AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782266332446
384 pages
Pocket (11/05/2023)
4.38/5   57 notes
Résumé :
Jonas est un auteur à succès, mais il n'est pas heureux. Sa femme, Élisabeth, a claqué la porte brusquement, sa vie va prendre un nouveau tournant : il décide de partir sur les traces d'un père qu'il n'a jamais connu. Sur un bateau mené par deux frères que tout oppose, Jonas se lance dans une chasse à l'homme à travers les iles. Une quête identitaire entre terre et mer, au rythme du vent qui s'intensifie au fil du voyage. Il n'aurait jamais pu imaginer ce qui l'atte... >Voir plus
Que lire après Tala YunaVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
4,38

sur 57 notes
5
15 avis
4
7 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
Tala Yuna est le prénom qui figure sur mes papiers d'identité. Mais mon véritable prénom, celui que m'ont donné mon père et ma mère à ma naissance, est Tala Tiva Huyana. « Tiva » veut dire « danse » et « Huyana », « sous la pluie qui tombe ». Je suis donc littéralement « la louve qui danse sous la pluie qui tombe »..
Quand Jonas rencontre Tala Yuna il est en quête d'un père qu'il n'a pas connu. Sa recherche l a conduit dans la région des mille et une iles. Rouges, vertes ou bleues ceux qui les accostent sont souvent des hommes en quête d'espace, d'une vie rythmée par la nature. Trouvera t'il son père. Pour cela il loue le bateau de Sam , Ringo son petit frère est de la partie. La tempête est imminente, elle va se déchainer entrainant les hommes dans ses filets.
Ce roman m'a je l'avoue surprise. Je connaissais sa trilogie bleu, rouge et vert , des romans policiers soft sur les bords de l'étang des Moures. Ici Charles Aubert a lâché les amarres et embarque son lecteur dans un univers où les frontières entre rêve, réalité, cauchemar semblent disparaitre au fil des pages. Seule émerge la renaissance de Jonas . Roman foisonnant, roman initiatique où les classiques de la littérature semblent conduire les personnages au bout de leur destin.
Etes-vous prêts à affronter les éléments? Alors montez à bord du Tala Yuna sans hésitation.
Commenter  J’apprécie          300
Ténébreux, envoûtant, d'une profondeur inouïe, « Tala Yuna » est un roman existentiel. La maîtrise hors norme de Charles Aubert est la preuve d'un écrivain socle. Qui de Charles Aubert ou de Jonas Duval ?
On ressent un attachement de l'auteur pour ses protagonistes. Comme s'il était lui-même quelque part, caché sur l'île Indigo.
« Tala Yuna » est dans ces entrelacs d'une histoire émouvante, lucide et implacable.
L'écriture aérienne, sans fioritures et appréciée pour sa beauté et tout ce qu'elle laisse remonter subrepticement à la surface. Majestueuse et modeste, annonciatrice d'une aube initiatique en advenir, peut-être.
Jonas Duval est en quête. Son père disparu volontairement deux jours avant sa naissance. Jonas Duval veut régler ses comptes et démêler les noeuds qui oppressent sa poitrine de rancoeurs et de désespoir.
On ressent l'amplitude du manque. Un homme mûr aux conséquences. Chaque heure exauce les douleurs sauvages qui telles les vagues enflent dans ce livre renom.
Jonas Duval est sur le bateau « Tala Yuna » de Sam. Ringo son frère démuni, fragile est dévoré de tendresse pour Sam. Ce dernier est beaucoup plus affirmé, volontaire et dur. Seul, le regard de Ringo fendille la carapace de marin endurci.
En rythme d'échelle de Beaufort, le roman se cramponne au bateau. le périple est viril. Tous ont des exutoires en prévisibilité. La force de ce roman est de ressacs et de torpeurs, de chagrins et de violences enfouies. Ces trois hommes sur le « Tala Yuna » affrontent leurs propres démons.
« Il ne fait pas partie de l'équipage. Il est l'équipage à lui tout seul. » Tel pense Sam de Ringo pourtant si vulnérable. Pourquoi ?
Qui est « Tala Yuna » ? Que va-t-il se passer ?
Jonas (le mythe de la baleine) va-t-il retrouver son père ?
« Tala Yuna » est allié à la trame époustouflante qui accueille les protagonistes qui deviennent nos ombres. Qu'importe qui sera l'anti-héros. Sachons que l'emblème du père est le filigrane. Charles Aubert est le macrocosme. À lui seul, il accorde à « Tala Yuna » tout ce qu'il sait des îles Indigo de par le monde et des vies.
C'est en cela que ce roman dépasse largement ses grands frères. La maturité du style et du récit laissent sans voix. L'ombre et la lumière en chacun. C'est un roman serré comme un café fort, terriblement humain.
Ce roman filial, d'homme à homme, de fils à père est une navigation intrinsèque. Les faillites parentales, les écueils d'amour, le désastre du monde force 12. À l'horizon, le mirage de la fraternité de l'existence. Faut-il sombrer, aller au plus profond de soi-même pour atteindre la rive Indigo ? Lisez ce livre sombre mais gorgé de tendresse et de pudeur aussi. Publié par les majeures éditions Slatkine et Compagnie.
Commenter  J’apprécie          60
Mais quel roman !! C'est ce que je me suis dit en refermant la dernière page, quittant à regret cette fabuleuse histoire et son cadre paradisiaque. Je m'étais gardé les 100 dernières pages pour les lire sans m'interrompre afin d'en profiter pleinement.

