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Je n'ai pas cru une seconde à ce roman où tout est improbable, même en admettant une dose d'humour. Les habitants qui ne croient pas au suicide, les enquêtrices qui descendent à moto pour résoudre le mystère, une peu d'actualité autour des EPHAD. En outre, le style truffé de cliché et de tics d'écriture gêne d'autant plus la lecture. C'est le premier et le dernier que je lirai de cette série.

On m’a vendu ce livre comme étant une petite pépite à lire de toute urgence…

Sauf que gros flop, je suis passée totalement à côté. Cette histoire est d’un ennui, sans intérêt et qui ne procure aucune émotion. Je ne me suis pas du tout attachée aux personnages.

Je suis très déçue de cette lecture. Je ne m’attendais pas à ça en pensant à cette autrice. J’ai un autre livre d’elle qui m’attend dans ma PAL qui celui-ci j’espère saura me plaire.

Un livre malin qui déroute le lecteur. C'est bien écrit, les personnages sont approfpndis et toutes les références sur le Japon sont impressionnantes ! Le travail de documentation est impressionnant.

Mais ce roman reste capilotracté et, surtout, sa fin est vraiment décevante.

C'est un magnifique roman très bien mené aussi bien en actipn, en suspens t en amour.
L'hstoire entre Tyler et Marissa avait mal commencé mais finit très bien.
Ce roman se lit facilement.
Le titre et la couverture correspondent à l'histoire.
Auteur à suivre

C'est une histoire à la fois douce et rigolote. On va être en compagnie de Pimprenelle, dite Nelle et son frère jumeau Leo. Deux jeunes Saint Bernard qui vont chez leur grand-parent. Seulement, voilà le beau temps n'est absolument pas au rendez-vous, et bien qu'il y a des occupations, ce n'est pas suffisant, ils s'ennuient.

Alors qu'ils rangent une boîte de souvenir dans le grenier, ils vont explorer et avec un téléphone et un mystérieux flash les voilà ailleurs.

J'ai beaucoup aimé cette lecture très chouette pour les petits (et pas que ahah ) cette complicité entre les deux chiens malgré les moments difficiles, ils sont toujours soudés.

De plus ce que j'ai trouvé chouette, c'est qu'il y a certaines illustrations dans l'ouvrage et c'est très agréable. La police du texte est également assez grande et spacieuse, de quoi facilite la lecture pour les petits.

Voici un très joli ouvrage pour découvrir Paris.

J'ai aimé me balader au fil des pages et flâner dans les rues de la ville lumière. On y apprend plein de faits intéressants sur Paris et ses lieux emblématiques. J'en connaissais certains mais pas tous. C'est ce qui est bien avec ce livre. Il ludique et en même temps très instructif. Cela donne un chouette moment de lecture pour petits et grands. De plus, le tout est joliment illustré.

A découvrir !

Je remercie les éditions du Sabot Rouge et Babelio pour cette lecture.

Service presse reçu gratuitement. Je ne suis pas rémunérée pour en parler.

Ecotopia est un roman d'anticipation utopique d'Ernest Callenbach, publié en 1975. Véritable visionnaire, l'auteur décrit une société qui s'est coupée du reste du monde pour revenir à un mode de vie totalement écologique et égalitaire, où le respect de la nature a une place prépondérante dans le quotidien des habitants.

Le récit alterne entre deux points de vue d'un même personnage : William Weston, journaliste à New-York, est le premier journalise américain à mettre les pieds en Ecotopia pour y relater du fonctionnement la société et de la politique écotopiennes. A travers ses articles, on découvre les systèmes sociaux du pays : éducation, santé, sécurité, économie, égalité hommes/femmes, transports, énergie etc. Ces passages sont très descriptifs et révèlent une société nouvelle, qui se passe de voitures, de plastiques, de télévision, d'aliments ultra-transformés, ou encore qui propose des semaines de travail à 22 heures.

