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Bon. Je n’ai pas eu le coup de cœur escompté. J’ai beaucoup aimé cette lecture mais je reste légèrement sur ma faim. Je n’ai pas spécialement aime le style d’écriture, je trouve que ça manque parfois de fluidité,
Mais je ne peux pas m’arrêter à ça car la grande force de ce livre est ailleurs. L’autrice nous offre un monde. Et pour le novice en littérature fantastique que je suis, ça a marché. Je me suis surpris à imaginer les enjeux et développements futurs. Le narrateur est attachant, le monde dans lequel il évolue est foisonnant. Les pirates rouges et leur magie, les manœuvres politiques, l’art, … Que de promesses !
Donc, tant pis pour les quelques réticences, je serai au rendez-vous du deuxième tome qui j’en suis sûr me surprendra !

J'ai fini par abandonner la lecture de ce roman. Et pourtant j'avais envie d'arriver à la fin. Mais à chaque fois que je recommence ma lecture, je fais un blocage.

Cela avait bien commencé. L'auteur a vraiment su distiller ses rappels de la saga d'Eragon. Je n'avais plus en tête l'histoire et cela m'a suffi pour m'y retrouver.
En revanche, j'ai peu apprécié la première série d'épreuves, imposée par le chat garou. Rien qu'en lisant les épreuves à tiroir que Murtagh devait accomplir en moins de 24 heures, je fatiguais. Et effectivement, j'ai fini par sauter un petit paquet de pages pour aboutir au dénouement. Pour plonger illico dans une nouvelle aventure...
C'est étrange, le rythme est dense et pourtant je m'y ennuie, je me perds, je n'arrive pas à visualiser.

J'ai apprécié le voyage vers le nord malgré la tendance à l'auto-apitoyement de Murtagh. Puis nous sommes arrivés dans le village de la sorcière et les réjouissances ont commencé. J'ai abandonné, fatiguée de cette façon de tourner en rond.

Nous sommes au milieu des années 1990, l'union soviétique a explosé et l'Ukraine est devenue indépendante. Du coup, ça ne ne passe pas vraiment bien et le pays est voué à la corruption, le meurtre, les attentats, la corruption. V. Zolotarev, écrivaillon au chômage se voit proposer un travail par un journal : Ecrire les nécrologies de personnalités encore vivantes, ce qu'il appelle ses "petites croix". Il va bientôt comprendre que ces "petites croix", issues du monde politique, industriel, VIP très en vues, toutes coupables de malversations, détournements d'argent, affiliées au grand banditisme, décèdent rapidement, victimes de règlements de compte violents. Il se trouve, sans vraiment l'avoir voulu et dans l'impossibilité de s'en sortir au sein d'une opération de nettoyage de la société ukrainienne. Des justiciers exécutent le travail que l'état corrompu ne fait pas. Bien entendu, cette machinerie va se retourner contre lui. Pourquoi ce titre, "Le Pingouin" ? Parce que l'état ukrainien désargenté va proposer à ses citoyens d'adopter des petits animaux que les zoos ne peuvent plus nourrir. Zolotarev va récupérer un pingouin et ce mammifère plutôt placide va un jour lui sauver la vie. Partant de situations assez surréalistes de son pays en déliquescence, l'auteur parvient à construire une histoire qui nous laisse aux limites de l'absurde et nous tient en haleine, tout en peignant le portrait d'un pays au bord du gouffre. Déconcertant.

Au départ Je trouvais la revisite de ces histoires original c'est ce qui m'a tenté mais on est vite déçu, les personnages sont tous clichés a commençé par Jacques ses cheveux longs attachés en catogan avec une moustache huilée et un blouson en cuir,les scenes de sexe ne servent à rien à part faire plaisir à l'auteur,le livre est mal écrit j'ai eu du mal avec certaines tournures de phrases,j'avais aussi la reine des neiges je ne vais même pas le lire

