Envie d'une pause entre deux thrillers, j'ai trouvé ce roman à la médiathèque et cette couverture m'a fait de l'œil.

Un petit peu de bienveillance, d'humanité, de chaleur, de bonheur...pousser la porte de cet immeuble coloré.



Le début n'est pas dès plus sympathique pour son héroïne, Johanna. Elle est mère de trois enfants de deux pères différents et le dernier se fait arrêter pour escroquerie.

Habituée depuis 8 ans à ne rien faire hormis aller au club de golf avec ses "copines", elle n'est, en plus pas douée pour la cuisine. Alors lorsqu'elle se retrouve à devoir loger un appartement avec seulement deux chambres et ses trois enfants, elle déchante.

Les problèmes vont s'entasser et elle appréhende le voisinage, le quartier... elle porte un jugement hâtif sur tout et tout le monde.



Je m'attendais à du déjà vu avec une reconstruction lente que l'autrice nous aurait commentés pour arriver à un happy end.

Mais ce n'est pas le cas, enfin, la fin doudou, oui, mais elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Très vite et sans transition.

Voilà où est l'originalité de ce roman. Mais c'est aussi ce qui est dommage car la fin est bien trop facile !



L'autrice a voulu mettre en avant la vie de quartier "difficile", le jugement rapide, l'importance de l'entraide,...

Je suis passée à côté de ces petits bonheurs mais peut-être que ça ne sera pas le cas pour vous. En tout cas, je vous le souhaite.

C'est l'histoire de trois personnages qui ne se connaissent pas mais qui vont finalement s'entraider et apprendre à se connaître. C'est une histoire faite de belles rencontres mais aussi de mystères...



On accroche tout de suite à l'histoire, les personnages sont touchants et les pages se tournent toutes seules. Un petit roman feel-good parfait pour passer un bon moment en compagnie d'Iris, Jeanne et Théo.

C'est un roman qui se démarque par sa douceur, son optimisme et son bonheur. L’autrice a su créer une histoire originale et attachante, qui nous fait voyager à travers les péripéties de la vie quotidienne.



Nous suivons Camille, une jeune femme indépendante qui s’apprête à rejoindre le sud de la France pour participer à la réunion familiale annuelle. Malgré les mises en garde de sa concierge, elle choisit le covoiturage comme moyen de transport et se retrouve bientôt abandonnée sur une aire d’autoroute. Après une nuit entière passée à discuter avec un inconnu, elle n’a qu’une idée en tête, le retrouver.



L’histoire est à la fois une romance et un feel-good book. Il y a beaucoup de romantisme et d’émotions, mais l’auteure a aussi un bon sens de l’humour et parsème son récit de situations cocasses et d’une bonne dose de culture mainstream. Les personnages sont attachants, et on suit leur histoire avec plaisir.



Le récit commence avec Camille et dès sa rencontre avec Julien, l’autrice alterne alors les chapitres entre les deux héros, menant ainsi deux récits en parallèle. L’histoire est originale avec l’apport du covoiturage et l’autrice se sert très habilement de cette singularité.



C'est un livre qui se lit facilement et rapidement, idéal pour passer un bon moment. C’est un joli roman, rempli de douceur, de bonheur et d’optimisme. Un livre à découvrir pour tous les amateurs de feel-good books et de romances légères.
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Si on suit Virginie Grimaldi, on sait que ce dixième roman est le plus personnel qu’elle ait pu écrire. Car, à travers les deux personnages principaux que sont Elsa et Vincent, on retrouve l’une des écrivaines préférées des Français. Comme Elsa, Virginie Grimaldi a perdu son papa il y a peu de temps. Comme Vincent, elle est une autrice connue et appréciée, et qu’importe si certains pensent que ce n’est pas de la vraie littérature. Cette mise en abîme n’échappera pas aux fans de la première heure.



Alors certes, « Plus grand que le ciel » n’est pas son roman le plus drôle, ni le plus triste, mais c’est sans doute le plus intime. On sent à travers les mots que l’écriture a été éprouvante, que le roman a été une sorte de catharsis pour l’autrice. Cela donne un texte fort, un récit sur la vie, sur la mort aussi et qui résonnera sans doute en chacun de vous.
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Ce roman de Delphine Giraud, découvert à travers la version audio, offre une plongée captivante dans une histoire aussi intrigante que touchante.

