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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une histoire, un livre, un dessin, un murmure, c'est toujours pour partie ce qu'y a mis son émetteur et pour partie ce qu'y a perçu son récepteur. Il n'y a pas de vérité, jamais. Il n'y a qu'une offre, une main tendue qui sera acceptée ou refusée, un contrat qui sera entériné ou rompu.
Aujourd'hui, en ma qualité de récepteur, cette histoire résonne abondamment à mes oreilles de multiples sons de cloches, anciens ou récents, proches ou lointains, que je me propose de vous évoquer.
Tout d'abord, je perçois en Charlie Et La Chocolaterie l'influence de deux classiques majeurs de la littérature enfantine des îles britanniques.
En effet, comment, en premier lieu, ne pas voir en Willy Wonka, chocolatier fantasque qui passe son temps à courir après le temps, un avatar mixte du lapin blanc toujours en retard et du chapelier d'Alice Au Pays des Merveilles ? le portrait que donne Roald Dahl de son chocolatier colle à la perfection à l'illustration du chapelier de John Tenniel dans la première édition du livre de Lewis Caroll. Il faut bien reconnaître que d'une certaine façon, Willy Wonka va conduire un enfant « au pays des merveilles », ce qui est le rôle du lapin blanc d'Alice.
Comment, deuxièmement, ne pas reconnaître une certaine filiation entre les Oompas-Loompas de l'histoire et les Lilliputiens de Jonathan Swift ? La chocolaterie ultramoderne et féerique peut aussi évoquer d'autres voyages de Gulliver.
Ajoutons encore, au chapitre des influences littéraires, un petit côté Oliver Twist chez le Charlie du début, voire, mais c'est discutable, trois pincées de Roi Arthur à la fin, et la boucle sera bouclée en ce qui concerne les relents de classiques anglo-irlandais.
Mais parmi ce bourdonnement de cloches littéraires, il me faut confesser que la vision que je compte vous proposer aujourd'hui de ce classique de la littérature jeunesse sera fortement empreinte non pas de littérature, mais d'une expérience cinématographique récente et que je conseille à quiconque, à savoir l'excellent film japonais Tel Père, Tel Fils.
Charlie a deux pères dans cette histoire. Son père biologique, Mr Bucket, discret, besogneux, toujours absent pour assurer la survie matérielle de la famille. Mais son vrai père, c'est bien Willy Wonka, c'est lui que Charlie admire, c'est lui qui le fait rêver, c'est à lui qu'il aimerait ressembler.
Willy Wonka n'a pas d'enfant, il désire transmettre son savoir, sa manière d'être, plus encore que son bien (la chocolaterie), bref, il veut se comporter en père après s'être comporté en enfant durant toute sa vie. J'en veux pour preuve les patronymes choisis par Roald Dahl. On sait qu'ils ont tous un lien avec le tempérament du protagoniste. Charlie, le héros, s'appelle Bucket, qui en anglais signifie seau, c'est-à-dire, celui que l'on prend vide, que l'on envoie au fond d'un puits et que l'on ressort plein. Tiens ! Qui est-ce qui tombe au fond d'un puits profond déjà ? Ne serait-ce pas Alice, par hasard ?
Que pourrait bien signifier Willy Wonka ? Hormis le fait, que je passerai sous silence, que Wonka commence comme Wonderland (Pays des Merveilles), le terme britannique wonky signifie « quelque chose de branlant, qui ne tourne pas rond, d'un peu détraqué » et c'est vrai qu'il est assez allumé ce Willy. Tiens, mais d'ailleurs, j'y pense, dans Willy, il y a will, la volonté. Et si Willy Wonka, cela voulait dire, celui qui a la volonté de ne rien faire exactement comme tout le monde, d'être un peu toqué à sa façon, et de vivre dans son pays imaginaire ?
- Ouille, ouille, ouille, Nastasia, tu nous embrouilles !
- Mais non, mais non, pas tant que ça, les enfants ! Voyez encore ceci.
Qu'est-ce qui fait l'originalité de Charlie Et La Chocolaterie, alors ? Probablement pas la forme, comme je l'ai exprimé précédemment, très inspirée de nombreux autres classiques anglais pour la jeunesse. En revanche, le fond pourrait nous intéresser davantage.
Que nous dit Roald Dahl en 1964 ? (Eh oui ! 1964 ! Ça ne nous rajeunit pas !)
Il ne nous parle ni plus ni moins que de l'éducation des enfants qu'il sentait à la dérive et que le demi-siècle écoulé depuis lors a confirmé. Il nous dit qu'aimer ses enfants, ce n'est pas les gaver de nourriture (Augustus Gloop), ce n'est pas les abreuver de programmes télévisés, internet et jeux vidéo pour avoir la paix (Mike Teavee), ce n'est pas leur offrir tout ce qu'ils veulent et quand ils le veulent (Veruca Salt), ce n'est pas les laisser se comporter de façon vulgaire et impolie (Violette Beauregard) et ce n'est pas non plus leur offrir un quotidien fait uniquement de pondération et de pragmatisme (Charlie Bucket).
L'éducation, c'est un savant mélange, où il faut savoir leur consacrer du temps, beaucoup plus que de l'argent ou des cadeaux, leur transmettre des valeurs, humaines ou financières, et surtout, surtout, ne jamais oublier de les faire rêver et de leur allumer des étoiles plein les yeux.
Bref, tout un programme, qu'Alain Souchon avait résumé de la sorte dans sa chanson Foule Sentimentale :
« Aïe ! On nous fait croire,
Que le bonheur c'est d'avoir,
D'en avoir plein les armoires.
Dérision de nous, dérisoires.
[…]
Pour demain nos enfants pâles,
Un mieux, un rêve, un cheval. »

