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4,25

sur 1342 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un grand merci à Banelio et aux Editions Laffont pour l'envoi de ce roman qui me tentait, puisque de la même auteure, j'avais apprécié "Mamma Maria".
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Je ne vais pas faire durer le plaisir, ce livre est trop "feel good" pour moi. J'ai commencé ce roman en l'appréciant : on croise l'héroïne au gré des demeures dont elle assure le ménage. On découvre ses patrons, leurs peines, leurs joies. Et puis l'Italie !.... Ah, l'Italie !.....
Oui mais voilà.... Plus j'avançais dans le roman plus le personnage central m'exaspérait. Eléonore n'est rien moins que parfaite : mère attentive (ses jumeaux eux aussi sont parfaits d'ailleurs), empathique avec ses ami(e)s mais aussi avec ses patrons (qui de toute façon sont eux-mêmes tellement adorables), aux petits soins avec tout le monde, mais elle est aussi séduisante, enthousiaste, toujours enjouée.... N'en jetez plus !
Officiellement notre héroïne est censée être en dépression pour cause de rupture amoureuse douloureuse.... Assez rapidement j'ai décroché. Plus j'avançais, plus le personnage était lisse, parfait et moins j'accrochais.
L'auteure indique qu'elle accompagnait sa grand-mère dans les ménages qu'elle faisait. On va dire que les souvenirs embellissent tout car là on est vraiment face à Cendrillon !
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Je mets toutes mes étoiles pour l'Italie.... car j'ai quand même eu l'impression de faire un voyage là-bas....
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Envie de légèreté, d'évasion, de bons sentiments, de beauté, d'amour et où même ce qui pourrait être moche et triste ne le sera pas ?
Alors vous avez choisi le bon roman.

Eléonore est séparée de Sacha. Mais ils se sont séparés intelligemment en gardant à l'esprit que le plus important c'est leurs jumeaux Andrea et Élise.
Sacha est marié, a une petite fille et de l'argent.
Éléonore est femme de ménage et galère pour boucler ses fins de mois.
Elle ne se remet pas d'une relation avec le beau Marco et ne peut se passer de le suivre sur les réseaux sociaux.
Ses semaines se suivent et se ressemblent chez ses clients.
Entre le Docteur célibataire, la douce mamie qui a surtout besoin de compagnie, la femme qui cherche à donner son amour, la voyante et la coincée du --- et celui qu'elle n'a jamais vu.

C'est un roman où la gentillesse, l'empathie, la solidarité coule à flot.
Sans surprise.
Même ce qui pourrait être grave fini sur de la légèreté.
Vol, violence, détresse, déprime, un coup de Giuliano et il n'y paraîtra plus.
Même l'ex est tout douceur, l'appelle "ma puce", lui propose de l'argent, de l'amener avec eux en vacances !

Attention l'abus de bisounours Giuliano peut-être mauvais dans la vie réelle car comme dit l'adage "l'important ce n'est pas la chute, c'est l'atterrissage".

Je pense que Serena en a mis trop d'un coup.