En parallèle, on découvre les notes personnelles que prend le journaliste dans une sorte de carnet intime, et qui révèle un peu plus de son séjour en Ecotopia. Dans ces notes, il décrit ses rapports avec les habitants, leurs comportements les uns envers les autres, leur mode de vie. S'il se montre plutôt sceptique au début, sa progression dans le monde écotopien lui permet de se révéler à lui-même, aussi grâce à l'intense et profonde histoire d'amour qu'il vit avec Marissa.

Ernest Callenbach est un véritable visionnaire. Alors qu'il publie ce roman en 1975, son utopie écologique anticipait des changements profonds qui sont aujourd'hui devenus indispensables pour protéger notre planète des dégâts que l'humain lui fait subir. Tout ce que l'auteur décrit de l'Ecotopia pourraient être des pistes à creuser pour les mettre en place à l'heure actuelle !

Je me suis parfois un peu ennuyée lors des chapitres ultra descriptifs des articles du protagoniste. J'ai largement préféré les parties de son carnet intime où il se passait vraiment des choses. Cependant, je reste admirative de ce récit d'anticipation qui fait passer un message fort sur la nécessité de protéger la nature.

J'écris régulièrement des chroniques et j'avoue n'avoir jamais eu de difficulté à parler d'un livre. Celui-ci fut le premier.

J'ai reçu Combats de Yuichi Yokoyama lors d'une masse critique et j'en remercie Babelio.

Ma lecture de cette oeuvre a été difficile et je n'ai pas trouvé d'intérêt à la découvrir. Au contraire, alors que j'étais curieuse d'entrer dans l'univers de cet auteur qui m'était inconnu, je n'ai apprécié ni le dessin, ni les scénarios et j'ai la désagréable impression d'être passée à côté de l'oeuvre et de l'artiste.

Les récits, globalement courts, mettent tous en scène des personnages qui s'affrontent violemment, dans des cadres parfois originaux, comme des chantiers ou une bibliothèque.

Le dessin est géométrique et lisse, très expressif cependant, à la manière d'un dessin de mangaka. Le jeu sur les interjections reprend les codes du manga et sert le mouvement et l'action.

Il m'a cependant manqué une motivation, une visée. Les personnages sont froids et impersonnels, les textures synthétiques. Une certaine originalité se dégage cependant des angles choisis, qui rapprochent la technique de prise de vue de celle du cinéma par certains aspects.

La partie centrale présente un entretien avec l'artiste qui y explique son travail et sa technique. On y découvre un illustrateur qui ne lit pas de mangas et qui a donc développé son propre univers sans être influencé par des lectures.

Je respecte le travail de l'artiste sans pour autant y trouver un grand intérêt mais j'imagine qu'il serait intéressant d'être accompagné pour comprendre son art et ses qualités artistiques. Je me suis donc sentie bien seule...

L’autrice nous propose une dystopie plutôt bien menée et efficace, propice à la réflexion. Collapsologie, survivalisme, transhumanisme, dictature… sont parmi les thèmes abordés dans ce roman.

Dans le futur, la question écologique a été réglée : des équipes de recycleurs démontent une par une toutes les villes ; ne restent que les hypercentres (les très grandes villes actuelles) dans lesquels sont regroupés les etres humains ayant les meilleurs résultats au « scoring », une sorte de test d’intelligence. Les autres sont condamnés à errer en accomplissant les tâches les plus ingrates comme le recyclage… Tous les aspects de la vie humaine sont gérés par des plateformes et dématérialisés (éducation, médecine, loisirs et culture, nourriture…). Les états n’ont plus aucun pouvoir face à ces plateformes. Et ce tableau déjà loin d’être idyllique va encore empirer…

Je ne dévoilerai pas plus d’éléments de l’intrigue, mais le plus dur reste à venir… Chaque nouvel événement précipite l’humanité dans le chaos et fait intensément réfléchir. Une nouvelle mythologie de l’histoire de l’espèce humaine va peu à peu s’écrire. J’ajouterai juste que j’ai particulièrement goûté l’ironie de lire ce livre en numérique…

En bref, voici un roman original que je vous recommande de découvrir. Et je remercie vivement les éditions Taurnada et NetGalley pour cette découverte.

