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Je suis en vie, mais suis-je vivant ? J’ai laissé tant de choses au Bataclan…
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(suite de la citation précédente p.284).



Sma poussa un soupir. (...) " Qui le sait, Zakalwe? Nous ne savons pas cela; nous pensons avoir raison; nous pensons même pouvoir le prouver, mais nous ne pouvons jamais être certains; il y a toujours des arguments contre nous. Il n'y a pas de certitudes; dans les Circonstances Spéciales moins qu'ailleurs, les règles y sont différentes."

"Je croyais qu'elles étaient les mêmes pour tout le monde."

"Elles le sont. Mais en CS nous nous trouvons dans l'équivalent éthique d'un trou noir, où les lois normales, les lois morales que les gens croient être d'application partout ailleurs, implosent; au -delà des ces horizons métaphysiques il y... des circonstances spéciales. "Elle sourit. "Ca, c'est nous, c'est notre territoire, notre domaine."

"Certains prendraient ca comme une bonne excuse pour un mauvais comportement" dit-il.

Sma haussa les épaules. "Et ils auraient peut-être raison. Peut-être que ce n'est que ca. " (...) "Mais si c'était le cas, cela démontrerait qu'au moins nous avons besoin d'excuses. Pense à combien s'en passent très bien."



(pp.284-285)
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3 gifles de réalisme que distribue l’auteur

Il y a des mères qui parlent le langage de l’amour et du dévouement le plus total, qui multiplient les avances au niveau du discours mais qui, chaque fois que leurs enfants répondent à ces avances,, font preuve, inconsciemment, d’un comportement qui les repousse ; elles se montrent d’une froideur extrême, peut-être parce que cet enfant leur rappelle un homme, son père, qui les a abandonnées (…) L’enfant exposé en permanence à ce jeu contradictoire, à cette alternance de chaud et de froid, perd toute confiance à l’égard du langage (René Girard dans Des choses cachées depuis la fondation du monde, 1978)

Le rôle objectif de la jeune fille en période de décroissance est de divertir par le « fun », enfumer tout le monde sur des problèmes sociétaux, puis culpabiliser et déprimer certaines catégories de la population, pour les préparer à être liquidées

La virilité et la féminité ont un côté obscur : un être civilisé le réprouve, tandis qu’un barbare le libère. C’est l’explication du titre L’homme tue et la femme rend fou

Le côté obscur de H est le besoin de tuer ; conjugué à sa boussole morale (voir plus haut), il doit à cet instinct de vouer une antipathie sincère à l’incarnation du mal (le Diable) et, faute de pouvoir le combattre dans le réel, lui cherche un incarnation à honnir, pourchasser et massacrer (tueurs en série, génocides collectifs, conflits armés, etc.)

Le côté obscur de F, c’est de se prostituer ; en quête du client sublimé de la courtisane pure, F éprouve de l’admiration pour le Diable (dont l’incarnation approchante sera le bad boy, l’escroc ou encore le bagnard de longue peine, qui s’avèrent souvent être une seule et même personne). Admiration rapidement mue en attirance irrépressible pour le Diable qui finira invariablement par l’enfumer et l’engrosser. Ou vice et versa.
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Retour au lit. La douceur de la couette, le refuge, physique et moral. Dormir pour ne pas penser. Ne pas voir ce film qui revient, qui passe en boucle. Les corps qui tombent, le sang par terre, les mains froides, la mort. Je suis passé à côté, elle m'a frôlé. Pas vu, pas pris. Pourquoi, comment ? Y a-t-il un sens ? Entre euphorie et détresse totale…
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Concepts de L’homme tue et la femme rend fou

Sur l’enfantement :

La fonction de la femme est d’enfanter un corps physique (car / or ou donc, ce n’est pas clair) elle n’est pas capable d’enfanter un corps social. Tout au plus, elle met à profit son empathie pour méditer sur le bien être des gens et les réputations,

Le corps social (et son corpus de règles morales pour le bien collectif) sont l’oeuvre de l’homme, dont le rôle immanent est de discerner les structures et les interactions des systèmes (interactions composées notamment de sacrifices & de renoncements)

Sur les rôles symboliques et pratiques de la femme et de l’homme dans le couple : ils sont alternativement & symboliquement jardin et mur d’enceinte

Sur le plan physique, c’est la femme le jardin et l’homme le mur d’enceinte

Sur le plan psychique, c’est l’inverse

Sur la libido (objectale vs narcissique)

l’homme convoite le jardin (métaphoriquement, le sexe de la femme) sans autre forme de médiation

la femme convoite le mur d’enceinte du jardin (métaphoriquement, les conditions objectives et subjectives pour tomber enceinte), mur qui n’est que la magnification du jardin

Sur l’autodestruction :

L’homme est une boussole morale, empêchant la femme de sacrifier le bien collectif à l’avantage unique des siens

La femme une boussole physique, retardant le recours systématique de H pur à la force brutale et l’éloignant de ses tendances à l’autodestruction larvée (toxicomanie et autres intoxications)

Sur la parentalité

Celui de la maternité est la tendresse

Le maître-mot de la paternité est la sagesse

Sur les autres différences hommes-femmes :

Prédisposé à faire régner la vérité et la justice, l’homme aspire à être écouté et obéi. Prédisposée à faire régner la paix et l’amour, la femme aspire à être regardée et fêtée

