>
Critique de BookosaurusRex
Ce qui m'a marqué avec cette lecture, c'est le décor et surtout la manière dont je me suis imaginé tout le livre.
Tout le roman a pris des allures de film d'animation du style "Le Chant de la Mer" ou "Brendan et le Secret de Kells" (d'ailleurs si vous ne les avez jamais vu, allez y jeter un oeil et revenez ensuite, vous m'en direz des nouvelles).
Cette projection mentale de l'histoire en a fait un moment particulièrement plaisant, avec ses mystères, sa mythologie, son côté sombre, nostalgique, parfois effrayant.
L'île des Déferlantes est une figure à part entière de l'histoire, dernier rempart et point de lumière avant l'obscurité de l'océan, instable et inquiétant, coeur des légendes locales.
Heureusement les gardiens se succèdent pour protéger l'île de toute menace pouvant sortir de ces flots houleux et des tempêtes indomptables.
J'ai un gros faible pour les histoires mettant en scène une nature sauvage qui fascine et fait peur, qui nous renvoi à notre condition de petits bipèdes tous mous et j'ai vraiment ressenti cette humilité face aux éléments tout au long du récit.
J'ai vraiment aimé la manière dont étaient traitées la thématique des coutumes et tradition de cette île du bout du monde face au progrès et à la rationalité du continent, que j'ai trouvé bien mené en parallèle de la dualité entre l'imaginaire de l'enfance qui devant laisser place à l'âge adulte et à ses responsabilités.
Tout s'articulait très bien autour du personnage de Nuit.
L'intrigue est simple et efficace, même si j'ai trouvé certains développements un peu trop rapides à mon goût vers la fin, un peu trop tranchés par rapport au rythme plus posé du départ que j'ai beaucoup aimé.
Les personnages hauts en couleurs, avec leurs secrets et leurs mystères, sont aussi une force de ce roman, dont j'ai beaucoup apprécié le côté found family et la tolérance qui en découle.
Un livre jeunesse que j'ai vécu comme une film d'animation et c'était génial!
Tout le roman a pris des allures de film d'animation du style "Le Chant de la Mer" ou "Brendan et le Secret de Kells" (d'ailleurs si vous ne les avez jamais vu, allez y jeter un oeil et revenez ensuite, vous m'en direz des nouvelles).
Cette projection mentale de l'histoire en a fait un moment particulièrement plaisant, avec ses mystères, sa mythologie, son côté sombre, nostalgique, parfois effrayant.
L'île des Déferlantes est une figure à part entière de l'histoire, dernier rempart et point de lumière avant l'obscurité de l'océan, instable et inquiétant, coeur des légendes locales.
Heureusement les gardiens se succèdent pour protéger l'île de toute menace pouvant sortir de ces flots houleux et des tempêtes indomptables.
J'ai un gros faible pour les histoires mettant en scène une nature sauvage qui fascine et fait peur, qui nous renvoi à notre condition de petits bipèdes tous mous et j'ai vraiment ressenti cette humilité face aux éléments tout au long du récit.
J'ai vraiment aimé la manière dont étaient traitées la thématique des coutumes et tradition de cette île du bout du monde face au progrès et à la rationalité du continent, que j'ai trouvé bien mené en parallèle de la dualité entre l'imaginaire de l'enfance qui devant laisser place à l'âge adulte et à ses responsabilités.
Tout s'articulait très bien autour du personnage de Nuit.
L'intrigue est simple et efficace, même si j'ai trouvé certains développements un peu trop rapides à mon goût vers la fin, un peu trop tranchés par rapport au rythme plus posé du départ que j'ai beaucoup aimé.
Les personnages hauts en couleurs, avec leurs secrets et leurs mystères, sont aussi une force de ce roman, dont j'ai beaucoup apprécié le côté found family et la tolérance qui en découle.
Un livre jeunesse que j'ai vécu comme une film d'animation et c'était génial!
