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Étant passionné de mythologie, je me devais de lire Circé afin d'en apprendre plus sur les aventures de cette sorcière.

L'histoire m'a beaucoup plu. Le début nous plonge directement dans la vie de Circée et nous décrit cette enfant qui va grandir pour devenir la femme forte qu'elle a toujours voulu être.
Parfois un peu long, le récit nous plonge dans ses aventures qui vont se concentrer essentiellement sur son île une fois arrivé à la moitié du livre.
J'ai eu un peu de mal à continuer certains chapitres, que je trouvais un peu ennuyeux et sans grand intérêt. Mais l'apparition de nombreux personnages connus nous aide à continuer notre lecture, car ils ajoutent un peu d'action à certains moments de son histoire.
Plus le récit avance, plus nous avons envie de découvrir la fin de toutes ces péripéties qui lui sont arrivées !

Je conseille fortement à ceux qui veulent voyager et en apprendre plus sur la mythologie 😊

Acheté parce que c’est le connaisseur des vikings.
Et parce que j’avais besoin d’en savoir plus sur le quotidien d’une famille en l’an 900.
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J’ai commencé à écrire un roman en 2023… une idée très claire de l’histoire en tête. Mis de côté car je doute d’être une écrivaine.
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Ce livre parle autant d’histoire que des connaissances sur l’artisanat ou le droit des vikings. Ardu mais intéressant.
Il est difficile à trouver mais cela vaut la peine.

J’ai décidé de lire ce roman pour changer de mon style habituel: Feelgood.
Au début j’étais septique car j’avais peur que le roman ne soit trop long du fait qu’il est sur l’unique sujet d’un braquage. Le récit se déroule sur 2 jours, quasiment 24 heures.

Et j’ai étais surprise, car nous apprenons à connaître chaque histoire de vie des personnages, et nous sommes surpris d’apprendre de nouveaux éléments au fur et à mesure…

Je le recommande il se lit vite et l’histoire reste sympa.

Très beau livre qui m'en a appris plus sur la vie du cimetière du Père Lachaise - malgré quelques répétitions de chapitre en chapitre. Cependant, je ne me suis pas ennuyée et je le conseille à tous ceux qui ont envie d'en apprendre plus sur les métiers du funéraire. En tout cas, ce livre m'a donné envie de retourner faire un grand tour au Père Lachaise !

J'ai ouvert ce livre avec beaucoup d'appétit. Mais je suis resté sur ma faim. L'aspect romanesque est bien léger. C'est une sorte de "Martine au musée", un brin lassant. Heureusement, il reste les leçons de l'historien de l'art qui, elles, ont une vraie saveur.

Je découvre ce livre dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus, dont je suis un de jurés.
Lors des présélections, j'avais retenu l'extrait dans la catégorie " littérature blanche ", et je n'ai pas été déçue.
Le style est frais et plaisant. On est vite emporté avec
Léa dans sa recherche concernant son frère, absent pendant 6 ans et qui ne réapparaît que pour mourir, en laissant des tas de questions et de douleurs derrière lui.
Les personnages sont attachants, les faits parfois surprenants, l'histoire est bien menée.
Il y a de belles descriptions et une documentation pour
très beau voyage dans les sentiments humains ...et dans une mission à Madagascar.
Mais je ne veux pas spoiler !!!

J'ai vraiment passé de bons moments en compagnie de ces personnages.


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Mon bouquiniste, un authentique siphonné de la collection Gallmeister, m'a conseillé ce livre. La couverture m'a excité des yeux, ses deux femmes qui se baladent main dans la main dans la forêt, ça prend sec, l'expression de contentement vissée sur ma citrouille, oui, je me réjouis délicieusement car le trouble est jeté, va y avoir des évènements sublimes, ça va gouinasser sous les frondaisons. Les histoires de goudou, moi ça me plaît énormément, je mords dedans avec serviabilité. Vous aussi hein, avouez. Je superpose mes marottes extravagantes et me vautre dans le stupre lesbien.

Alors autant vous dire que j'ai vite fait la grimace, enfarinée dans mes espérances, quand j'ai compris qu'il s'agissait de deux sœurs ado. Car les récits d'ado, c'est sympathique mais l'indocilité vacharde face aux géniteurs quand ça fait pas le mur pour se murger et faire la ronde autour du feu, j'y vois pas d'inconvénient mais tu parles si ça me cueille.