Le talent de l’écrivaine pour tisser une trame narrative saisissante se révèle dès les premières minutes d'écoute !



Le personnage principal, Connie, est une jeune femme épanouie, gérante d'une boutique de fleurs.

Cependant, une ancienne photo retrouvée par hasard bouleverse son existence paisible.

Aux côtés d'un petit garçon inconnu, Connie se voit confrontée à une énigme pressante : qui est cet enfant ? Cette question la hante.



Le mystère s'épaissit lorsque, après quelques interrogations, son père lui révèle l'impensable : ce garçon est son petit frère, Mat, tétraplégique, vivant dans un centre spécialisé, tout proche de chez elle.

La révélation est un coup de tonnerre.

Connie, submergée par l'émotion, réalise qu'elle a effacé de sa mémoire l'existence de ce frère depuis vingt-six ans.



Comment ses parents ont-ils pu lui dissimuler une vérité aussi cruciale ?

Pourquoi avoir gardé le silence pendant si longtemps ?

Connie est déterminée à découvrir ce qu’il s’est réellement passé. Sa quête de vérité la pousse à affronter les souvenirs enfouis, les mensonges et le drame familial.



L’écrivaine aborde avec finesse des thèmes profonds et importants !

Ce livre audio est un voyage émouvant, un voyage bouleversant dans la mémoire oubliée. Je le recommande.

C'est Laure Manel qui m'a indiquée que ce livre était un recueil de nouvelles donc bien différent des derniers ouvrages qu'elle a écrits. Personnellement, je ne suis pas une grande fan des nouvelles en général. Ici, j'ai beaucoup aimé alors oui cela ne se lit pas d'un trait. Pour réellement en profiter, je vous suggère de faire comme avec le morceau de chocolat qui accompagne votre thé, un petit carré de temps en temps et l'on savoure. Je peux vous assurer que cela vous ravira les papilles. Parfois, vous rirez, d'autrefois vous serez triste, en colère ou même heureux... L'autrice utilise tout son savoir-faire pour nous transmettre des émotions ainsi qu'un beau moment de lecture.
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Tout livre qui se passe dans une librairie m'attire.

Et la leçon de sagesse qui se dégage des auteurs asiatiques aussi.

Ce livre se lit facilement

Cette jeune fille perdue moralement va se retrouver grâce à sa famille et aussi grâce au monde des livres.

Ce n'est pas à vous qui me lisez qui aller me contredire

bonne lecture

Il était plus que temps que je lise ce roman que j'ai beaucoup vu passer sur les réseaux et surtout depuis son adaptation au cinéma. On y rencontre Thelma et Louis, mère et fils, Thelma vit pour son travail et sa carrière professionnelle dans un grand groupe cosmétique. Au point de s'oublier sur la route : une vie amoureuse désertique, pas non plus vraiment d'amitié, elle élève seule son fils de 12 ans Louis. Mais alors qu'il se rende en visite auprès d'Odette, la mère de Thelma, Louis va être renversé par un camion et vont s'ensuivre de longues semaines de coma.



C'est alors que Thelma va découvrir le carnet caché de son fils : son carnet des merveilles. Des rêves qu'il souhaite réaliser, mais alors qu'il est hospitalisé avec son pronostic vital engagé, c'est Thelma qui va relever les manches et tenter de réaliser les rêves de son fils et de lui faire vivre par le biais de vidéos qu'elle fait à chaque fois.



C'est un roman lumineux qui nous voir que partout la vie est la plus forte. Thelma est une femme brisée par l'accident de son fils et qui va remettre en question sa vie et la façon dont elle mène ses priorités. Elle va aussi se rendre compte de l'importance de sa famille, d'avoir des proches sur lesquels elle peut compter. J'ai aussi trouvé cette mère dévouée à son fils tellement touchante et drôle (surtout pendant le stage de foot).