Tout d'abord, amis lecteurs, il vous faut savoir que ce roman est comme on dit un "one shot". Il ne s'agit pas de la suite de ses 3 précédents opus. Charles est allé encore au-delà de ce qu'il avait déjà réalisé : TALA YUNA est selon moi, son roman le plus réussi, abouti.. le plus personnel (?), un véritable enchantement.

Suivez-moi, je vous en dis plus.

Nous découvrons tout d'abord un prologue avec un homme seul, sur une plage. Qui est-il ? Comment s'est-il retrouvé là ? Nous n'en savons rien. Puis vient le flash back qui va nous permettre de connaitre l'histoire de Jonas et de son parcours.

Jonas est un écrivain à succès mais malheureux. Il juge que sa vie professionnelle ronronne un peu trop et s'ennuie ferme. Sa femme Elisabeth l'a quitté.. et il n'a jamais vraiment digéré l'abandon de son père avant même sa naissance. Fort de ces constats, Jonas se met en tête de partir à la recherche de son géniteur, persuadé que c'est cet élément clé qui manque à sa construction en tant qu'homme.

Armé d'une bien maigre piste pour démarrer ses recherches, à savoir une photo datée et le simple patronyme de son père, il se rend sur les lieux dont parlait sans cesse ce dernier pour y démarrer sa quête. Où est-ce ? Nous ne le saurons pas. Point de nom de ville hormis la vague idée que cela se trouve au Nord, quelque part.. en France ? (ou pas ?!). Peu importe, Charles nous place sciemment d'emblée dans l'idée d'universalité. Sur les lieux Jonas fait la connaissance de Sam et décide de l'employer, ainsi que son frère Ringo, tous deux étant des marins aguerris, pour explorer les îles environnantes et débusquer son géniteur. Mais l'opération promet d'être fastidieuse, les lieux étant bien nommés l'Archipel des Mille Îles ou Archipel des couleurs.

Jonas est loin de se douter que la quête identitaire dans laquelle il vient de se lancer va bouleverser sa vie à jamais. Entre la terre mère nourricière dont une étrange jeune femme va commencer à lui enseigner les secrets et ses recherches pour espérer enfin rencontrer celui qu'il n'a jamais connu, Jonas en apprendra beaucoup plus sur lui même qu'au cours de toutes les années précédentes de son existence. Jonas retrouvera-t-il son père ? Je vous laisse le découvrir au fil du récit.