La femme (corps, émotions, songes) façonne plus spécifiquement l’inconscient de ses enfants et l’homme (parole, raison, loi) façonne plus spécifiquement leur conscience.
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L’éducation exige une prédominance successive d’abord de la mère (tendresse), ensuite du père (sagesse) dans la vie de l’enfant. Le père incarne le temps du nous, le temps de l’apprentissage des exigences de la vie en société, le temps du non à soi-même, le temps de la responsabilité, le temps du « c’est grave ». La mère incarne, quant à elle, le temps du je, le temps de l’enracinement de l’estime de soi, le temps du oui à soi-même, le temps de la permissivité, le temps du « ce n’est pas grave ». Un temps où l’enfant doit sentir que sa valeur est intrinsèque, que sa présence est une fête et qu’il dispose de vastes droits.
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Il y a l'humour noir goudron, mais il y a aussi les élans de solidarité qui nous entourent. Ces commerçants qui n'ont pas hésité à nous accueillir. Cet homme qui nous a réconfortés. Cette dame qui nous a ouvert sa porte, cette autre qui a distribué thé et chocolat. Putain, c'est beau l'humanité quand l'homme se décide à prendre l'autre en compte.
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« Si tu ne contrôles pas ta peur dès le début, mi cielo, alors c'est elle qui te contrôlera. Monte sur ton vélo, pédale et maitrise tes gestes. Et peu importe le nombre de chutes, je serai là pour t'aider à te relever. »
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Si l’homme est en quelque sorte le plafond de la femme au sens où il l’assiste de sa sagesse (justice et vérité) pour lui éviter de divaguer et pour la conduire à ne faire usage de sa destructivité psychique qu’au service des siens et du bien commun, la femme est en quelque sorte le plancher de l’homme au sens où elle l’assiste de sa tendresse (paix et amour) pour lui éviter de se haïr et pour le conduire à ne faire usage de sa destructivité physique qu’au service des siens et du bien commun.
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Tout cela s'est fait très rapidement, dans une sorte de confusion subtile.
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Le message subliminal de l’accoutrement provocant est, si je ne m’abuse, relativement clair : remarque-moi, reluque-moi, puis séduis-moi ~ si tu brilles ~, sinon va te faire foutre ! Or cette injonction permanente se termine en va te faire foutre pour presque tout le monde… ce qui est assez insultant et ne contribue pas à la sérénité des citoyens.
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[…] Quel est le plus tordu de nous deux ? Moi, qui t’obéis comme un couillon, ou toi qui sembles vouloir accumuler les complications.
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La France est intellectuellement séquestrée par une mère maquerelle (le féminisme), entourée de chiennes de garde.
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La femme étant la gloire de l’homme, il recherche son approbation.
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De temps en temps, à la place de ma meilleure amie, je vois une dinde comme les pouffes que j’aperçois en boîte, le samedi soir, le corps si moulé dans du lycra que même un bourrin décérébré comprend qu’il faut peloter…
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-Un vaste monde invisible, mais réel, s'ouvre a nos sens au-delà de la vue et du toucher. Un tissu d'interactions forme une trame subtile entre tous les êtres vivants. Communication et empathie prennent alors d'autres dimensions et nous pouvons entendre d'une façon inattendue l'exclamation de Victor Hugo :

" Tout parle. Et maintenant, homme, sais-tu pourquoi

Tout parle ? Ecoute bien. C'est que vents, ondes flammes

Arbres, roseaux, rochers,, tout vit! Tout est plein d'âmes.
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Philippe de Vulpillières
Groupie fanatique et trophée ronronnant des hiérarchies purement mondaines, consommatrice modèle, infantile, hédoniste, suiviste, amorale et solidement secondée par un diable (Mammon) ravi d'accroître son pouvoir au gré de l'extension du domaine de la pute, Salomé intrigue et tempête pour batifoler, les cuisses à l'air, dans un supermarché d'amants courtisans lui offrant la moitié de leurs royaumes.
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Philippe de Vulpillières
La télévision couleur inonda les foyers au cours des années 60, elle place l'humanité hypnotisée par le luxe de l'univers de James bonds: les plages, les yachts…



Nous voilà donc spirituellement comme je le disais dans mon premier livre les disciples de Mamon: le dieu argent et de Salomé que le collectif dans un ouvrage désormais mythique TIQUUN appelait LA JEUNE FILLE.



Avec une supériorité globale corps plus cerveau physique et psychique mais un autre élément intervient et transforme ce binôme cupidité/ luxure.



Alors que l'homme qui désire sexuellement une femme n'a besoin que de la voir, que de voir son corps joyau.



La femme pour désirer sexuellement un homme a besoin d'évaluer la luminosité de son cerveau bref d'entendre le son de sa voix et la teneur de son discours et la télévision place donc brutalement les femmes chez elle dans leur salon et leur chambre à coucher devant un immense catalogue de cadors en tout genre qu'elle voit mais surtout qu'elles entendent discourir, plaisanter et briller.



Cette nouveauté déclenche une explosion historique de la libido féminine dont Bertrand Blier se moquait dans le film Calmos sorti en 1976.



Alors que le patriarcat reposait sur l'intelligence de l'intérêt collectif car dans le cerveau joyaux masculin



On passe de la femme honorable à la p*** déshonorée à la télévision transforme les femmes en séductrice.



Extension du domaine de la p***

La TV transforme les femmes en séductrice bien décidée à envoyer valdinguer toutes les lois morales susceptibles de leur reprocher d'accéder au lit de James Bond si l'occasion se présente
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" Faut dire, continua à penser Juju, qu'elle a un pétard du tonnerre. Ça habille une bergère. "
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Pourquoi... suis-je tombée amoureuse de lui par le passé ? Comment ai-je pu ne pas voir les ténèbres danser autour de lui...

En réalité... je les ai vues. Et je n'ai pas fui. Quand j'ai découvert les ténèbres entourant Alhan...

J'ai décidé de danser avec elles.
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