C'est un coup de cœur pour moi, tout le monde devrait lire, c'est un rappel à l'ordre qu'il faut profiter de chaque instant, que la vie peut être courte, basculer en une fraction de seconde et que surtout il ne faut pas avoir de regrets, au pire on s'accommodera des remords.
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Le café de Maria, c'est le point de rendez-vous de ce village du sud de l'Italie. Toute la communauté y passe au moins une fois par jour. C'est là que ce sont nouées les plus belles des amités, où les larmes coulent et les rires fusent. Un condensé de vie au bord de la mer, au rythme du farniente.



C'est un joli roman, plein de bonnes intentions et de bienveillance qui donnera la pêche à ceux qui ont besoin d'une lecture légère pour se redonner un coup de peps.



L'intrigue est bien entendu cousue de fil blanc, les personnages principaux sont de belles personnes et l'autrice tire sur les ficelles habituelles du feel good. Rien de vraiment surprenant donc et un court roman qui n'a pas eu de peine à trouver son public en recherche de jolies histoires en mode détente.



Je note que la plume de l'autrice était très travaillée pour la rendre poétique, l'ensemble légèrement saupoudrée d'humour et des personnages aux caractères bien marqués. Je ne vais donc pas m'empêcher de me replonger dans un autre de ses romans quand j'aurai besoin d'une lecture légère.

Petits Bonheurs à tous les étages, c'est un roman contemporain qui nous plonge dans la vie bouleversée de Joanna, une mère de trois enfants. Après l’arrestation de son compagnon pour escroquerie, Joanna se retrouve sans ressources et doit déménager dans une cité, loin de sa vie confortable et ennuyeuse dans un quartier résidentiel. Ce changement radical de décor et de voisinage va l’amener à remettre en question ses préjugés et à découvrir une solidarité et une bienveillance insoupçonnées.



Le livre est une célébration de la résilience et de l’entraide humaine. À travers les personnages colorés de l’immeuble, comme Fatou, Raymond, Djibril, et Yvonne, l’auteure tisse une histoire d’optimisme et de découverte de soi. Je souligne la sensibilité et l’humour avec lesquels Sandra aborde des sujets difficiles, offrant ainsi un récit qui donne de l’espoir.



Ce roman est une invitation à cultiver le goût des autres pour mieux se découvrir, une tendre incitation à regarder au-delà des apparences et à trouver des petits bonheurs là où on ne les attend pas.
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Je retrouve avec beaucoup de plaisir Camille dans le tome 3 de ses aventures.



Camille c'est la reine des catastrophes, la déesse de la maladresse. Au panthéon de la bêtise, elle a une place de choix. Mais c'est justement cela que nous aimons chez elle. Tout cela en fait un personnage attachant.



Ouvrir les livres de Céline Holynski, c'est l'assurance de passer des bons moments de rire. Ses histoires sont pétillantes et légères.



Il n'est pas nécessaire de lire les deux premiers tomes de cette série pour comprendre ce dernier livre mais je vous conseille malgré tout de le faire pour votre plus grand plaisir. Ces petits romans sont fluides et les histoires sont rafraîchissantes.

Après une longue pause dans les romans de Jenny, je me suis replongée avec grand plaisir dans cette nouvelle saga.







Cette lecture est géniale car elle est mignonne, entraînante et très bien écrite.







Ce roman m'a encore renforcé dans mon désir de découvrir, un jour, l'Ecosse.



Les paysages, les vallées, les lacs sont si bien décrits que je me suis vue les fouler aux côtés de Nina.







A côté de cet environnement riche en couleur verte (symbole de l'espoir), on va suivre Nina et sa folle idée de librairie ambulante. J'adore cette idée de pouvoir amener les livres vers les gens au plus près de chez eux, de pouvoir faire rêver et voyager les personnes.



Je rêverais de pouvoir faire la même chose, d'avoir moi aussi un beau van bleu rempli d'étagères pleines à craquer et de conseiller aux autres des lectures.







Nina est une jeune femme timide mais dynamique, qui affronte ses angoisses pour vivre la vie qu'elle souhaite .







Les divers personnages ont tous un caractère bien trempé , quelque brut mais attachant lorsqu'on gratte un peu la 1err couche.







C'est un roman qui fait du bien au moral, mais sans pour autant plonger dans le monde des Bisounours.



