Bonjour, mes liseurs, je vous parle du dernier roman de l'autrice, un roman court, mais fort, un thème plutôt rare et passionnant, je trouve : la disparition volontaire.
La mère de Margaux a disparu sans laisser de trace le jour de ses 15 ans.
15 ans plus tard, la disparition de sa mère est toujours présente dans son esprit, particulièrement à l'approche de son anniversaire.
Lors d'une soirée devant la télé, elle se fige.
Elle vient d'apercevoir sa mère sur une toile, en Corse.
Elle qui ne demande jamais rien pour son anniversaire, elle sait qu'elle veut une réponse.
Découvrir la vérité pour peut-être trouver une forme de sérénité.
J'ai apprécié de suivre Margaux aujourd'hui et sa mère il y a quinze ans.
J'ai aimé être plongée dans les pensées de ces deux femmes.
Cynthia Kafka désamorce les moments dramatiques par de l'humour.
J'ai souri et j'ai été émue, dès les trois premiers chapitres.
J'ai apprécié le rythme et la cadence de son récit.
On s'identifie facilement à ses héroïnes.
Prisonnière de sa peine, ce voyage pourrait la ramener sur les traces de son passé, pourrait inspirer son avenir...
Entre rire et larmes, entre suspense et émotion, entre secrets et révélations, entre ombre et lumière, «
Pour qu'elle revienne » est un peu tout ça.
L'histoire nous emmène dans un voyage en Corse, où les secrets familiaux et les révélations se mêlent dans un récit qui m'a émue.
À travers des thèmes tels que la résilience, le lâcher-prise et le pouvoir de la reconstruction, «
Pour qu'elle revienne » m'a offert un moment hors du temps sur l'île de beauté.
Chaque page révèle un peu plus la complexité de la psychologie de ses personnages et le courage nécessaire pour affronter le passé.
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