'Antiquité voire faire l'objet d'explications socio-biologiques et évolutionnistes qui, exactement au même titre que les explications sociologiques, n'ont pas pour but de justifier les phénomènes sociaux ni de se substituer à la variété des réponse culturelles éventuellement discordantes. Deuxièmement, pour mettre en évidence l'articulation avec les moments historiques de résurgence ou d'invention de nouveaux fardeaux contre les femmes, notamment le XIXe siècle. Ce travail d'archéologie intellectuelle de chacun des quatre thèmes était sans doute ce à quoi je m'attendais.
Au contraire, Mona Chollet est, comme toujours, excellente à creuser dans les sources contemporaines : littéraires, cinématographiques, voire même de culture dite populaire – comme les séries et la presse people et/ou féminine – pour mettre en évidence des dysfonctionnements de notre société. Là, comme dans le tour d'horizon de la pensée féministe surtout américaine qui a récupéré la mythologie des sorcières et du « néo-paganisme » dans le grand chaudron (c'est le cas de le dire !) de l'émancipation (« empowerment ») par le développement personnel avec un peu d'avance sur nous, les références abondent ; je suis sûr qu'un grand nombre de lectrices (et lecteurs) féministes on pu se reconnaître dans les thématiques de l'ouvrage grâce à ce travail méticuleux sur l'actualité.
Le dernier chapitre en particulier, tout en étant à mon sens le moins « construit », a été pour moi le plus instructif, car il m'a ouvert la perspective critique adoptée par l'écoféminisme conçu, sur la base philosophique du traumatisme issu de Copernic et plus tard de Giordano Bruno (l'infinité de l'Univers) dont a pris essor la rationalisme cartésien, comme la mise en cause d'un rapport de domination mortifère à la fois de la Nature, des peuples colonisés et réduits en esclavage, et de l'ensemble de féminité construite et imposée aux intéressées.
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Un livre qui m'a peu appris, me semble enfoncer quelques portes ouvertes (quoique je ne doute pas qu'il puisse être véritablement utiles à d'autres personnes: je ne suis sans doute que "trop " informée sur le sujet, ce qui n'est certes pas le cas de tout le monde. ) et qui présente quelques raccourcis et erreurs historiques ( des erreurs d'interprêtations des faits par manque de remise "dans le contexte" des faits analysés, à savoir içi, la chasse aux sorcières, les mécanismes de l'inquisition et du bras séculier, la place de la Femme et des femmes dans la socièté de l'époque. ).
Cependant, il reste assez intéressant sur plus d'un point. Notamment son chapitre sur l'acceptation de soi en tant que femme vivant actuellement, et de femme vieillissant actuellement.
Aisé à lire et à comprendre.
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Ne vous arrêtez pas au titre ! Si le titre est « sorcières » et que le livre parle des sorcières, c'est en fait un plaidoyer sur le statut et la condition féminine. La femme a été déclarée sorcière, et il s'en suivi une véritable chasse aux sorcières, pour mieux réduire, à partir du Moyen âge, sa place dans la société et la rendre dépendante de l'homme. le livre, très documenté (trop ?), montre cela sous différents angles : la difficulté pour la femme de s'isoler pour travailler ou étudier, la non liberté d'avoir ou non un enfant, l'angoisse de l'âge et de la non existence (ou reconnaissance) après un certain âge, l'image du cerveau amoindrie et et donc de la difficulté à appréhender les notions complexes (et notamment le sciences dures)...
Bref, un voyage qui fait prendre conscience à un homme de son regard sur la femme et à la femme de ses potentialités.
Si les thèses, parfois un peu extrêmes, présentées sont intéressantes, je regrette que le style soit si dense. le livre se lit facilement, mais en même temps la richesse de la documentation le rend très dense, trop dense, d'où le conseil de lire chapitre par chapitre, avec un temps de pause entre chacun.
A titre de comparaison, j'ai lu ce livre après avoir lu celui de Léa Salamé sur les femmes puissantes. Ce dernier est facile à lire, mais léger dans le sens où il ne va pas au fond des chose, et nombre d'idées sont communes. Un bel exemple de complémentarité.
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