Il nous amène à nous poser des questions sur nos choix de vie, nos carrières, de reconstruction.



Mais aussi il nous interpelle face à tous ces changements que connaissent nos métiers "classiques" avec le développement du numérique, la nécessité de chercher la rentabilité avant tout au détriment de l'humain.







J'ai adoré aussi non pas le Pont des Arts mais tous les passages liés à l Arbre à lire de Marek et Nina.







Ce qui fait le charme de ce roman est d'avoir utilisé comme ciment le livre dans toute sa splendeur et diversité.







La plume de Jenny est toujours aussi touchante, drôle, tendre, légère et bienveillante.



Il me tarde de me procurer la suite....

2eme tome de la saga "la librairie..." que j'ai lu avec autant de plaisir que le 1er tome, même si je fus un peu déçue qu'il ne soit pas la suite du précédent.

On y retrouve Lennox et Nina, mais à titre secondaire. Cette histoire aurait pu presque être un roman à part mais le van bleu est le fil conducteur de cette série.



On y découvre encore davantage le côté sauvage de l'Écosse avec ses falaises et ses collines à perte de vue et son fameux Loch Ness.



Comme à son habitude, il y a dans ce roman un brin d'aventure, un soupçon de voyage, un zeste de questions existentielles et belles histoires.

Sa prose m'emporte à chaque fois comme un vent rempli de douceur et de bienveillance.



Jenny Colgan parvient toujours à glisser par ci par là quelques idées de lecture qui m'ont donné envie de les découvrir ou de les relire.



Ce tome illustre le difficile mais nécessaire combat d'une mère pour offrir le meilleur à ses enfants, ainsi que la possibilité de se retrouver submerger par les difficultés. Et enfin, il aborde aussi le sujet délicat des maladies mentales avec douceur.



Au début du roman, j'ai eu l'impression d'entrer dans le château de la Belle et la Bête, entouré de ses jardins issus du livre Le jardin secret et aux mégères des contes de fées.

Mais l'histoire est si prenante que j'avais hâte de connaître la suite des aventures de Zoé, de son acclimatation.



La plume est douce et m'a fait passer un très bon moment....

Chloé est une jeune fille de 16 ans. En pleine adolescence, elle est mal dans sa peau et a des relations assez tendues avec les autres.

La grande passion de Chloé, c'est la lecture ! Après avoir lu et adoré Madame Bovary de Gustave Flaubert, la jeune fille va, avec son groupe de copines, créer un compte dédié à la lecture sous le pseudo de Mademoiselle Bookstagram.



📔MON AVIS : Après avoir lu en service presse "Le temps d'une St Valentin", j'avais très envie de découvrir un autre roman de Stéphanie Godard.

Et tout naturellement, mon choix s'est porté sur celui-ci dont le titre m'a parlé : bookstagram !

Il s'agit d'un roman très court et qui se dévore ! L'autrice y aborde avec justesse le sujet terriblement actuel des réseaux sociaux, aussi bien dans leurs aspects positifs que négatifs.

J'ai pris plaisir à découvrir l'histoire de Chloé qui vit une adolescence difficile. Son amour des livres va lui permettre de trouver sa place.

Ce roman peut être également lu par les ados, et je vais même ajouter qu'il doit être lu par eux. D'ailleurs, je l'ai conseillé à ma fille de 13 ans, car je suis sûre qu'il saura lui plaire en véhiculant le message de l'autrice sur les réseaux sociaux.

Une très chouette lecture que je ne peux que conseiller au plus grand nombre ! En plus, c'est une lecture à prix tout doux, car j'ai acheté ce roman 5,91€ !

Lecture Alice, jeune femme brisée par un drame qu'elle essaye de surmonter accepte un poste dans la start-up de Chris. Celle-ci met au point des applications et notamment une appli pour réunir les chaussettes orpheline.



Énorme coup de cœur pour ce magnifique roman. J'ai aimé l'histoire qui alterne vie présente de Alice et des extraits de son journal intime. J'ai adoré le style d'écriture. J'ai infiniment aimé la fin qui m'a totalement bluffé. Je n'ai qu'une chose à dire : WOUAHHH