Charles a mis tellement de beauté et de poésie dans ses descriptions des paysages. Son récit est puissant, profond, offrant la part belle à la nature, aux éléments ainsi qu'aux énergies qui nous entourent et aux croyances ancestrales incarnées par cette jeune femme mystérieuse que l'on imaginerait très bien chamane, fervante défenseur de mère nature.

L'auteur intègre habilement à ses descriptions une palette de couleurs, un nuancier encore plus précis et riche qui nous émerveille. Faisant suite aux trois couleurs précédentes dans ses romans, il nous révèle ici une myriade de teintes toutes plus éblouissantes les unes que les autres.

Les chapitres sont courts, caractérisés par le « niveau » du vent dont l'échelle et la description sont clairement indiquées dans un tableau récapitulatif au début du récit. Mais attention il s'agit d'un polar et de ce fait le lecteur comprend très rapidement, avec un suspense allant crescendo, que Jonas devra lutter contre les éléments pour espérer trouver les réponses aux multiples questions qu'il se pose. Les éléments se déchaînent, la nature se met au diapason des recherches de Jonas et un final apocalyptique se profile.

Comme à son habitude, Charles excelle dans le choix de ses personnages qui sont extrêmement attachants et dans la description de leur psychologie. Il nous révèle tout à la fois leur part d'humanité à savoir la dualité de leur côté sombre et lumineux. Que ce soit Jonas, tourmenté, en quête d'identité, Sam, capitaine un brin rustre qui s'emporte facilement ou bien cet homme mystérieux que certains habitants du continent disent avoir aperçu. Et bien sur, il y a Ringo, personnage si émouvant qui n'est pas sans me rappeler les membres de l'ESAT de son précédent opus.
Ombre, lumière, sombres et lourds secrets. La bataille est engagée. A savoir qui en sortira vainqueur.

Je ne veux pas trop en dire, je vous laisse le plaisir de la découverte... Plongez tête la première dans ce récit porté par un souffle incroyable tout du long sans aucun temps mort, si ce ne sont quelques moments contemplatifs qui font encore plus apprécier la beauté du récit.

Encore une fois, Charles montre toute l'étendue de son talent de conteur et je souhaite bon vent à cette histoire, pure petite merveille, dont j'avais envie de reprendre la lecture à peine la dernière ligne lue.
Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          51
Charles Aubert est un auteur que j'ai découvert et apprécié avec sa trilogie autour du personnage de Niels Hogan, un ancien cadre qui décide de se retirer un peu du monde en s'installant dans une cabane au bord d'un étang proche de Montpellier et qui ne cesse de tomber sur des meurtres à résoudre…

J'avais pu apprécier la plume de Charles Aubert avec ces trois romans, son sens de la narration, sa poésie et la caractérisation de ses personnages.

Pour autant, j'ai longtemps hésité à lire « Tala Yuna » ou « Danser encore » deux romans dits « One Shot », d'abord parce que je voulais poursuivre l'aventure en compagnie de Niels Hogan (mais je ne sais pas s'il y aura un nouvel opus de la série) et, surtout, parce que ces deux romans ne s'inscrivent pas dans le seul genre que j'apprécie : le roman policier.

Mais, j'ai fini par me laisser tenter par « Tala Yuna » afin de découvrir la plume de Charles Aubert dans un autre genre plus dirigé vers le récit d'aventures…

Jonas est un auteur qui écrit des biographies de gens plus ou moins célèbres, mais qui n'a plus la « niaque » et qui, après avoir été quitté par sa femme, espère se retrouver en rencontrant son père qu'il n'a jamais connu, car parti deux jours avant sa naissance…

Le seul indice qu'il possède est que son père désirait se retirer dans un groupement de petites îles. Mais celles-ci sont très nombreuses et, pour l'aider, il embauche Sam, un marin possédant son propre bateau et son frère, un peu simplet. Mais l'aventure, après la rencontre d'une étrange Indienne, va vite tourner au cauchemar…

Que dire de ce roman ?

Bon, déjà, on y retrouve toutes les qualités de la plume de Charles Aubert.