En somme, selon moi, cette chocolaterie, c'est tout le réservoir à rêveries dont vous pouvez disposer pour faire fleurir les sourires de tous vos petits Charlie, loin, très loin des bouches toujours tristes des enfants trop gâtés qui ne savent plus rien apprécier.
Mais ça, bien sûr, ce n'est que mon avis, c'est-à-dire bien peu de chose. le mieux que vous ayez à faire, c'est d'ouvrir une tablette de Charlie Et La Chocolaterie pour vérifier s'il n'y a pas, par hasard, un ticket d'or à l'intérieur…
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La polémique sur les Dix petits nègres et son changement de nom est encore récente. Et heureusement les censeurs ne se sont pas penchés sur Charlie et la chocolaterie de Roald Dahl, car ce n'est ici pas une simple comptine et le titre qui y est associé qu'il aurait alors fallu changer, mais bien toute l'histoire d'une troupe de personnages secondaires, bien importants dans l'histoire tout de même.
Alors oui les Oompa-Loompas sont clairement exploités par Willy Wonka dans sa chocolaterie, ils sont "payés" en chocolat, ne sortent jamais... bref, ce sont des gens déracinés réduits en esclavage, même si on cherche à justifier cela par le fait que leur vie serait bien meilleure en Europe (ça sonne bien actuel non ?). Oui, les deux dernières adaptations filmées ont bien fait de réinterpréter le récit de Dahl en transformant la tribu africaine en des personnages fantastiques, bien plus dans l'esprit du conte. Mais bien sûr qu'il faut conserver la version originale, reflet de son époque, pour comprendre comment il paraissait totalement logique au colonialiste Dahl d'imaginer qu'il convenait de sauver la pauvre tribu en danger en l'enfermant dans une usine et la faisant travailler, y compris en ramant dans des galères dévalent des rivières de chocolat. Je ne pouvais qu'aborder ce sujet ayant été totalement surpris de ne pas avoir entendu de polémique sur le sujet avant quand on parlait du livre (sans doute parce que je n'ai connu le livre que par le film avec Depp qui avait intelligemment et heureusement évité la polémique).