Il reste quand même les bons petits plats fait en Italie qui font saliver.
Serena m'a cette fois trop décrit les gens et pas assez les paysages.
Ce voyage est un peu décevant, pour moi, mais je suis certaine que ses autres lecteurs trouveront leur bonheur entre ces lignes.
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Un livre agréable, frais, avec de jolis sentiments et de belles valeurs.
L'écriture fluide et les chapitres assez courts, qui représentent chaque jours de la semaine apportent du rythme.
J'ai également bien aimé "l'épilogue", difficile à expliquer, qui est écrit en parallèle de l'histoire.
Par contre, j'ai vraiment eu une sensation d'inachevé, ça manque d'un je ne sais quoi.
L'autrice aurait un peu plus approfondir, 25-50 pages de plus auraient été les bienvenue.
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Voilà l'histoire, égrenée au fil des jours de la semaine, d'Eléonore une femme de ménage au grand coeur qui consacre tout son temps aux autres, dans la ville italienne très typique de Salerne.
Cette presque quadragénaire entre dans l'intimité de gens en nettoyant leur appartement et les aide à régler leurs problèmes, dépassant largement son rôle.
Mais elle vit également une rupture douloureuse et son quotidien n'est pas facile, avec deux jumeaux adolescents et des revenus bien insuffisants pour trois.
Voilà l'histoire d'une femme blessée, souvent obsessionnelle qui retrouve, avec les gens qu'elle côtoie, l'envie de se relever et de réaliser ses rêves.
Un roman feelgood qui passionnera certainement les amateurs du genre et qui, personnellement, m'aura appris plein de choses sur les techniques de nettoyage, la profusion de vidéos de ménage sur Tik-Tok et la grande variété des plats italiens.
Avec une jolie visite à Venise comme cerise sur le gâteau, ce roman est un dessert bien sucré qui se déguste dans une chaise longue au soleil.
Bon, de mon côté, je vais prendre mon plumeau et mettre mon tablier pour me lancer dans un grand nettoyage de printemps, avant de me replonger dans un roman bien noir, parce qu'en vrai, c'est ce que j'aime.
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L'histoire est simple : Eléonore, séparée de son compagnon, vit seule avec ses jumeaux ados tout en faisant des ménages dans six familles. Chaque chapitre nous ouvre la porte d'un des employeurs d'Eléonore et, en sa compagnie, on entre dans l'intimité d'une vieille dame, d'un couple infertile, d'un veuf, d'une famille catho bourgeoise etc… le procédé n'est pas nouveau mais ça fonctionne à merveille. Tous en récurant les baignoires, époussetant, lavant, repassant les monticules de linge, Éléonore pense à Marco, cet homme marié dont elle est toujours follement amoureuse mais qu'elle a quitté. Elle rêve aussi à ses quarante ans qui approchent et à ce projet qui lui tient à coeur, mais pourra-t-elle le réaliser ?
Malgré de nombreux rebondissements, l'histoire est assez convenue. Heureusement, il y a l'humour de Serena Giuliano, et on sourit aux mésaventures d'Éléonore qui a le coeur sur la main.
C'est vif, bien dialogué et dans l'air du temps, mais j'ai regretté que les personnages soient aussi stéréotypés.
Même si cette lecture sera vite oubliée, j'ai passé un bon moment avec Éléonore.
Un roman à grignoter en sirotant un spritz…. à l'ombre d'un parasol !
Je remercie RTL, Lisez !, Babelio et les éditions Robert Laffont pour cette « lecture d'été »
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Une lecture sympathique mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable
On retrouve Serena dans son style habituel
L'Italie le temperament italien est bien décrit et l'évocation des repas de pates donne faim.
J'ai passé un bon moment et continuerai à decouvrir Serena.
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Serena Giuliano, c'est l'assurance d'une lecture divertissante, légère, drôle parfois et surtout, surtout avec le sentiment d'un voyage en Italie ! Surtout gustatif, le voyage, souvent....

Avec Un coup de soleil, on retrouve ce qui fait qu'on choisit un roman de cette autrice.
Pour la légèreté et l'humour, j'ai trouvé ce que je cherchais. Pour le voyage en Italie, un peu moins que d'habitude. Si les plats évoqués mettent l'eau à la bouche, j'ai trouvé un peu moins d'expressions italiennes, de musique italienne, de culture italienne et surtout beaucoup moins de Dolce Vita que dans Mamma Maria, Luna ou Sara perché ti amo. Dommage car c' est, je trouve, une des grandes forces de Serena Giuliano, qui sait rendre à merveille l'ambiance italienne.

J'ai été un peu agacée au début par une impression que le personnage principal Eleonore tourne en rond dans son chagrin d'amour. Les "j'ai envie de lui dire qu'il me manque", les moments où elle hésite à lui envoyer un message ou où elle le stalke sur les réseaux sont répétitifs voire rébarbatifs. Impression renforcée par les semaines de ménage qui se répètent, avec les mêmes clients..
Mais quand elle pivote et commence à se décentrer de son chagrin, quelques jolies pépites pointent le bout de leur nez, notamment avec les personnages de Laura, l'amie des jumeaux, et de la cliente nonagenaire. Dommage que cela arrive assez tardivement dans le roman.

Un roman donc en-dessous des précédents de l'autrice, même si j'ai passé un bon moment.
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Viva Italia !
(celles et ceux qui me connaissent -vraiment- savent que j'aimerais y vivre!)

Éléonore est femme de ménage et sa semaine est réglée comme du papier à musique. Son emploi du temps est d'ailleurs noté en 4ème de couv. Chaque jour, sa/son client et l'appartement qui va avec. Femme à la petite quarantaine, pétillante à souhait, un brin hyperactive, elle est aussi mère de famille, divorcée, et tente de se remettre d'une rupture récente.
Mettez tous les personnages dans un chapeau, secouez un peu et cela donne : un coup de soleil.

Le récit met en lumière une profession souvent dénigrée, dont on parle peu et c'est tout à son honneur. L'autrice suivait sa grand-mère dans ses ménages quand elle était enfant et certains passages sentent le vécu.