L'auteur, effectivement, confirme qu'il a le sens de la narration, qu'il sait raconter des histoires, qu'il est touché par ses personnages, qu'il a le sens de la poésie et qu'il est passionné par le milieu de la mer…

Malheureusement, on ne peut pas dire que ni les personnages ni l'intrigue ne soient réellement originaux.

Effectivement, autant la quête du père que celle de soi même, la détresse d'un auteur en mal d'inspiration et de reconnaissance, la découverte d'un Nouveau Monde, d'une nouvelle manière de penser, la reconnexion avec la nature, que ce qui fera basculer l'histoire… sont des passages déjà vus, déjà entendus, déjà lus…

Mais... le talent d'écrivain de Charles Aubert, la qualité de sa plume permettent de maintenir l'intérêt d'un lecteur tel que moi qui ne voit qu'à travers le genre policier et à le conduire sans déplaisir aucun jusqu'au point final même si les surprises sont rares car les révélations sont attendues, sauf une, qui résonne un peu comme une grossière coïncidence peu crédible, mais bon, on n'en voudra pas à l'auteur.

Au final, un roman d'aventures, de double quête personnelle, de retour à la nature qui, à défaut d'être exaltant et surprenant se révèle prenant et plaisant (ce qui n'est pas, chez moi, un terme péjoratif ou méprisant) grâce au talent de l'auteur.
Commenter  J’apprécie          40
Couverture magnifique et qui colle parfaitement au roman, titre énigmatique, je me sens immédiatement aimantée, attirée, intriguée par ce roman de Charles Aubert, auteur que je découvre.
On embarque avec Jonas, le narrateur, un écrivain spécialisé dans les biographies de personnalités célèbres. Sa femme l'a quitté, il est en plein doute existentiel et à la recherche d'un père qu'il n'a jamais connu.
Au premier abord, Jonas n'est ni très sympathique, ni très dégourdi : constamment maladroit dans ses propos comme dans ses gestes, il n'est pas à sa place, toujours dépassé, presque agaçant.
Le lieu n'est pas vraiment précisé, la mer, des îles, innombrables qui ont des noms de couleurs, mille et une îles (Ontario?) . Une contrée un peu perdue où la nature est omniprésente, magnifique, aussi belle qu'impitoyable pour l'homme de la ville.
On devine que l'auteur a mis beaucoup de lui-même dans ce récit, un récit qui est multiple: quête initiatique et spirituelle, thriller, nature-writing, aventure, tragédie, il y a un peu de tout ça dans Tala Yuna, mais également un hommage à la littérature et même une histoire d'amour.
Dès le début, une tempête est annoncée, et le texte monte en puissance, gradué selon l'échelle de Beaufort. Jonas prend la mer avec deux hommes du coin, deux personnages étranges, deux demi-frères : Sam et Ringo. Un sentiment de mystère plane en permanence, on ne sait pas tout de ces deux-là
Un homme un peu sauvage a été aperçu. Serait-il ce père tant recherché?
Où l'auteur va-t-il nous mener?
J'ai embarqué en leur compagnie et me suis laissée portée, transportée par une plume immersive et poétique.
Dans cet univers très masculin, une femme, une indienne "farouche, solitaire, inattendue", va entrer dans la danse. Un très beau personnage.
Au fur et à mesure que la tempête se rapproche, la tension monte, graduellement, en mer, sur l'île et entre les protagonistes et l'auteur nous offre un final, haletant, digne d'une tragédie grecque impossible à lâcher et dont vous ne sortirez pas indemne.
Une histoire qui oscille entre enfer et paradis, douceur et violence, qui interroge sur la place de l'homme dans la nature, un roman qui a du souffle et travers lequel, Charles Aubert vous conduit dans les pas des grands écrivains (Harrison, Hemingway, London...) car il est aussi beaucoup question de littérature.
C'est très réussi. Lisez Tala Yuna. Et comme Jonas, il se peut que vous en sortiez plus riche et transformé.


Commenter  J’apprécie          42

Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Vous savez, Jonas, chaque fois qu'on défait un noeud de son histoire, on empoche un gain. Peut-être que pour l'instant vous ne voyez pas encore ce que c'est. Mais je suis certaine qu'un jour vous comprendrez.