Passons à l'histoire elle-même. Elle est très bien construite, à l'image d'un long conte de fées déjanté. le petit garçon pauvre est exagérément pauvre mais la caricature est finalement drôle et fait bien contrepoint avec les autres enfants. Les sales gamins ont des travers encore bien actuels pour la plupart (obésité, enfant roi, accro à la télévision ou actuellement aux vidéos internet) Seul le jugement extrême sur le chewing-gum stigmatise une nouveauté de l'époque qui ne s'est tout de même pas avéré si compliqué à gérer dans l'éducation. La responsabilisation des parents est également fort habilement décrite, lisible et compréhensible pour les enfants et intéressante malgré tout pour un lecteur adulte. L'enchaînement des salles et des idées originales remet bien au goût du jour la maison en pain d'épice de la sorcière d'Hansel et Gretel. Enfin, le personnage de Willi Wonka semble taillé pour devenir un personnage de Burton ! A l'image des personnages d'Alice aux Pays des Merveilles, certaines de ses réactions brutales désarçonnent même le lecteur adulte et évitent le côté lisse de beaucoup de personnages "gentils" des contes pour enfants. le lecteur reste en attente du prochain rebondissement, ayant évidemment compris à force la mécanique de l'histoire mais souvent surpris par le biais pris par l'auteur pour malgré tout étonner.

Une lecture rapide et agréable, qui donne envie de se précipiter chez son confiseur pour vérifier qu'on n'a pas loupé les dernières nouveautés, au cas où certains aient réussi à s'inspirer des inventions de Willy Wonka.
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Je poursuis mes lectures de classiques avec Charlie et le chocolaterie. Je suppose que beaucoup ont dû le découvrir pendant leur enfance. Personnellement, c'est grâce à l'adaptation de Tim Burton que j'ai eu vent de cette histoire. Aimant toujours découvrir les romans qui ont été la source des films que j'ai bien aimé, j'ai sauté le pas.

Pas de grandes surprises. le film est très fidèle au roman de Roald Dahl mais ce n'est pas pour autant que je n'ai pas apprécié ma lecture. Se lisant très vite, on y retrouve ce côté un peu « tragique » mais en même temps loufoque qui font qu'une histoire prend tout son sens. Un peu de réalité mélangé à une certaine magie fantaisiste. Mon âme d'enfant à vraiment apprécier et je dirais même que l'adulte a probablement vu pas mal de petites choses que je dirais fort intéressantes.

Charlie, notre jeune héros, est un petit garçon tout de suite très sympathique. Très pauvre, il n'a pas une vie facile mais il est entouré d'une famille qui l'aime et qui est toujours présente pour lui. Dès le départ, on sent que Roald Dahl veut nous faire passer un message. L'amour comme bien le plus précieux. Et j'adhère, d'autant plus qu'au fur et à mesure que l'histoire se dévoile, nous voyons les travers de notre société être dépeints et critiqués. Pas toujours de façon directe, mais difficile de ne pas voir que l'auteur se sert de son histoire pour faire passer plusieurs messages. Et même si l'histoire a été écrite il y a pas mal de temps, elle est toujours d'actualité… malheureusement.

La cupidité et l'envie des adultes qui veulent toujours plus. Plus de pouvoir, plus de notoriété, plus d'argent… Les enfants pourris gâtés qui n'ont aucune limite, ceux à qui les parents ne refusent rien malgré le fait que cela les mette les enfants en danger, la télévision à outrance qui engrange une certaine violence chez certains… Et les parents en prennent aussi pour leur grade car ils ne font rien pour arrêter ces comportements nocifs. Chacun se verra moqués et prendre une leçon mais il y a un certain malaise tout de même à voir les quatre enfants et leurs parents, heureux gagnants de la loterie de Willy Wonka, à agir comme ils le font. Il y a toujours un peu d'amusement et un côté loufoque et dérisoire qui atténue tout cela mais tout de même.

Et à côté, nous avons ce petit Charlie. Un petit ange qui s'émerveille et se contente de ce que lui donne la vie. Bien évidemment, le lecteur ressent une certaine tristesse pour le petit bonhomme et on lui souhaiterait tout le bonheur du monde, mais au fil de la lecture, je me suis dit que Charlie avait de la chance d'être comme il était et qu'au final c'est grâce à lui et uniquement à lui qu'il obtient cette part de bonheur tant espéré. Charlie est pauvre, Roald Dahl ne romance pas tellement cet aspect mais il n'y a pas non plus d'apitoiement.