Ce livre me pose un problème : Éléonore est PARFAITE. Amie fidèle, ménagère efficace, mère à l'écoute, jamais fatiguée, hyper altruiste, enjouée, séduisante... Idem pour les personnages secondaires : des enfants respectueux qui font la cuisine et s'excuse avant qu'on le leur demande.

Si tout cela existe alors j'ai raté ma vie.

Ce roman est vraiment beaucoup trop feel-good pour moi. Pas de dénigrement dans cette appellation, mais ce monde version Bisounours me paraît un peu surjoué et peu crédible. J'ai besoin que les personnages se heurtent à la vie, qu'il y ait un peu de rudesse, que ça accroche quelque part. Bref, que ce soit vrai.
Ici, tout est lisse.

L'histoire se passe en Italie mais aurait tout aussi bien pu avoir pour décor d'autres pays. Hormis la description de quelques savoureux plats italiens (miam) ou de la chaleur, l'autrice ne s'attarde pas sur les lieux. Dommage.

Une rencontre ratée en ce qui me concerne mais je n'ai aucun doute qu'elle puisse ensoleiller la journée de quelqu'un d'autre !
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J'ai lu deux livres de Serena Giuliano en très peu de temps, celui-ci et Luna. Signe que je suis à la recherche d'un peu de légèreté dans mes lectures. Et c'est ce que je trouve chez cette auteure.
Un coup de soleil est un roman qui se lit très vite, rythmé par les différentes journées de ménage d'Eléonore. Chaque jour son "client", chaque jour une histoire en quelque sorte. Car on ne peut pas vraiment rentrer chez les gens, sans rentrer réellement dans leur vie. Alors Eléonore compose, s'adapte selon les profils. Mais au final, pour tous, elle fait davantage que le ménage. Et de s'occuper des autres sera ce qui l'aidera elle-même à dépasser ses propres épreuves.
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Sabato
1ère page et une minute plus tard…

Très jolie couverture avec cette illustration de Stéphane Levallois.
Cool cette recette de cuisine que j'ai trouvé au dos, même si je ne suis pas un grand cuisinier.
Le roman me parait bien al dente !
*

Sabato
Treize pages et un café plus loin…

Eleonore, niçoise, la quarantaine, séparée, deux enfants est femme de ménage. Elle se rend pour son travail chez dottore Martino. Rien ne se passe, la routine quoi !
A part que Marco lui manque.
*

Sabato
Vingt-troisième page et moutons sous le lit plus tard...

« Allo Eleonore ! Non mais allo !!
« Dix-sept ans que tu vis en Italie et tu dis que Padre Pio est a.p.p.r.é.c.i.é !?? »
« Mais Padre Pio est ADOOOORE et VENERE ici. C'est « Notre-Dame-de-Lourdes » de France en plus viril, avec une barbe et des stigmates en plus à la Pasqua et le tutti quanti ! »

Marco trotte toujours dans la tête d'Eleonore.
*

Sabato
Trois p'tits chapitres, un café et quelques autres minutes plus tard…

Eleonore, fait la poussière chez signora Marino
Linda de son prénom est une grande voyante.

« Dites-moi Eleonore, qu'elle est cette tristesse que je vois dans vos yeux ?
« Je lis dans ma bave de crapaud et ma fiente de corbeau, que vous avez perdu un être cher, un chien que vous adoriez !
« Non Linda, c'est Marco que j'ai perdu, une autre race d'animal. D'ailleurs gourde comme je suis c'est moi qui l'ai quitté, mais il me manque tellement… »
*

Page 35 et des poussières sous le tapis…
Chez signora Landi

« Eleonore, laissez vos chiffons et votre vinaigre, aujourd'hui c'est plage et châteaux de sable ! »
« Et ce soir nous irons danser, sans chemise et sans pantalon ! »
Eleonore, n'en croit pas ses oreilles. Etre femme de ménage et femme de compagnie à la fois, cela demande une petite augmentation !
Qu'elle ne demandera pas !
*

Sabato
Page 79 et encore quelques minutes plus tard…

Pas encore une seule description des rues colorées de Salerno, ni la chaleur d'un soleil d'Italie.
La vie trépidante de morosité d'Eleonore, m'a déjà épuisé.
Je referme la porte sur cette quadragénaire et ses deux mômes.

Le bruit des gonds est celui d'un livre qu'on referme…trop tôt.
*


Ma playlist :
« Sans chemise, sans pantalon » de Rika Zaraî.
« Salade de fruits » de Bourvil
« le nuit je mens » d'Alain Bashung
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