éditions Slatkine & Cie, page 244
Commenter  J’apprécie          50
J'ignorais depuis quand j'étais sur cette île. Je n'étais même pas certain de savoir comment tout avait commencé. J'étais sale, hirsute. Je devais ressembler à un animal sauvage. Je ne parlais pas. Je ne pensais à rien. Ou uniquement à des choses très simples, chercher de l'eau, trouver à manger, se protéger du froid. Un matin, il s'était mis à neiger et le monde entier était devenu vide et blanc, comme figé sous une cloche de verre.

Au fond de moi, je ressentais le même blanc, le même vide, avec le souvenir hésitant d'une lumière ancienne. Peut-être descendait-elle du plafond du lodge et des trous que la tempête avait faits en emportant des morceaux de toiture. Ou bien, était-ce simplement ces milliers de reflets qui dansaient à la surface de la mer.

Sur la plage, il m'arrivait encore de chercher la trace de la lumière perdue, parmi les algues, les coquillages et les bois flottés. Mais je ne trouvais jamais rien. Je remontais alors par le sentier taillé dans la falaise. Je marchais dans la neige. J'allais d'un côté puis de l'autre. Je tournais en rond autour du lodge. Je m'enfonçais dans le blanc jusqu'à m'y perdre. Un jour, je suis tombé sur des empreintes de cerf. Je les ai suivies et tout m'est revenu en mémoire.
C'était sur le continent, il n'y a pas si longtemps. Il n'y avait pas de neige, il n'y avait pas de brouillard. L'air était immobile, la mer comme un miroir...
Commenter  J’apprécie          00
Il ne faut rien forcer. Juste accueillir. C'est une ouverture du cœur, un désir de rencontre. Il faut être dans une attitude de grande humilité face au vivant. Honorer et remercier tous les éléments, la terre, l'eau, le feu, l'air. Honorer et remercier tous les règnes, le minéral, le végétal et l'animal. Honorer et remercier tous les astres, le soleil, la lune et les étoiles.
Commenter  J’apprécie          20
Comme toujours je me perdais dans mes rêves.
Comme toujours, j'essayais de rattraper le temps.
Comme toujours, je m'épuisais à courir après le vent.
Commenter  J’apprécie          20
Quand les glaces auront fondu et que les océans recouvriront les forêts, lorsque le soleil aura brûlé la terre et que les hommes ne seront plus que poussière, les pierres seront toujours là. À veiller sur le silence et sur ce qui restera du monde. Il n'y a que deux choses qui existent : l'instant et l'éternité. Et nous ne sommes pas des pierres. Notre vie se joue dans l'instant. Il n'y a rien à attendre. Il faut simplement vivre.
Commenter  J’apprécie          00

Videos de Charles Aubert (14) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Charles Aubert
- Danser encore, de Charles Aubert aux Editions Istya & Cie. "Une pure merveille par un auteur qui écrit merveilleusement bien !" - Gérard Collard. L'histoire du boxeur tsigane qui osa défier Hitler. Ce roman en dix rounds s'inspire de la vie de Johann Trollmann, dit " Rukeli ", boxeur tsigane qui vécut en Allemagne sous les nazis et fut assassiné le 9 février 1943 dans le camp de concentration de Neuengamme. À retrouver sur lagriffenoire.com https://lagriffenoire.com/danser-encore-2.html
Recevez votre actualité littéraire (façon La Griffe Noire) en vous abonnant à notre newsletter hebdomadaire : https://www.lactudulivre.fr/newsletter/
Belles lectures !
+ Lire la suite
autres livres classés : quête personnelleVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (153) Voir plus



Quiz Voir plus

A l'abordage : la mer et la littérature

Qui est l'auteur du célèbre roman "Le vieil homme et la mer" ?

William Faulkner
John Irving
Ernest Hemingway
John Steinbeck

10 questions
507 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , mer , océansCréer un quiz sur ce livre

{* *}