Je me serais bien absentée la première moitié du livre. Je me suis laissée distancer par ce style pas mauvais mais plutôt adroit pour une jeunesse. Hegland a une certaine agilité à poser des mots sur l'exploration sexuelle d'une adolescente, de la découverte des papillons entre ses jambes. C'est chou, tout doux. Pas ma tasse de thé mais, bon, ça c'est une affaire de goût personnel, je suis plutôt lubrique, le stupre lesbien, on l'aura compris.

J'ai tout particulièrement calé sur le personnage d'Eli à la constitution très friable. Ses extérieurs de décontraction, du ténébreux insaisissable qui fait soufflette dans son harmonica m'ont couru sur le haricot.

Dès le départ, on sent le godelureau voûté dans sa crédibilité de perturbateur, la volonté de l'autrice se devine avec une aisance trop équivoque. Son égoïsme affiché le rend inconsistant, son engagement sonne creux, bref l'affaire semble invraisemblable. Si l'écrivaine pensait nous empapaouter avec cette idylle à la manque, fallait-il qu'elle prenne le lecteur pour une cloche. Même le plus naïf d'entre nous voit la chose venir.

Je souffle quand ce bouffon de service fout le camp, je me déride, mes régurgitations se stabilisent, inutile de les ravaler, et me voilà enfin réconfortée dans ma lecture comme par une gamelle de patates rissolées après un régime de soupe aux choux. Alors la saignée des deux sœurs redouble, elles trinquent hardos, kermesse rance où il s'agit de survivre dans une nature implacable. C'est rigoureusement déprimant, mes envies de futur béat sont curetées avec énergie mais j'agrée avec plaisir, ça me colmate mes envies d'aller prendre des bains et de tirer 3 fois la chasse quand je fais la grosse commission.

J'ai goûté avec une indolence pas désagréable le destin de Nell, cette baroudeuse pugnace qui se donne du souci pour sauver la baraque munie d'un attirail dérisoire et de connaissances limitées. En vérité, elle se saisit de son destin avec tant de mérite, doublant ses craintes et son découragement qu'elle m'a épinglée à ses basques, le compagnonnage sous les talons, pianotant dans mon cerveau de pas douée une certaine sympathie.

Elle m'a même mis un peu minable, la petite druidesse démerdarde, moi qui ne sais pas faire la différence entre un chou rave et un navet et dont l'objectif de vie est de se planquer sous la couette pour regarder un film navrant. Alors, ma foi, je chipote un peu par vengeance facile mais le bouquin se lit bien.

J'ai beaucoup aimé cette lecture ! Comme d'habitude la plume d'Emma Green est vraiment géniale et on est emportés dans l'histoire. Les personnages sont super attachants, j'ai beaucoup aimé cette famille un peu déjantée. Ce livre traite du harcèlement scolaire, qui est malheureusement beaucoup trop présent dans notre société. C'est un livre super touchants qui montre bien les dégâts que peut faire le harcèlement aux victimes. Malgré les sujets difficiles abordés, c'est une belle romance. J'ai passé un bon moment de lecture.

Axis est la fausse suite de Spin.

J'avais lu quelques critiques d'Axis, de sorte que je n'ai pas été surpris par le recit dont la teneur est asse éloigné du précédent ouvrage. C'est très audacieux cette construction complètement différente, ce rythme beaucoup plus rapide.

Difficile de faire une critique à vrai dire sans dévoiler de moment de l'intrigue. Je pense que c'est inutile d'ailleurs, que le lecteur sache simplement qu'Axis est une suite mais n'en ai pas une.

C'est un roman différent, une ambiance nostalgique aux airs de road movie post apo, une atmosphère pessimiste de fin du monde qui ne s'attache que très partiellement à lever un tout petit pan de voile des nombreux mystères de Spin. Je cherche d'ailleurs toujours la signification de Axis, si Spin était sacrément malin, Axis m'échappe.

C'est une bonne lecture, évitez juste la comparaison avec Spin. C'est une bonne lecture qui donne envie de lire Vortex !!

J’ai eu l’impression en lisant ce livre que l’histoire a été un peu bâclée , j’ai trouvé certains faits plus qu’invraisemblables alors que certains passages sont bien plus intéressants mais se terminent beaucoup trop vite . Lecture sympathique toutefois.

