Une histoire courte mais puissante sur le poids de son histoire, les différentes façons de lutter pour défendre ses droits et protéger les êtres aimés.
Y sont aussi beaucoup discutés le deuil et la culpabilité mais aussi les liens précieux que l'on est amené à tisser avec autrui et la confiance qui se construit avec.
Pas mal de larmes ont étés versées.
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Finaliste du National Book Award en 2019. « Eau douce » (Freshwater), le premier roman de l'écrivaine nigériane Akwaeke Emezi est paru chez Gallimard, en février dernier dans une traduction de Marguerite Capelle. Ces débuts bruts et extraordinaires explorent la métaphysique de l'identité et de l'être, plongeant le lecteur dans les mystères de soi.
Embarquez dans un voyage tout à fait fascinant avec sa traductrice.