Un roman qui me paraissait prometteur ! Un thriller autour de chasse au trésor ? Génial ! Et en fait non. La première partie m’a bien accroché avec ces indices ces recherches pour trouver l’entrée du jeu secret j’ai trouvé super. Et puis la suite n’étais que fouillis, certaines choses n’avaient pas de sens. Lorsqu’ils sont à l’hôpital psychiatrique et qu’il est l’heure de réaliser les objectifs rien n’est détaillé, on ne connaît pas les objectifs des autres. On suit Ilan dans ses 2 premiers objectifs et encore j’ai trouvé ces objectifs complètement nuls. J’ai trouvé que le jeu « paranoïa » en lui même était trop mal organisé. Mais bon si on part du principe que c’est le cerveau comateux de Lucas qui a créé cette histoire alors dans ce cas là ça se tient. J’ai eu l’impression de revoir le film shutter islandDéçu par cette fin, ce dénouement (dénouement que j’ai deviné bien avant la fin et qui m’a coupé dans ma dynamique de lecture parce que je savais à quoi m’attendre…)

Une histoire révoltante!
J'ai adoré le déroulement de l'histoire, j avais décelé des incohérences qui ont pris tous les sens une fois la révélation passée .
Un thème hyper important aujourd'hui: immigration, passeurs, clandestinité, prise de risques...
On sent le géographe qui écrit!

Mais ce livre est une Dingerie UNE DINGERIE. Je suis désolé mais Morgane écrit les mecs de nos rêves IT NOT POSSIBLE j’ai trop envie de pleuré. Le livre étais vrm très prenant l’histoire de nolia est juste>>>> ( par contre ça mère est vrm détestables ) la fin j’ai huler mais Vrmm j’étais trop choqué. J’espère que l’été sera une Dingerie aussi.
(Désolé j’utilise beaucoup e mot DINGERIE😭)

Le fait à retenir est que pour la première fois, nous avons pu voir les seins de Bulma. J'ai fait une photo et l'ai mise en fond d'écran.

Voici un petit poème en l'honneur de ses précieux.

" Dans l'univers des sphères lointaines,
Sous les cieux de Dragon Ball,
Bulma, éclatante, souveraine,
Ses seins ronds, lourds, émoi total. "

John Gwynne aime créer des univers sombres, épiques, dans lequel nombre de personnages entrecroisent leur destin. C’est encore le cas dans cette nouvelle saga, dont j’ai pu lire le premier tome.

Dans l’ombre des Dieux, les êtres humains vivent dans un monde dévasté, celui que leur ont laissé les Dieux après une guerre sanglante. Là, ils doivent se défendre contre moult dangers, dont les vaesens, des monstres. Dans ce contexte, nous suivons essentiellement trois personnages :
• Orka d’abord. Une ancienne mercenaire, qui a raccroché les armes, et vit désormais avec son mari et son fils dans une ferme isolée. Mais le jour où ce dernier, Breca, disparaît, Orka va mener l’enquête… et devoir affronter son passé.
• En parallèle, nous découvrons Varg, un ancien esclave qui veut se venger des assassins de sa sœur, et dont la route va croiser celle de la Confrérie du sang, une compagnie de mercenaires un peu particulière… (et bien mystérieuse, je suis curieuse d’en apprendre plus sur eux !)
• Il y a aussi Elvar, qui a difficilement gravi les échelons d’une troupe de mercenaires, et a peur de devoir retourner affronter sa famille.

Comme toujours chez cet auteur, le décor se met lentement en place. Les personnages apparaissent peu à peu, on commence tout juste à les cerner. Tous ont une faille, un passé douloureux qui nous donne envie de poursuivre l’aventure en leur compagnie et de voir où tout cela peut bien les mener. Ce sont aussi des guerriers hors du commun. Rien de surprenant, puisque l’auteur s’inspire de la mythologie nordique pour bâtir cet univers qui m’intrigue tout particulièrement.

C’est donc avec intérêt que j’ai lu ce premier opus. On alterne entre description des personnages, mythes, rebondissements. C’est un premier tome prometteur, pour ceux qui comme moi aiment la fantasy épique, et les quêtes en apparence impossibles.

Niveau rythme, John Gwyne conserve cette habitude d’alterner de courts chapitres et de réguliers changements de vue. Il faut s’y habituer. C’est clairement ce qui me pose le plus de problème dans ses romans, on a, je trouv,e à peine le temps de se remémorer ce qu’il s’était passé précédemment qu’on rechange de personnage.

Mais à part cela, c’était sympathique (attention, pas drôle non plus ! C’est très sombre et sanglant...). Un peu dense, et encore bien mystérieux certes, mais il y a un potentiel important dans cette intrigue. Vivement la suite, que je voie comment tout cela évolue !

