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Citations de Olivier Bal (367)


Je trouve que nos corps en disent parfois beaucoup plus sur nous que nos paroles.
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On se convainc comme on peut qu'on n'a pas foiré sa vie, qu'on a encore le contrôle. En plissant bien les yeux, on parvient même à y croire.
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La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu’il n’existe pas. - Charles Baudelaire
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Je l'ai compris aujourd'hui : les seules prisons qui nous retiennent sont celles que l'on se fabrique.
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Les choses les plus évidentes sont aussi souvent les plus belles. Parce qu'on les oublie un peu vite.
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Le jour finit toujours par se lever. La pire des nuits aura irrémédiablement un terme. Il y a toujours une lueur, aussi infime soit-elle. Et il faut s'y accrocher. La poursuivre, coûte que coûte, malgré la douleur, la peine, les regrets, les mensonges et toutes les ténèbres qui nous dansent autour.
Il y a toujours une chance. Quelque chose à faire. Il suffit de tendre la main, enfin. Faire face. Ne plus fermer les yeux.
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Les lieux changent (…) selon les époques où on les visite. On les voit différemment, parce qu'ils ne sont que les reflets de ce que nous sommes.
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Quand j'étais jeune, je demandais souvent à mon oncle ce que ça voulait dire, être corse. Il me répétait une phrase, soi-disant un dicton. Je suis certain qu'en fait, il l'avait inventé pour Ange et moi. Ça disait : « Quand les montagnes auront résonné de tes rires, la terre aura bu ton sang, la mer noyé tes larmes, alors, seulement, tu pourras dire que tu es corse... »
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Mais dans le cadre de mes enquêtes , l'aura d'indifférence que je génère m'est souvent utile .En étant personne, on peut devenir tout le monde .
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Malgré son évolution, l’homme reste un prédateur. Insatiable, avide et vorace. Il ne chasse plus désormais, mais continue à vouloir conquérir, dominer, maîtriser, dévorer tout ce qui l’entoure. Par la force, par les armes, par les idées, la politique et la science.
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Après un long sommeil, il faut toujours un peu de temps, quelques minutes, avant de revenir à la réalité. On flotte dans cet entre-deux, pas certain que le monde dans lequel on s'éveille soit le vrai, pas assuré non plus que celui que l'on vient de quitter n'était qu'une chimère. Parfois, on rêverait de replonger, d'y retourner pour toucher du bout du doigt encore, encore un peu, ce fantasme hypnotisant.
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Chaque œil est une œuvre unique, la pupille, l'iris, leurs différentes teintes et couleurs, les reflets de la cornée. Les yeux sont, selon moi, certainement ce qui identifie le mieux un homme. Ils sont un puits vers son âme.
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Je m'en rends compte maintenant, les seuls moments qui comptent sont ceux passés avec les gens qu'on aime. Nous ne sommes rien d'autre que le somme de nos souvenirs.
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C’est partout le même refrain, à travers tout le pays. On préfère s’imaginer un passé glorieux peuplé d’intrépides aventuriers, où tout est conquête, plutôt que d’accepter la triste vérité . Car nos aïeuls n’avaient pas la tronche de John Wayne , ils ressemblaient à des assassins génocidaires....Notre belle nation s’est construite sur les cadavres de millions d’innocents.
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Curagiosu hè, quellu chì hè dispiratu... Est courageux celui qui est désespéré.
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Plus je fraie avec les proches des victimes , moins je parviens à rester étanche à leur tristesse. C'est comme si elle suintait , qu'elle me pénétrait lentement.
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Avec Amy, on erre d'une salle à l'autre. Tout ici nous ramène au décès de [ ..]. Sa place vide à la cantine, les comics qu'il a laissés entrouverts sur l'accoudoir d'un canapé dans la salle de repos. Tout ici, en réalité, dénote son absence. C'est horrible de réaliser à quel point tout, quand une vie est prise, tout de cette personne reste en suspens, comme une phrase qu'on ne terminerait jamais.
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Nous allons tenir parce que c'est ce que fait l'homme, ce qu'il a toujours fait. Survivre...
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T’es un putain de monstre.
–Oui… Nous le sommes tous.
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Elle sait que ça ne dure jamais, le bonheur. On vous le tend comme un appât pour vous l'arracher aussi vite. Ça coûte trop cher ? Ça fait trop mal, après.
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