Dans une ambiance un brin désuète, ce roman jeunesse propose une petite enquête rondement menée, facile à comprendre sans pour autant être simpliste. Et si le coupable est aisément identifiable, les "Mortels Noëls" que Vipérine doit élucider reposent sur un fond culturel et littéraire riche et inattendu. Quant au personnage principal, il est immédiatement sympathique au lecteur pour son impertinence facétieuse ainsi que son intelligence et on se réjouit à l'idée de lire la suite des aventures de cette détective canadienne en herbe. Un roman qui constituera donc une initiation de qualité au genre policier.


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J’ai été heureuse de pouvoir lire l’histoire de Cassandra et de retrouver les personnages de Fanny (Mon duc sauvage) et Annabelle (Mon highlander protecteur). Cette fois l’autrice nous fait voyager au Danemark en nous faisant découvrir les coutumes de la culture viking à l’époque et lors de la période de noël.

Ce roman nous permet donc de connaitre plus le personnage de Cassandra, c’est une jeune femme intelligente, bienveillante et ouverte d’esprit. Elle a un oncle qui n’est pas la meilleure des personnes mais est entourée d’amis qui sont sa famille cœur. En tant que vieille fille d’origine modeste et qui a reçu une bonne éducation elle n’a plus trop le choix dans ses options d’avenir et c’est ce qui va l’amener à voyager pour devenir gouvernante. Elle va alors faire la rencontre de Norh, apprendre à s’adapter et essayer de se faire accepter. Norh est quelqu’un de plus doux que ce qu’il n’y parait, il tient beaucoup à sa nièce Sigrid et c’est bon seigneur, attaché à ses origines scandinaves. On fur et à mesure de la lecture on comprend qu’il y a un secret qui va peser sur l’intrigue, et entrainer des rebondissements dans l’histoire.

Publié dans la collection "Bête noire" de chez Robert Laffont Bandit n'est pas un polar au sens strict du terme. il s'agit plutôt d'un road movie immobile dans la France profonde dont le centre névralgique se situe dans un café BANDIT est un marginal au grand coeur qui se prend d'affection pour tout ce qui passe à commencer par son chien Nelson jusqu'à la belle Mimsy, une marginale excentrique fan de New âge qui lui en fait voir de toutes les couleurs.
Le livre, écrit dans un style alerte et presque joyeux développe une réelle empathie envers ses personnages. L'intrigue est bien menée même si la fin cafouille un peu comme souvent.
Un livre original et très réussi.