Un vrai plaisir de lecture que ce livre.
Je connaissais et appréciais l’auteur en temps que scénariste de bande dessinée, sensible, juste, et attiré par les Iles et les destinations lointaines.
Il nous livre là de très courtes nouvelles, souvent policières, et parviens à nous surprendre, nous amuser, par sa fantaisie et sa curiosité.
Bien sûr, tout n’est pas de même qualité, et on est plus ou moins sensible à l’une ou l’autre.
Mais cette légèreté est un bonheur de lecture, sans prétention certes, mais toujours renouvelé, chaque nouvelle donnant envie de connaître la suivante.

J'étais un peu sceptique sur la quatrième de couverture... au final, j'ai adoré. L'auteur a un style a lui, des chapitres assez courts qui en font un page Turner redoutable. J'ai aimé découvrir cette équipe avec, toujours érigé en chef de meute, un enquêteur au passé qui le hante.

J’avais vu passer cette nouveauté sur la page des éditions Gulf Stream et le pitch m’avait interpellée : un monde dans lequel on peut se rendre dans les rêves des autres, c’est original !

France, 2038. Éole et Naomi sont toutes deux onironautes : elles peuvent voyager dans les songes de patients endormis. Ce sont des précurseures, les premières à effectuer ce métier hors du commun : accompagner les mourants dans leurs derniers instants et tenter d’exaucer leurs derniers voeux. Ce sont aussi les meilleures dans leur domaine. Et justement, elles vont être recrutées pour une expérience ardue : enquêter dans l’inconscient d’un homme aux portes de la mort, sur une tragédie qui s’est produite seize ans auparavant…

***

Commençons par le commencement : c’est une lecture qui m’a passionnée : pour son originalité, pour ce mélange entre réalisme, science-fiction, et enquête. C’est un texte qui n’est pas facile à aborder, les thématiques sont douloureuses (deuil, violences sex.uelles, traumatismes), les passages dans les rêves sont parfois complexes, mais une fois commencé, je n’ai eu de cesse de pouvoir le continuer.

L’écriture de Tess Corsac est très imagée, très onirique. Rêve et réalité s’entremêlent parfois, comme pour mieux nous perdre. Les chapitres alternent révélations et introspection, développant en parallèle tout un questionnement éthique lié aux expérimentations scientifiques : quel rôle jouer, où s’arrêter.

Éole est une héroïne fragile. Dans cette aventure, elle va devoir lutter contre elle-même, et les démons de son passé. C’est d’ailleurs autour d’elle que va tourner une bonne partie de l’intrigue. Car Se perdre à l’orée des songes est aussi un récit initiatique, la quête d’identité d’une jeune femme en perdition, qui a besoin de se retrouver. C’est un personnage très intéressant, complexe. J’ai trouvé qu’on était très bien immergé dans sa psyché, au milieu de ses « démons » personnels. L’aspect psychologique est d’ailleurs très développé – ce qui n’est pas pour me déplaire, bien sûr !

Se perdre à l’orée des songes fut donc une très belle lecture ! L’une de celle qui vous font réfléchir au futur, tout en gardant cette magie poétique de l’imaginaire.

😶 Cet album aborde un sujet difficile, les abus sexuels et l'inceste. Il faut dire qu'on en trouve très peu dans la littérature jeunesse, voilà donc pourquoi je partage cette pépite avec vous aujourd'hui, car il est important et nécessaire d'en parler. Celui-ci peut permettre de mettre des mots, de comprendre ou d'aborder le sujet.

👑 À la manière d'un conte et avec des illustrations tout simplement magnifiques, celui-ci nous raconte l'histoire d'une petite princesse victime d'abus et des conséquences de tels actes. La mère refuse de voir la réalité et la princesse va se plonger dans le mutisme et s'enfuir dans la forêt.

😶 C'est alors que nous découvrons comment elle trouve la force de sortir du silence, de se reconstruire et d'avancer.
La fin de l'histoire présente chaque personnage et leurs rôles, ce qui peut aider à trouver les mots juste pour l'aborder avec ceux qui en aurait besoin.

Lien : https://www.instagram.com/le..

Un coup de cœur pour ce roman.
C'est un roman très simple à lire , la lecture est très fluide,
j'ai vraiment apprécié.
J'ai adoré l'histoire, les personnages et les lieux , on s'imagine très facilement .
Un vrai coup de cœur .
Je recommande vivement ce roman.

Zoom sur « Un lundi de Pentecôte » de Patricia Delahaie, publié chez Belfond Éditions.

