AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,04

sur 145 notes
5
19 avis
4
15 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La Pouponnière d'Himmler met en scène dans un lebensborn un prisonnier de Dachau qui vient y travailler, une adolescente française séduite pour un jeune soldat allemand de la Waffen SS dont elle attend un enfant, et une infirmière allemande qui comprend peu à peu dans quoi elle est engagée…

Je ne doute pas que l'auteure ait fait quelques recherches pour écrire son livre, qui reste néanmoins dans la catégorie de ceux dont on se demande pourquoi ils sont publiés car il n'apporte rien à ce qui a déjà été dit et écrit. Un roman — presque dans l'air du temps assez malsain qui, pour faire vendre, consiste à écrire des livres ayant pour « décor » les camps — que je n'aurais pas fini si ce n'était une lecture commune.
Mais ce n'est que mon avis bien sûr.
Commenter  J’apprécie          612
C'est l'histoire de trois personnages qui se croisent. L'histoire se passe en en Allemagne près de Munich en 1944. Soeur Helga est infirmière. Elle travaille dans le premier lebensborn qui a été créé. C'est une maternité particulière. Il n'y a que des naissances d'enfants de pères allemands ou de SS. C'est pour avoir la race pure dîtes aryenne. Renée enceinte d'un soldat allemand arrive à la maternité. Elle a dû quitter la France. On a Marek, un prisonnier qui travail à la construction de nouvelles baraques pour les futures mères et leurs nouveau-nés. Que va-t-il arriver à ces personnages ?
J'ai bien aimé le livre. L'auteure a une écriture fluide. Je trouve l'image du bandeau très belle. Je ne connaissais pas cette partie de l'histoire. J'ai appris des choses. J'ai trouvé ça très intéressant. L'auteure nous décrit la vie dans le lebensborn. L'emploi du temps est très strict voir militaire. Les médecins n'acceptaient pas toutes les femmes et les enfants. Ils prenaient des mesures, pour correspondre au mieux à la race aryenne. Ils classaient les femmes selon les critères. Helga est gentille et aide les femmes. Au fur et à mesure, elle commence à se poser des questions notamment quand la guerre se rapproche. Renée n'ai pas acceptée par les autres pensionnaires car elle est étrangère. Sa vie est un peu compliquée. Son état d'esprit change et se dégrade. Marek est un prisonnier qui fait tout pour survivre dans cette horreur. On ne le ménage pas. A la fin du livre, quand la guerre approche de la maternité, la tension monte. Il n'y a plus aucune organisation. le lebensborn est quitté. le livre parle de guerre et de lebensborn.
Je remercie Babelio et les éditions Gallimard pour la découverte de ce livre.
Commenter  J’apprécie          50
Après "Manger Bambi" qui ne m'avait vraiment pas convaincues, je retrouve Caroline de Mulder avec ce roman qui s'intéresse aux Heime allemands durant la seconde guerre mondiale - sortes de pouponnières destinées à assurer le renouvellement de la race pure / aryenne.
L'auteur choisit de donner la voix à une futur mère, un prisonnier réchappé de Dachau et une infirmière qui se questionne sur ses actes, leurs enjeux et sur l'éthique de sa démarche.
C'est un roman bien documenté mais auquel il manque, je trouve, la dimension humaine que, par exemple, Valentine Goby était parvenue à faire transparaître dans son Kinderzimmer.
Dès lors, j'ai malheureusement vécu ce roman plus comme un documentaire et ne me suis pas sentie emportée par les personnages.
Lien : https://letempslibredenath.w..
Commenter  J’apprécie          30


Lecteurs (1051) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3231 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}