Je l'aime bien, cette série, malgré le fait que certaines choses me heurtent pas mal.
Notamment les pensées d'Hester.
Le hic étant qu'on n'a pas vraiment d'explications. Elle pense ce qu'elle pense, épicétou.
Déjà dans le tome 2 c'était limite. Mais là, vis à vis de sa propre fille, ça devient carrément flippant. du coup, pour de la littérature jeunesse, je trouve ça plutôt gratiné. Psychologiquement, c'est du reste peu cohérent avec ce qu'on sait d'elle. Mais bon, passons sur les incohérences...
Après, on retrouve des personnages abhorrés, ou qu'on aime bien, tout au long des tomes, ils vieillissent, changent (ou pas). Et même si le traitement est beaucoup (mais alors beaucoup beaucoup) trop rapide pour être vraiment bon, ça reste divertissant, avec toujours énormément d'action. (Edit après avoir lu (et m'être ennuyée) sur le tome 4 : le traitement rapide n'est au final pas si mal que ça, vu que quand il s'étale, l'auteur se perd dans des rebondissements, pertes et retrouvailles peu crédibles).
Je m'en vais finir la série, et ensuite, direction "pour ma nièce" ! :)
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Mieux que le deuxième, ce tome égale en qualité le premier tome de la série. On y retrouve les personnages plus âgés et on assiste, impuissant, aux désastres causés par une jeune adolescente. Ce livre est un savant mélange entre le tome 1 et roman pour adolescent comme il en existe d'autres. Ce mélange est réalisé dans les bonnes proportions pour inclure un minimum de romance dans ce troisième tome sans tomber dans la niaiserie et l'eau de rose. [Je recommande ce livre] même à ceux qui ont été un peut déçus par le tome 1.
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Allez, confinement oblige, on se plonge dans un futur dystopique avec le troisième tome de la saga "Hester&Tom" mieux connue sous le nom des "Mécaniques fatales". Il faut bien avouer que j'ai eu un moment de flou, avec de vagues souvenirs du tome précédent, lu il y a plus d'un an, mais cela revient rapidement!
On fait donc un saut dans le temps, une quinzaine d'année plus tard, lorsque Tom et Hester ont eu une fille et comme les chiens ne font pas des chats, cette fille est une exploratrice en devenir sauf que... la réaction en chaîne ne va pas être belle à voir!
On retrouve les grands personnages de la saga, avec des surprises, mais aussi d'excellents nouveaux personnages. On voyage sur cette planète Terre désolée et on découvre la fabuleuse ville de Brighton. Plus j'avance dans cette saga, et plus j'efface ma frustration de ne pas explorer ce monde. le premier tome avait créé cette frustration et je dois dire qu'elle est loin d'être comblée... alors qu'il ne reste qu'un tome!
C'est un excellent roman d'aventure mais aussi psychologique. L'auteur n'a aucune pitié pour ses personnages et Hester, et l'une des pire anti-héros que j'ai pu côtoyer dans mes lectures... Elle est tout sauf dans les cordes humainement correctes et moi, ça me plait!
Bref, encore un excellent moment passé dans ce monde futuriste. Je fais une pause et ne tarderai pas à passer à la suite pour un dernier voyage!
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Quinze ans vient de s'écouler. Tom et Hester vivent sur la cité d'Anchorage une vie "paisible" avec leur fille Wren jusqu'au retour des enfants perdus.
Wren se retrouve l'héroïne malgré elle de cette aventure, jusqu'à révéler le lourd secret de sa mère.
Machinations Infernales est dans la lignée des deux précédents romans. L'auteur nous transporte dans son monde apocalyptique, un monde où les idéaux des hommes se confrontent jusqu'à une guerre sans fin.
Le personnage de Wren est attachant, elle ouvre les yeux sur le monde des adultes qui est rempli de mensonge. Hester et ses secrets est-elle faite pour être mère? Pour une visite statique?
La fin du roman nous prépare au quatrième tome que j'ai hâte de lire.
A suivre ...
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Un troisième tome de cette collection que j'adore, même si le personnage de Hester commence un peu à m'énerver, mais le nouveau personnage de Wren m'a beaucoup plu, un mélange de son père et sa mère, qui découvre le vrai monde, je l'ai lu si rapidement comme les autres tomes.
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Tom attendit qu’ils aient disparu à l’angle du couloir pour se faufiler jusqu’à l’escalier le plus proche. Il parcourut rapidement la section consacrée au XXIe siècle, dédaignant les grandes statues en plastique de Pluto et Mickey — divinités à tête d’animal de la défunte Amérique — puis franchit en courant le hall principal et les galeries remplies d’objets qui avaient réussi à traverser les millénaires depuis l’époque où les Anciens s’étaient entre-tués à coups de bombes atomiques et chimiques lors de ce qu’on avait appelé la Guerre d’Une Heure.
p.201-2.
- Qu'allons-nous faire avec Caul ? lui souffla-t-il en l'attirant à lui. Il s'entête à vouloir rester ici. A-t-il donc oublié que Parrain a essayé de le tuer ?
- Non, répondit Hester en secouant le menton. Et ce n'est pas qu'il tient à rester ici. Il aime Parrain, c'est tout.
- Mais le vieux a failli le pendre !
- Aucune importance. Parrain est ce qui ressemble le plus à une mère ou un père, aux yeux de Caul. Tout le monde aime ses parents. Qu'on ne s'en rende pas compte, qu'on les déteste, cette haine est toujours mêlée à un peu d'amour, ce qui rend les choses particulièrement... difficiles.
p.300.
Hester avait elle aussi attendu que la lune se lève. Assise sur un siège de la promenade d'un pont inférieur, elle avait tué le temps en feuilletant son exemplaire de L'Or du prédateur. Ce qu'elle avait découvert l'avait rassérénée. Apparemment, Pennyroyal avait enfoui la vérité sous tellement de mensonges que personne ne parviendrait jamais à la déterrer.
p.142.
C'était injuste bien sûr. Un type comme Popjoy, qui avait occasionné tant de mal, aurait dû souffrir à son tour. Au lieu de quoi, il allait terminer ses jours dans le luxe, à pêcher et à bricoler sur des projets animaliers.
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