L'autrice nous (re)plonge dans l'affaire Ranucci, une histoire que je ne connaissais pas personnellement. Le 3 juin 1974, Livia, qui joue avec son petit frère, est enlevée et emmenée par un homme en voiture. Malgré les recherches rapides, son corps sans vie sera découvert quelques jours plus tard. Loïc, 20 ans, est rapidement soupçonné, emprisonné et jugé.

Il est important de noter que nous ne sommes pas face à un véritable récit de True Crime. Bien que Patricia Delahaie se soit inspirée de cette affaire, le roman reste assez romancé. Cela n'enlève rien à la qualité du travail de recherche, qui est phénoménal, et montre que l'autrice maîtrise parfaitement son sujet.

Les personnages sont travaillés à la perfection. Qu'ils soient attachants, agaçants ou même détestables, aucun ne laisse indifférent. J'ai même ressenti des sentiments ambivalents pour certains d'entre eux, tant ils sont complexes.

Sans surprise, l'intrigue ne laisse pas insensible, surtout lorsque l'on sait que l'histoire s'inspire de faits réels. La plume de Patricia Delahaie est percutante et directe, ce qui rend le récit encore plus émouvant. Chaque page nous immerge un peu plus dans cette affaire tragique et permet de saisir toute la complexité d'une affaire criminelle.

En résumé, j'ai passé un très bon moment de lecture qui m'a permis de découvrir cette affaire. Un roman qui devrait plaire à tous les amateurs du genre.
Lien : https://onparlelecture.wordp..

Fan inconditionnelle du trait doux de Briony May Smith, je ne pouvais pas passer à côté de cet album, qui nous retrace l’enfance de la famille Brontë : Anne, Emily, Charlotte et Branwell. Trois filles et un garçon, unis par la même passion : celle des livres. Dès leur plus petite enfance, ils aiment conter des histoires, en inventer. Ils vont même jusqu’à créer de petits livres…

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On retrouve dans cet ouvrage le style un peu nostalgique si cher à l’autrice-illustratrice. Les illustrations sont douces, dans des teintes naturelles, parfois sombres car la plupart des scènes se passent en intérieur. J’aime ce style un peu flou, ces traits ronds, cette atmosphère à la fois cosy et épurée, l'immersion dans la lande anglaise.

Sans surprise avec un tel titre, c’est un album qui met en avant l’amour de la littérature et le pouvoir de l’imagination. Un texte qui fait l’éloge de la créativité, pour repousser les moments difficiles, s’inventer de nouvelles aventures. Je retrouve là ce que j’apprécie dans les livres : cette capacité à sortir du réel pour rêver et voyager dans de nouveaux univers, explorer de nouvelles contrées…

Les petits livres des enfants Brontë est donc une belle histoire qui nous présente le quotidien d’une famille unie même dans l’adversité, de grands moments de tendresse et de douceur. En bonus fort intéressant, quelques pages sur la « vraie » histoire de ces enfants, et un petit atelier pour apprendre à fabriquer des mini-livres.

C’est un ouvrage qui ravira les fans de la famille Brontë, mais aussi tous les amoureux.ses des livres !

C'est toujours un plaisir de retrouver la plume de cet auteur, à chaque fois, je passe un excellent moment ❤️
Encore une fois cette lecture a été un succès, en moins de quatre heures s'était réglé tant je n'ai pas pu me résoudre à déposer ma liseuse .
The Renegade Prince est définitivement une romance à ajouter dans votre pile à lire.

Si vous cherchez un slowburn tout en douceur avec beaucoup d'humour, deux hommes totalement attachants et une bonne dose de hockey, c'est le roman parfait.
J'ai été agréablement surprise, je ne m'attendais vraiment pas à ce genre de romance qui a , dans le monde du hockey l'habitude d'être plus dure, mais là, on est vraiment sur deux personnages mignons à souhait et tellement attendrissant.
Deux hommes qui viennent de différents mondes, mais qui ont su trouver en l'autre un amour complémentaire.

D'un côté, nous avons Blake, timide, réservé et photographe de métier, qui est complètement déboussolé suite à sa récente rupture, il aménage donc dans l'appartement que sa grand-mère lui a légué à son décès. N'étant pas habitué à la solitude, il est entièrement désemparé face à cette nouvelle vie.
Par chance, il fera la rencontre de son nouveau voisin qui est nul autre que la star du hockey qu'il admire tant, Carter Banes en personne.
Une chose en apportant une autre, ils développeront un lien solide qui deviendra vite indispensable à leur quotidien.