Le plus grand menu du monde est un régal à lire...sans mauvais jeu de mot. Je dois bien avouer que je suis client de ce type d'ouvrage, dont je me délecte. L'auteur réussi à nous apprendre des choses passionnantes en racontant avec beaucoup d'humour, et un brin de poésie, la vie, et les liens qui relient, souvent deux choses qui nous semblent pourtant si différentes.

En plongeant le regard dans notre assiette on peut y découvrir des histoires incroyables.

La version audio de ce livre, est lue par l'auteur lui-même, et il a bien-évidemment su donner l'intonation parfaite qui sied à son récit.

Au delà du coté passionnant de ce qu'on découvre, il y a une réflexion qui germe en nous, sur la biodiversité, et le lien que nous pouvons avoir avec la nature.

Merci à Audiolib et NetGalley, pour cette superbe découverte, je vais chercher à lire d'autres ouvrages dans cet esprit

#Leplusgrandmenudumonde #NetGalleyFrance

MAIS WTF QUOIIIIII ? Et on nous laisse la dessus comme ça ?

Le truc a mi-parcours de m’y attendais un peu vu la couv’
Le truc à la fin PAS DU TOUT ça m’a étonnée

Ce tome est bien rythmé ! Mais on en apprend aussi plus sur les personnages !
Qu’est-il arrivé à la famille de Gabe ?
Sacrée famille de tarés chez Atlas… c’est vraiment pas mon préf lui d’ailleurs !
North et Gryphon les chouchous !

Et on a plein de questions en suspend aussi pour Nox !

Gentlemen London's Club est une lecture originale, addictive et prenante. Dès les premières pages, j’ai été captivé par l’univers de ce livre. J’ai adoré découvrir l’univers et l’ambiance de ce roman.On va découvrir l’histoire de Hugh et d’Alistair.Les protagonistes sont attachants ainsi que leurs amis. Ils m’ont fait rire. J’ai adoré voir Hugh et Alistair évoluer au fil de la lecture. Ils sont touchants, intéressants et complexes.Leur relation est intense et belle. J’ai apprécié le personnage de Hugh, il m’a beaucoup intrigué et sa bande d’amis est attachante.La psychologie des personnages est bien développée.Une romance pétillante, pleine d’humour, on ne s’ennuie pas.J’aime beaucoup les livres de Marie H.J . J’avais hâte de lire un nouveau livre d’elle, c’est une valeur sûre pour moi. J’ai lu en moins de 24 h ce livre une fois, ma lecture commençait, j’ai du mal à lâcher le livre, c’est vraiment une belle découverte.Ce livre se lit très rapidement, je n’ai pas vu le temps passé pendant ma lecture. L’histoire est très bien développée, on ne s’ennuie pas.J’ai passé un très bon moment en lisant ce livre.C’est une belle histoire, vivement le tome 2.Je recommande absolument de découvrir cette romance.

Malgré de merveilleuses découvertes passées, il y avait quelques temps qu’une parution de cette collection n’avait pas autant attisé ma curiosité. Entre sa sombre couverture et son mystérieux résumé, j’avais hâte de plonger dans ce dernier et je ressors plus qu’enchanter de mon exploration au sein de l’univers de Johanna van Veen.

En quelques centaines de pages à peine, c’est un voyage aussi bien ésotérique que psychologique mais également gothique qui m’a été offert et je me suis régalé et repu de son ambiance psychédélique et fantasmagorique des plus saisissante et captivante. Entre folie et fantasme, je ne savais plus où donner de la tête et suivre le difficile mais percutant parcours de Rose n’a pas été de tout repos. J’ai vécu et traversé de vives émotions devant tant de cruauté mais également d’amour et de tendresse. C’est un douloureux mais si fièrement rendu contraste entre la réalité que subit notre jeune et fétiche héroïne et les remparts que celle-ci a été obligé d’établir par la force des choses afin de survivre à sa geôlière. Des remparts rendus vivants à travers son alter ego ou son familier, c’est selon, Ruth. J’ai adoré l’étroit lien entre la femme et l’esprit, d’une si exquise finesse que l’une ne peut vivre sans l’autre.