A travers la découverte de la fameuse chocolaterie, on s'émerveille. Nous suivons ce Willy Wonka qui a des airs de Chapelier Fou, et c'est en même temps une aventure fantastique et imaginaire mais qui garde un pied encré dans la réalité et qui essaye de « redresser » certains torts. le gérant de la chocolaterie n'est pas un vengeur masqué mais il n'en est pas loin.

Une sorte de conte que j'ai trouvé très agréable à lire et que je conseillerais à nos têtes blondes. S'il ne comprenne pas forcément le message de l'auteur, ils auront au moins pu visiter cette chocolaterie dont nous rêvons tous.
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Challenge ABC 2014/2015

J'ai dix minutes top chrono pour écrire cette critique avant d'aller en cours ! C'est parti !!

"Charlie et la Chocolaterie" est un roman jeunesse du célèbre Roald Dahl publié pour la première fois en 1964 (c'est vieux !). Je l'avais lu quand j'étais à l'école primaire (il n'y a pas si longtemps :D) et bien évidemment j'ai vu l'adaptation de Tim Burton au cinéma. Une petite envie de renouer avec ce livre m'a donné donner le déclic pour le lire durant mon trajet de train tout à l'heure.

Ce roman se lit très vite et c'est très bien ! C'est sympathique, pas mal écrit et avec une pointe de morale. Charlie est un gentil garçon issu d'une famille très pauvre mais aimante (eh oui, le manque d'argent rapproche les gens !) qui va avoir la chance d'obtenir l'un des 5 tickets d'or pour visiter l'usine de Willy Wonka. Il va alors vivre de nombreuses aventures aux côtés de quatre autres enfants, tous plus turbulents les uns que les autres !

Roald Dahl a su créer ici tout un monde imaginaire et magique au sein de ce qu'il y a de moins glamour et attractif pour les enfants : l'usine ! Bon, c'est une usine de chocolat, mais quand même ! Cette dernière cache d'innombrables trésors gustatifs et un immense royaume dont on ne perçoit jamais les limites (y en a-t-il seulement ?).
Petits et grands s'amusent à la lecture de toutes ces sucreries improbables qui font pourtant saliver. Mais la morale est là, bien présente. Un peu à l'image des fables de la Fontaine ou des contes de Perrault, chaque fois qu'il arrive un malheur à un "méchant" enfant, les Oompa Loompas chantent une petite chanson versifiée pour marquer l'attitude ou le trait de caractère déconseillé d'avoir.

Au cours de ma lecture, j'ai remarqué deux choses : 1) Road Dahl a une sacrée dent contre la télévision (et pourtant on est seulement dans les années 1960, qu'est-ce qu'il dirait aujourd'hui !!?) ; 2) "Charlie et la Chocolaterie" pourrait faire un joli film d'horreur tout sucré et sanglant...ou pas ;) !

Un plaisir de relire ce roman qui marche toujours sur les adultes qui ont encore leur âme d'enfant. Maintenant, je vais pouvoir découvrir la suite que je n'avais jamais lu !
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La censure de retour : lèpre de la pensée