Comment diable ce livre a-t-il pu se retrouver sur la table des thrillers pour adultes ?
Comment Laurent Chalumeau du « Masque et la plume » a-t-il pu dire que c’était hyper-prenant au point d’abandonner toute activité pendant trois jours ?
Comment Stephen King a-t-il pu écrire «Impossible à lâcher. Difficile de s’en remettre. »  comme on peut le lire sur la jaquette ? Je m’interroge… Que de mystères...
Attention, je ne dis pas que les problématiques abordées dans ce roman sur l’écriture et le milieu de l’édition ne sont pas intéressantes. Il est en effet question des fameux « démineurs éditoriaux » ou « lecteurs de sensibilité », d’appropriation culturelle, de la question de la légitimité, de racisme etc... mais le traitement qui en est fait est très clairement destiné à des adolescents ou de jeunes adultes…
Le sujet : une jeune écrivaine, June Hayward, peine à se faire publier. Lors d’une soirée qu’elle passe avec Athena Liu, une de ses anciennes copines de fac - belle, intelligente, cultivée-, cette dernière meurt accidentellement. Or, il se trouve qu’Athena Liu est une étoile montante de la littérature. Imaginez : son compte Insta déborde de likes, elle a reçu tous les prix du monde et participé aux plus belles soiréeS littéraires de l’univers avec des étoiles qui brillent et des admirateurs partout. Bref « elle est incroyable. » (c’est une citation hein…), a « des milliers de dollars sur son compte en banque » (autre citation) et je ne vous parle même pas de son trois-pièces au neuvième étage avec « un humidificateur qui siffle sous les calathéas ». Z’avez pas ça vous, hein...
En deux temps, trois mouvements, June va en profiter pour lui piquer ses brouillons, les retravailler et publier un livre. Seulement, elle n’est pas d’origine chinoise comme l’était la première et l’on va lui reprocher non seulement de n’être pas « autorisée » à raconter une histoire qui concerne des Chinois mais aussi la soupçonner de ne pas être l’autrice du livre….
Le roman met bien en évidence ce qu’est devenue l’industrie du livre à travers une satire assez vive du milieu littéraire : on y voit le rôle primordial des réseaux sociaux, des prix, la course aux best-sellers… Il n’est d’ailleurs question que d’agents, de directeurs littéraires, de négociations de contrats, de box livres (les éditeurs envoient le livre accompagné d’une pochette, d’un porte-clef, d’un sachet de thé parfumé  …) On voit bien la nécessité d’être « une voix marginalisée » pour être plus facilement publiée : « une asiatique queer ? Vous cochez toutes les cases. » (En vrai, quelle misère !) Encore une fois, cette dimension est plutôt bien décrite dans le roman…
Mais les gamins passent leur temps à poster des messages sur Insta, Twitter, Tik Tok ou à les lire (et donc, nous lecteurs, nous devons aussi subir un certain nombre de messages sans aucun intérêt) tandis que la pauvre June Hayward pleurniche sur son lit en jetant son téléphone à l’autre bout de la pièce.
Par ailleurs, que de répétitions, de clichés, de scènes complètement improbables. On sent que l’autrice (la vraie) tire à la ligne. Que de platitudes dans les dialogues… Et la traduction n’est pas bien folichonne non plus...
Encore une fois, c’est un livre qui peut trouver son public mais il faut que ce soit le bon ! J’arrête là ma chronique, la littérature pour ados, ce n’est pas pour moi et j’ai même horreur de ça.
Mesdames, Messieurs les libraires, bibliothécaires, placez ce livre au bon endroit et tout ira bien !
PS : j’ai quand même adoré cette phrase dans le livre « Personne (aucun auteur) ne se vend bien en France. Si les Français t’apprécient, tu sais que tu fais carrément fausse route. »
(Tenez bon, les gars !)
PS 2 : à la fin du livre, vous disposez de l’adresse du site Internet de l’autrice, de son compte Instagram et X.
Et de sa photo, bien sûr...
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/

Le narrateur, un Soudanais sans nom, retourne dans son village natal au bord du Nil après avoir étudié la littérature en Angleterre. Il est frappé par l'accueil chaleureux de sa tribu, mais se sent en même temps étranger à la vie traditionnelle. Il devient intrigué par Moustafa Sa'eed, un homme installé dans son village pendant son absence, mais qui, comme lui, a étudié et vécu en Angleterre. S'ensuivent alors une disparition, un meurtre et un suicide. Décrit de cette façon, cela semble un centime, mais l'auteur soudanais Tayeb Salih (1929-2009) a mélangé une bonne partie du cocktail : le contexte (post)colonial, la lutte interne contre une étrange culture coloniale (dans ce cas celle des Anglais) qui méprise à la fois la culture traditionnelle africaine mais qui est aussi attirée par elle, la lutte de l'auteur et de Moustafa avec la modernité occidentale, le caractère patriarcal de la culture soudanaise (avec son horrible misogynie sous forme de circoncision clitoridienne imposée) , et ainsi de suite.
C'est une de ces histoires dans lesquelles l'auteur a fait de son mieux pour rendre la tâche le plus difficile possible à son lecteur : Salih la raconte par bribes, le narrateur lui-même n'est pas nommé, le personnage principal (Moustafa) reste en grande partie une énigme, et les thèmes abordés restent dans le flou, ils ne sont pas vraiment posés. Intrigant. D'où les nombreuses références faites dans les discussions littéraires au « Cœur des Ténèbres » de Conrad et à » L'Etranger » de Camus. Et puis il y a ces passages carrément lyriques sur la vie dans un village soudanais, et les voyages torrides du narrateur à travers le désert en route vers Khartoum. Même après plus d’un demi-siècle, ce roman reste une lecture fascinante. Lu en Français.