Un lien que peu de personnes possèdent et cela était sans compter sur la venue d’Agnes lors d’une session de spiritisme – véritable hommage à celles réalisées à l’époque – qui ouvrira les portes du royaume à Rose, afin d’échapper à sa violente gardienne, Mama. Un royaume qui se révèle nul autre que le monde qui l’entoure avec ses joies mais surtout ses peines tant Les Possédées se veut des plus mélancolique qui soit. La place de l’amour et du romantisme est des plus prononcée et côtoie également celle de la mort et du deuil et j’ai trouvé le résultat des plus atypique mais exaltant. À la fois ode à la vie et à la mort, c’est une singulière expérience de lecture que j’ai réalisé. Grace à sa plume des plus lyrique par moments et cartésienne par d’autres, Johanna van Veen m’a emporté au plus profond de l’âme de son héroïne et seule les entretiens médicaux m’ont permis de garder les pieds sur terre afin de ne pas sombrer pleinement à mon tour dans la folie habitant ce puissant et poignant récit où les voix féminines se révèlent aussi sensuelles que délicates dans lequel la rédemption fait office de fil conducteur.

Ainsi, la folie et les fantasmes s’entrelacent tandis que l’amour flirt avec la mort dans ce séduisant, captivant et singulier récit alliant pathologie mentales et ésotérisme avec finesse et nuance. Les deux semblent former qu’une seule et même entité, résidente et part entière de Rose, cette frêle héroïne dont j’ai adoré la sensibilité et la complexité.
Lien : https://mavenlitterae.wordpr..

♫On cherche tous l'Eldorado
Un port tranquille, un corps de femme
Un morceau d'île posé sur l'eau
Pour s'abriter du bruit des larmes
Je chercherai le temps qu'il faut
Je trouverai, oui, l'Eldorado
J'aurai l'amour, j'aurai mon lot♫
-Johnny Hallyday- 1998 -
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Qu'est-ce qui nous dépasse ?
Qu'est-ce qui nous lasse ?
Qu'est-ce qui est beau ?
Tobias Schalken veut s'en faire le Héraut
Des sirènes nous brouillent les ondes
Chaque seconde se rejoue en écho
Se miroiter dans tous ses tableaux
C'est mouvoir dans ses innombrables mondes...

Nos rives partagées de Zabus et Nicoby
Dargaud

Coup de cœur pour ce roman graphique empreint de douceur.
Ils sont à peine une poignée, six exactement, trois hommes et autant de femmes, ils se croisent, s’observent, parfois établissent du lien, nourrissent une amitié naissante, donnent ou rendent un service, comme ça en passant. C’est la vie comme elle vient, avec ses joies et ses sales coups.
Si j’osais, je dirais que ce sont des fragments de vie de l’ultra moderne solitude. Simon est professeur et ne parvient plus à corriger ses copies, elles lui sortent par les yeux, c’est un peu l’arbre qui cache la forêt, Simon est au bout du rouleau. Diane se remet d’un cancer du sein, une reconstruction physique mais aussi morale. Nicole donne son temps dans l’humanitaire, une façon d’oublier que sa fille ne veut plus lui parler. Pierre c’est la maladie qui gouverne sa vie, au point que la vie ne l’intéresse plus. Jill et Hugo sont les ados de ce roman graphique choral, et c’est la sexualité qui prend beaucoup de place dans leur vie et surtout dans leur tête.
Les uns et les autres vont finir par vivre ensemble, s’entraider, se dévoiler et briser les murailles invisibles qui limitent nos vies...
Mais à Dave Rivage, petite bourgade les pieds dans l’eau, les hommes ne sont pas seuls autour du plan d’eau. Absorbés par leurs tracas, ils n’ont pas remarqué qu’un microcosme animalier les observe, les hommes font l’objet d’un véritable terrain d’étude. Par leur pragmatisme, leur simplicité et leur logique, les animaux apportent une vision éclairée de ce que nous sommes.
A Dave rivage finalement on vit en symbiose. Fable animalière, roman choral, ce roman singulier tout en finesse et en subtilité nous plonge au cœur de la vie.

Les versets que j'ai repris en citations ressemblent à s'y méprendre aux Proverbes de Salomon, ou aux aphorismes de l'Ecclésiaste (Vanité, tout est vanité et poursuite du vent.)

Le monothéisme judéo-chrétien fait de Dieu la source de toute sagesse, de toute science et de tout bien. Dieu est la Voie et cette Voix qui permettent l'élévation de l'homme dans le respect de lui-même et l'amour de l'autre.

L'Eveillé, de son côté, n'a eu de cesse de favoriser ce respect et cet amour, pourtant il n'a pas connu le Dieu des judéo-chrétiens. Tout cela m'est toujours apparu mystérieux, cette parenté entre deux spiritualités pourtant si étrangères l'une à l'autre.