Je ne suis pas un lecteur de Roald Dahl, mais j'apprends aujourd'hui que son éditeur anglais va exercer la censure avec un effet rétroactif sur son oeuvre pour dit-on satisfaire les courants wokistes d'aujourd'hui.
Ne voila-t-il pas que cette lèpre de la pensée revient sous son aspect le plus hideux. Je vais parler de la Russie pour ce qui me concerne, les éditeurs sous le régime impérial avait maille à partir avec leurs auteurs puisque eux-mêmes s'autocensuraient pour ne pas avoir à craindre de mauvaises surprises financières quand ce n'était pas leur propre limogeage. C'est ainsi que des oeuvres circulaient sous le manteau où étaient carrément publiées à l'étranger. Mais l'auteur signait en conséquence de cause. Il a fallu attendre les années post-staliniennes pour que la censure prenne fin. Ici, on imagine que l'éditeur use de droits sur l'oeuvre d'un auteur décédé, il ne recueillera évidemment pas l'avis de quelqu'un qui est mort pour modifier ses textes originaux passés au crible d' une nouvelle grille de lecture d'aujourd'hui prétendument wokiste. le procédé est abject, odieux et nous fait revenir aux heures sombres de l'Histoire.
Celui qui protestera encore le moins est celui qui est mort. Je ne pense pas qu'il se douterait qu'un jour on commît pareille infamie sur son dos. 21 février 2023.PG.
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J'avais vu le film de 1971 (de nombreuses fois, c'était une des rares VHS chez mon grand-père quand j'étais enfant), j'ai vu aussi le film de 2005... maintenant, je pourrai dire que j'ai aussi lu le livre...enfin, que je l'ai écouté plutôt.
Ma fille et moi avons passé de longs trajets en voiture avec Charlie, Willy et tous les autres et nous nous sommes toutes les deux beaucoup amusées.
L'univers, fantastique juste ce qu'il faut, est très amusant à imaginer et les friandises de Willy Wonka ne peuvent pas laisser les papilles des gourmets.ands indifférentes.
Juste une petite chose que je regrette dans ce format audio : le choix de certains accents pour les personnages du roman. le grand-père anglais avec un accent marseillais à couper au couteau, c'est plutôt moyen...
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Depuis que j'ai vu l'adaptation cinématographique de Tim Burton, j'ai envie de lire Charlie et la chocolaterie. C'est dire si j'ai pris mon temps !
C'est le premier livre de Roald Dahl que je découvre et je pense que ça ne sera pas le dernier.

J'ai beaucoup aimé l'histoire même si elle est cousue de fil blanc, remplie de bon sentiment et exagérément moralisante. le monde crée par Roald Dahl est tellement merveilleux et fantaisiste que j'ai retrouvé mon âme d'enfant. Tant pis si l'auteur fait un cours un peu lourd sur les valeurs morales, tant pis s'il fait tout pour nous apitoyer sur le pauvre pauvre pauvre Charlie... il y a tellement d'humour et de douceur dans cette histoire que toutes ces scories me sont passées au-dessus de la tête !

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J'ai lu ce livre avec ma fille, il n'y a pas longtemps.
Elle devait lire un chapitre chaque jour pour l'école.
On a adoré ce moment de lecture que l'on partager toutes les deux.
Une très belle histoire, plein d'espoir…
Un récit sur la pauvreté, la famille, l'importance des générations, et l'espoir…

Bonne lecture !
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Comme beaucoup d'(ex-)enfants parmi nous, moi aussi j'ai lu Charlie et la Chocolaterie lors que j'étais en cours élémentaire. Je me souviens vaguement que j'avais beaucoup aimé cette histoire. L'adaptation de Tim Burton m'avait beaucoup plu aussi. J'aime bien l'humour employé et les personnages, c'est loufoque avec une bonne dose sur les valeurs morales. Ma participation au challenge Multidéfis m'a incité de (re)lire cette ouvrage quelques décennies après la première fois. Moment de lecture sympathique pour les petits et moins petits :-)

Challenge Multidefis
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Mon premier livre de cet auteur et je suis agréablement surprise. C'est un livre, un conte pour enfants (moi je suis restée assez gamine ...). On entre dans univers extraordinaire et complètement déjanté( c'est ce qui m'a plu )Le style est très fluide, facile à lire. Les personnages et les situations sont assez caricaturaux comme dans tout les contes. L'auteur nous montre ici à travers un univers féerique de chocolat et de sucreries qu'éduquer un enfant n'est pas si facile, que chaque enfant a besoin de limites dans sa vie pour pouvoir se construire. Un joli petite livre très vite lu qui conviendra aux jeunes et aux adultes qui ont gardé une âme d'enfant.
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