C'est l'histoire d'une fille nommée Gwen, qui, à cause d'une catastrophe, est obligée de fuir avec sa famille. Alors qu'ils sont sur l'autoroute, en plein route, un gros camion percute la voiture. Apeurés par les gros bruits, ils courent de toutes leurs forces. Mais soudainement une grosse explosion couche tout le monde, et une grosse fumée épaisse recouvre toute la zone. Après avoir couru longtemps dans la fumée, Gwen atterrit dans une forêt sinistre. Sa tête se met à tourner et elle se cogne sur un rocher. Après avoir repris connaissance, elle fait la rencontre d'une petite chienne, et elle va devoir apprendre à survivre toute seule.

Je trouve que c'est un très bon livre qu'il envie de continuer la lecture. Il y a du suspense, chaque personnage a son histoire à lui. Il y a toutes les émotions ( tristesse, joie, encouragement...) Je le conseille car il est facile à lire et qu'il y a beaucoup d'aventures.
Limule

Gwen est réveillée par les secouements et les cris de sa mère. Celle-ci demande à sa fille de se lever vite : 'ils doivent partir. Gwen obéit sans comprendre pourquoi tout ce bazar… A l'extérieur, la jeune fille entend des cris, des pleurs et des klaxons. Elle aide ses parents et sa grande soeur Kate à faire leurs valises et à remplir leurs sacs de provisions. Une fois que le père de Gwen a fini de charger les valises dans la voiture, ce dernier donne l'ordre à sa famille de monter. Sur la route,il y a des vingtaines d'autres véhicules, comme si c'était les vacances, sauf que cette fois, personne ne sourit… Quand tout a coup... KLANG !! La voiture heurte le camion qui se trouve juste devant. Il y a trop de bouchons, donc, comme la plupart des gens présents sur la route, ils décident de prendre tout ce qu'ils peuvent avec eux, et de courir !! La mère, en larmes, fait promettre à ses filles de courir et de ne pas s'arrêter quoi qu'il arrive! Quand soudain … une explosion gigantesque fait tomber tout le monde. La mère, aidant Kate a se révéler, rappelle à Gwen qu'elle a promis de ne pas s'arrêter… Plus tard Gwen est perdue dans la forêt, elle appelle ses parents, sa sœur, mais personne en vue...

J'ai adoré ce livre!!! Il est parfait, j'ai tout aimé. Ce qui m'a plu principalement c'est les dessins qui sont juste sublimes, car ça rend l'histoire vivante ; le suspens, parce qu'à chaque fois que Gwen et ses 5 chiens sont confrontés à un nouveau problème, je voulais savoir à tout prix comment ils allaient s'en sortir ! L'histoire est racontée du point de vue de Gwen, et cela nous donne une idée de ce qu'elle ressent. Ce livre est le dernier que j'aurais lu lors de ce projet, et je peux dire que cela me laissera une bonne impression sur celui-ci !

