AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Jennifer Weiner (69)


Le monde est souvent dur, mais il y a du bon aussi.
Commenter  J’apprécie          100
Je suis restée avec eux jusqu'à ce que le soleil se couche, jusqu'à ce que la couleur de mes oranges devienne la plus vive de la pièce.
Commenter  J’apprécie          90
Lorsqu'il m'embrassa, je sentis son cœur battre contre le mien. Je m'appuyai contre la vitrine, sous les lampions et la délicate musique des carillons de bambou. C'était comme si je le respirais, comme si je le buvais, et dans mes bras je percevais plus les images ni les bruits de ce réveillon new-yorkais, mais lui, rien que lui.
Commenter  J’apprécie          90
Jennifer Weiner
“Cram your head with characters and stories. Abuse your library privileges. Never stop looking at the world, and never stop reading to find out what sense other people have made of it. If people give you a hard time and tell you to get your nose out of a book, tell them you're working. Tell them it's research. Tell them to pipe down and leave you alone.”
Commenter  J’apprécie          90
Quand j'avais 5 ans, j'ai appris à lire. Pour moi les livres étaient un miracle - pages blanches, encre noire, et dans chacun d'eux un monde différent, de nouveaux amis. A ce jour, je savoure le fait d'ouvrir une reliure pour la première fois en me demandant où je vais aller, qui je vais rencontrer à l'intérieur.
Commenter  J’apprécie          90
- Vous devez penser que je suis la plus grosse imbécile du monde.
- Non madame dit-il très sincérement. Le plus gros imbécile du monde, c'est le type - le policier- que sa femme trompe avec le dentiste et qui ne s'est pas étonné de la lingerie toute neuve, ni de l'inscription à la salle de Gym, ni du fait qu'elle se balade subitement avec la bouche pleine de dents d'une blancheur aveuglante.
Ce sont des choses qui arrivent ajouta-t-il.
Commenter  J’apprécie          70
D'accord, ça n'avait pas été super, avait-elle pensé pendant qu'ils s'embrassaient en se cognant le nez et les dents; des gouttes de sueur dégoulinaient du front de Gary jusque sur ses seins. ("Pardon !" avait-il crié en l'essuyant avec une taie d'oreiller.) Oui, Gary avait enfoncé ses doigts en elle comme s'il essayait d'extraire la dernière olive d'un bocal, et ses baisers ressemblaient aux bises sèches d'une tante célibataire. Mais elle ne regrettait rien. A la fin, Gary l'avait regardée amoureusement de ses yeux brun clair, une petite bulle de salive au coin de la bouche.
Commenter  J’apprécie          60
Tim ne verrait jamais sa fille rentrer à la maternelle; s'habiller pour un spectacle de danse ou obtenir le bac. Sa fille ne lui briserait jamais le cœur, mais il n'aurait pas non plus l'occasion d'espérer pour elle, ni de voir ses rêves se réaliser.
Commenter  J’apprécie          60
Maggie se fit le pari qu'elle arriverait à trouver du travail avant le retour de Rose.Si elle travaillait,Rose serait contente d'elle et accepterait de s'atteler au mystère de la grand-mère disparue.Elle abandonna donc la piste initiale du bar et partit en campagne avec un paquet de C.V.Il ne lui fallut pas vingt-quatre heures pour décrocher un emploi à la Patte élégante,une boutique de toilettage pour chiens à deux pas de chez Rose,dans une rue qui comptait deux bistros français,un bar à cigares,une boutique de prêt-à-porter féminin et une parfumerie qui s'appelait Parfum d'amour.
Commenter  J’apprécie          60
Comment Benjamin Franklin avait-il exprimé cela, déjà? "Trois personnes peuvent garder un secret si deux d'entre elles sont mortes."
Commenter  J’apprécie          60
On n'est tombées d'accord sur rien à part le fait qu'on en avait marre l'une de l'autre.
Commenter  J’apprécie          50
Quand on obtient pas ce qu'on veut, on prend ce qui reste et on essaie de s'en accommoder.
Commenter  J’apprécie          50
Jennifer Weiner
"Rose eventually managed to fill three shopping bags with things she didn't need, with anything that caught her eye and gave her even a second's hope that her life -- that she herself -- could be repaired."
Commenter  J’apprécie          50
“She and her friends would talk about their husbands like they were children, or pets - some strange species responsible for bad smells and strange noises and messes they'd have to clean up.”
Commenter  J’apprécie          50
Devant la porte des Cavanaugh, mes genoux s'étaient mis à jouer des castagnettes. J'avais un petit speech tout prêt - Je tenais à vous présenter mes condoléances de vive voix... quelle tragédie... comme ça doit être difficile... - mais, brusquement submergée par le souvenir de ma découverte macabre, je fus incapable d'articuler le moindre mot lorsque Philip vint m'ouvrir. Peu importait: il avait simplement hoché la tête, pris la tarte, et m'avait menée au salon.
"Je n'y arrive pas...", répéta-t-il, les yeux larmoyants.
Commenter  J’apprécie          50
Dan Swansea reprit conscience dans le noir, incapable de se rappeler qui il était et où il se trouvait. Il porta une main à sa tête et gémit en voyant ses doigts couverts de sang. Puis, lentement, tout lui revint. Son nom.
Commenter  J’apprécie          50
Lorsque ma mère sautait en l'air, en tapant dans ses mains et en criant : "Allez, Jon !", tout son corps se mettait à remuer, et continuait de trembler même quand elle arrêtait de bouger. Les gens la regardaient. Les garçons de l'équipe adverse se donnaient des coups de coudes en rigolant, le doigt pointé vers elle, et Jon nous tournait le dos pour parler avec son entraîneur ou faire gicler de l'eau dans sa bouche et sur son visage avec sa gourde. Si ma mère se rendait compte qu'il l'ignorait, elle ne le montrait jamais.
Commenter  J’apprécie          50
Dites donc, ma p'tite dame, vous regardez jamais New York District ?
- Voyez-vous, chez nous, c'est Disney Channel en continu...Alors non.
Commenter  J’apprécie          40
Ce n'était pas une contravention. C'était une enveloppe où figurait mon nom, à l'intérieur une feuille de papier ligné qu'on avait arrachée d'un cahier. Sur la feuille, ces mots, en capitales noires : 'Cessez de poser des questions ou vous serez la prochaine à y passer.' Affolée, je tournai sur moi-même, le coeur battant, comme si la personne qui avait laissé ce mot était restée dans les parages pour observer ma réaction. Pas une seule voiture aux alentours, ni âme qui vive, mais je cru entendre des pas qui s'approchaient, d'abord lentement, puis de plus en plus vite.J'attrapai mes clés, ouvris la portière, grimpai derrière le volant, claquai la porte et la fermai à clé. Puis je jetai un oeil dans le rétroviseur, pétrifiée d'horreur en apercevant la silhouette voûtée qui émergeait de la banquette arrière... Non, je délirais. Il n'y avait que les sièges-auto des enfants.
Commenter  J’apprécie          40
Ni la bouche, ni la pensée n'expriment
Ce que le coeur entend, l'esprit devine.
Commenter  J’apprécie          40



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jennifer Weiner (1899)Voir plus


{* *}