Suite à événement inattendu, ils se verront obligés de faire semblant d'être un couple, mais quand le mensonge semble vouloir céder sa place à la réalité, seront-ils en mesure de gérer ce tournant inattendu de leur relation ?

J'ai adoré suivre l'histoire de Carter et Blake alias Cake comme le dit si bien Farrow, voir leur évolution qui commence par une belle amitié, leur maladresse face à l'autre est tout simplement adorable, leur histoire se fait tout en douceur et tendresse.
Leur alchimie immédiate est magnifique, comme s'il avait su instantanément trouver en l'autre ce qu'il leur manquait à ce moment-là de leur vie.

Moi qui affectionne beaucoup les romances sportives, j'ai été ravie que le hockey soit aussi présent et très bien travailler.
Nous n'avons pas seulement des scènes de vestiaire, mais de vrai match décris et élaborer et a plusieurs reprises, je me suis surpris à les encourager mentalement et a espéré la victoire pour l’équipe des Renegades 😅

Le personnage de Carter m'a spécialement surpris, moi qui ai pour habitude de lire des romances avec des hockeyeurs plutôt arrogants et dure, lui est tout le contraire, il est doux, bienveillant, pas du tout hautain malgré son grand succès sur la glace, et j'ai trouvé cette personnalité totalement rafraîchissante.
J'ai aimé que F.v estyer brise le mythe du sportif méprisant.

Bref, je recommande fortement de vous laisser tenter par cette romance qui vous laissera un sentiment de légèreté ❤️

J’ai découvert il y a un petit moment déjà les premiers romans de Nancy Springer, attirée par toutes ces adaptations autour du personnage de Sherlock Holmes. J’avais ensuite acheté cette adaptation en bande dessinée pour mes élèves… et bien sûr profité de la diffusion du film sur Netflix pour la mettre en avant !

Enola Holmes, c’est la petite sœur de Sherlock Holmes, et de Mycroft. Une jeune femme qui a grandi quasi seule avec sa mère, élevée de manière originale pour son époque. Sa mère a en effet cherché à développer sa curiosité, ses capacités de déduction, sa culture, au lieu d'en faire la parfaite jeune fille inodore et effacée - telle qu'on les éduquait à l'époque. Alors quand elle disparaît, Enola va tout faire pour la retrouver… Mais pour cela, elle va devoir aussi se familiariser avec le monde extérieur !

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L’héroïne de Nancy Springer est une jeune femme un peu espiègle, qui se défie des carcans de la société, se joue des apparences, et tente de survivre dans un monde qui n’est guère accueillant pour les jeunes femmes. C’est une jeune femme moderne, débrouillarde. Le genre d'héroïne que j'apprécie beaucoup !

Et ma relecture l'a confirmé, cette adaptation BD est pour le moins chouette ! Les dessins à l’aquarelle lui donnent un côté mignon, délicat. Si je ne suis pas fan des visages, le tout a un charme old school très plaisant.

L’enquête est un peu plus rapide que dans le roman, mais cela nous permet tout de même de cerner notre héroïne et son caractère. Par contre, les personnages secondaires osnt moins développés.

C'est donc une bande dessinée agréable à lire, qui mêle aventure et rebondissements dans un décor historique assez bien décrit.

Un bon moyen d'entrer dans cet univers fascinant pour de jeunes lecteurs !

Tellement déçue, j’ai terminé la lecture avec bien du mal.
Je n’ai rien aimé. Ni les relations, ni les personnages, ni leur vice, ni même l’histoire en global.
Ce livre n’apporte rien. Et la fin aurait pu être une idée, mais arrive à 80% du livre pour avoir un événement marquant ça fait quand même super chier.
Passez votre chemin.

Lu à sa sortie pour accompagner mes enfants et relu pour un challenge.
Mon grand garçon a découvert les deux premiers tomes en CE2 et a grandi avec le héros, un tome par an, il fallait être patient. Les autres ont pris le train en marche, j’ai donc lu avec eux la saga complète un nombre incalculable de fois.

Mais là, je l’ai lu pour moi, pas pour accompagner, pas pour débriefer au petit déjeuner la lecture de la veille. Et cette histoire, je l’ai vue pour la première fois avec mes yeux d’enfant de soixante ans et j’ai passé une merveilleuse après-midi.