FlamiChou78

Gwen, le personnage principal, a entre 7 et 8 ans, elle vit avec ses parents et sa sœur. ​Réveillée par sa mère un matin, Gwen ​rassemble vite des affaires et part avec sa famille pour des heures ​en voiture sur des routes bondées, pour fuir une menace … Soudainement,un évènement la sépare de ​tout contact humain ! Elle est donc contrainte de survivre et de s'adapter dans un environnement inconnu, hostile, sauvage, près d'animaux aussi ​intrépides qu'attachants !

Wolf girl est un roman de suspense accrocheur. ​Pour ceux qui ont la grimace quand on précise qu'il contient 220 pages , rassurez-​vous, ce roman ne contient pas 2 pages sans illustrations ! J'ai adoré la manière dont Gwen veille sur sa meute . Cette nouvelle vie sauvage a donné à notre personnage principal un air aventurier. Je vous conseille fortement ce roman !
Akilou

Lire Virginie Grimaldi est toujours un régal qui passe trop vite, alors quand j'ouvre son roman c'est toujours un moment de bonheur, un bonbon rempli de différentes saveurs que j'aime déguster. Voilà comment cette autrice que j'adore, manie les émotions.

Ce livre n'y échappe pas. De l'humour, de l'amour, de la sincérité, de la "vie vraie", la famille, mais aussi des douleurs "non-dites", des troubles, des inquiétudes, des drames.

Un livre tellement intime et puissant.
On n'est jamais prêts à la fin des romans de Virginie Grimaldi.
Le combo de fous rires et de larmes font encore partis du voyage pour "Une belle vie".

Je viens de terminer cette lecture que je me réjouissais de lire. Mais.... Je n'ai pas vraiment aimé l'écriture de l'auteur. C'est trop brut à mon goût. J'ai aimé certains passages sur cette adolescence qui"change" nos enfants mais pas tous... contente d'avoir acheté ce livre d'occasion.

Il y a trois sœurs, dont l’aînée, Fliss, est sage et jolie. Il y a Charlie, la petite dernière, espiègle et adorable. Et au milieu, il y a Betty (personnage principal) qui rêve d’aventures et de voyages, elle qui n’a encore jamais quitté l’île où elle habite. Le soir d’Halloween, Betty part à l’aventure, mais elle ne sait pas qu’un terrible secret pèse sur toutes les femmes de sa famille...

Ce livre est magnifique, il y a de l’aventure et un peu de peur. Je vous le conseille, c’est un excellent choix. Mon personnage préféré est Betty car elle aime bien l’aventure, et moi aussi. Le moment où j’ai beaucoup apprécié c’est quand Betty part à l’aventure sans le dire à personne, alors qu’il y a un terrible secret qu’elle ne connaît pas …
Lloyd

Fliss,Betty et Charlie Widdershins sont les personnages principaux de « Une pincée de magie ».
Élevées par leur grand-mère Bunny sur l’île de Crowstone, leur vie est teintée de tristesse et de difficultés. Leur mère est décédée, et leur père est emprisonné dans le sinistre «Marais Brumeux» , une situation qui pèse sur leur quotidien.
Chacune des sœurs a une personnalité distincte ! Fliss incarne la beauté et la raison, Betty est déterminée à changer leur destinée, tandis que Charlie, la plus jeune, apporte une touche de drôlerie et de détermination à l'ensemble. Avant que l’intrigue commence, leur existence est marquée par l’isolement sur cette île sombre, entouré de rochers dangereux, et par les mystères qui entourent la prison où leur père est enfermé. La révélation d’une malédiction familiale et l’héritage d’objets magiques marquent le début de leur aventure extraordinaire.
L’intrigue démarre lorsque Bunny, la grand-mère des trois sœurs Widdershins, révèle l’existence d’une malédiction pesant sur les femmes de leur famille. Cette annonce marque le début des aventures des sœurs, car Bunny leur confie un héritage mystérieux composé d’un sac, d’un miroir et de poupées russes magiques.