Une autre étrangeté, qui me fait parler d'intuition du Bouddhisme quand il déclare que tout n'est qu'illusion et qu'il faut, pour atteindre le Nirvana, s'être détaché de tout y compris de soi-même. Car tout n'est que vide, néant, comme Démocrite qui affirmait, ce que la science moderne confirme, que la matière est constituée de particules très petites, des atomes qui évoluent dans le vide !

Il faut donc renoncer à ce monde et à soi-même pour suivre le Christ, et réaliser la même chose pour parvenir à l'Eveil. Il faut aussi reconnaître que notre réalité n'est qu'illusion et vacuité puisque sa "substance" ultime (pardon pour cet oxymore) est le vide, d'après la physique des particules.

Et pourtant, je suis, j'existe, et je suis conscient de ma propre réalité. Comme les bodhisattvas. Comment concilier ce fait avec l'idée que rien n'est réel, pas même la nourriture que j'absorbe pour ma conservation ?

Je m'interroge ainsi sur ces intuitions du Bouddhisme quant à l'irréalité de la réalité et ses apories existentielles au regard de cette même réalité...

Pat

J’avoue que je me suis un peu ennuyée à la lecture de ce tome. On fait pas mal de sur place, ce tome étant davantage centré sur l’organisation du mariage de Ren et de Nana Ôsaki et son annonce à la presse. Par contre, j’avoue que cela fait du bien d’avoir une Nana Komatsu plus calme et posée. Cependant, je suis toujours autant agacée du rôle de femme au foyer qui est désormais le sien. Elle passe sa vie à attendre Takumi et j’avoue que j’aurais espéré autre chose pour elle.

J’ai quand même apprécié ses retrouvailles avec les membres de Blast lors des feux d’artifice, comme si le temps s’était arrêté. J’ai juste trouvé dommage qu’ils n’aient pas pu s’expliquer avec Nobuo. J’attends cela avec impatience…

Parlons aussi de ce bon dans le futur où on a pu voir un groupe toujours aussi soudé, une Nana Komatsu très attentionnée envers Nobuo. Et aussi une petite fille aux cheveux noirs. Cela laisse donc présager ce que je pensais même le mystère plane : Nana est-elle toujours avec Takumi ?

Enfin, nous faisons enfin la connaissance de la mère de Nana Ôsaki. Et cette Misato, qui est-elle ? En tout cas elle est très fan de Blast. Serait-ce la même personne que la mystérieuse Misato Uehara ? La fan de la première heure de Blast ? Mystère… La seule chose que je remarque c’est qu’elle a des traits de ressemblance avec Nana Ôsaki.

Une nouvelle fois, un combat se termine pour les Sailor mais cette fois, la victoire a un prix.
L’histoire se poursuit assez logiquement et comme malheureusement, le principe de relancer directement le récit avec un nouveau méchant qui personnellement me lasse un peu niveau coupure de tome.
Les personnages évoluent plus dans leurs sentiments, surtout Chibi Moon mais sinon dans l’ensemble tout reste assez identique au tome précédent. Sailor Saturne fait enfin son apparition mais c’était assez attendu surtout que ce tome se concentre pas mal sur elle pendant un moment.
Niveau dessin et encrage, là encore, aucun changement en vue. Les scènes sont toujours réalisées avec soin, les actions semblent un rien plus vivantes sans pour autant partir dans un style trop shonen.
J’espère un peu de changement dans le tome 9 car même si il s’agit d’une de mes licences préférées, je lui trouve quelques défauts de schéma répétitif.

J'ai adoré le premier opus, c'est donc impatiente que j’ai commencé ce second tome…
Et la magie a de nouveau opéré !! Je me suis une nouvelle fois régalée !!
C’est un tome de révélations. Il a répondu à pas mal de questions que je me posais et m’a entraînée dans la spirale d’une suite infernale !!
L’auteure n’a pas son pareil pour captiver le lecteur !
Le rythme est haletant et les touches d’humour présentes malgré tout renforcent l’addiction à ce roman.
Saul tient une place prépondérante dans ce tome, on le retrouve énormément meurtri et j’ai aimé suivre son évolution c’est un personnage attachant.
Mais la traque continue et de vilains secrets que certains auraient aimé garder enfouis vont ressurgir et encore une fois semer le chaos.
L’autrice a le don pour plonger le lecteur en totale immersion et on attend qu’une chose : foncer découvrir la suite !!!