«Une pincée de magie» ne m’emballe pas vraiment. La longueur du livre et l’intrigue qui ne m’accroche pas font que la lecture n'est pas très captivante pour moi. Parfois, il y trop de détails, ce qui rend la compréhension un peu difficile. Les personnages, bien qu’ils soient bien décrits, ne suscitent pas vraiment mon intérêt. Le monde fantastique créé par l’auteure ne m’enchante pas beaucoup , et l’intrigue manque de moments existants. Même si les objets magiques sont originaux, ils ne parviennent pas à dynamiser l’histoire à mes yeux. Je pense que la levée de la malédiction pourrait apporter un rebondissement, mais cela n’a pas vraiment compensé les parties qui ne me plaisent pas.En résumé, je trouve que «Une pincée de magie» manque de dynamisme à cause de sa longueur et du manque d’éléments captivants. Bien sûr, c’est mon avis personnel, et chacun à ses propres préférences. En dépit de cela, je reconnais que certains lecteurs pourraient trouver des aspects appréciables dans cette histoire. Il est également important de noter qu’il n’y a pas d’images dans le livre, ce qui pourrait influencer l’expérience de lecture de certains lecteurs.
Zora

Les jumeaux Alix et Gabrielle ne croient pas au paranormal. Leurs parents non plus, mais leur grand mère, elle, y a toujours cru. Depuis qu’ils sont petits, elle leur raconte des histoires. Et cette année, à Noël elle leur offre un voyage au château de Fougeret qui a la réputation d'être hanté. La-bas, il font la connaissance de Manel qui ne croit pas plus à toutes ces histoires. Le soir, les jumeaux se font prendre dans une mauvaise blague de Manel. Vont-ils faire face à des vrais fantômes, cette fois ?
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Je n’ai pas vraiment aimé ce livre car, vu le titre et la 4eme de couverture, je m’attendais à ce que ça parle beaucoup de fantômes, mais non, il y a eu un seul passage, le reste n'a rien à voir.
Goku

C’est l’histoire de Alix et Gabriel, ce sont des jumeaux. Ils ont une mère qui s’appelle Florence et un père qui s’appelle Axel. C’est noël, ils partent chez leur grand-mère Mamillou pour fêter noël. Ils reçoivent un cadeau, un séjour dans le château de Fougeret. Le lendemain ils partent au château de Fougeret, ils rencontrent Sophie, la propriétaire du château. Alix, Gabriel et ses parents vont passer la soirée avec un autre groupe, puis ils rencontrent Manel. Soudain la nuit tombe, ils vont faire une séance de communication avec les fantômes, animée par Mélodie. La séance ne se passe pas comme prévu, Mélodie fait croire au deux groupes que quelqu’un communique avec eux alors que c’est faux. Mélodie est une arnaqueuse. Tout le monde va dormir et il se passe des choses bizarres pendant la nuit.

J’ai aimé le livre car il fait peur et j’aime bien les histoires d’horreur. Les personnages qui ont vécu au château ont bien été décrits. C’était facile à lire. Il n’y a pas beaucoup de pages. J’ai aimé la couverture car quand j’ai choisi le livre, je savais que ça allait faire peur. Alix Gabriel et Manel eux étaient courageux.

Picolo

Le personnage principal est Shima, une jeune fille de 11-12 ans,elle habite avec son père Chihiro. Sa tante Nayu vient souvent chez eux. Avant que l'histoire commence, Shima n'a pas de mère, on ne sait pas pourquoi. Le livre parle de ses relations pas toujours faciles avec son père.
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J'aime bien le livre, l'intrigue ne m'a pas trop plu, mais les dessins sont trop bien faits !
J'aime bien quand Shima fait le jardin et qu'elle demande à son père si il peut ramener des baguettes jetables ; quand Chihiro dit qu'elle va manger de la terre ou quoi, c'était drôle cette partie en tout cas. Comme j'aime bien les chats ,quand j'ai vu les dessins de chats je les ai trouvés très réalistes !

/Snowy_Sky\